[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannTitre : | N°216 - février 2017 - Vermeer | Type de document : | texte imprimé | Année de publication : | 2017 | Importance : | 48 p. | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 24 cm | Prix : | 7,90 € | Langues : | Français (fre) | Catégories : | 3.45 Arts
| Tags : | Johannes Vermeer | Index. décimale : | 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports | Résumé : | La Jeune Fille à la perle, surnommée « La Joconde du Nord », c’est lui ! La Laitière que l’on a vu reproduite partout, lui aussi. Et pourtant, Johannes Vermeer (1632-1675) n’a peint au total qu’une trentaine de toiles. Comment cet artiste hollandais, longtemps tombé dans l’oubli, est-il devenu l’une des superstars de l’histoire de l’art ? (Dada) | Note de contenu : | Au sommaire
Le mystère Vermeer
Une enfance entourée de tableaux, un apprentissage chez un peintre, une production restreinte… de Vermeer, en vérité, on sait peu de choses.
La pépite du siècle d’or ?
À la fin du 16e siècle, les Pays-Bas connaissent un essor économique extraordinaire qui profite aux artistes. Mais gagner en succès dans ce contexte n’est pas chose aisée.
On a découvert un peintre !
À sa mort, Vermeer tombe peu à peu dans l’oubli. Tout un travail de recherche et d’identification, parfois erroné, mènera jusqu’à sa célébrité actuelle.
Vermeer peint-il toujours le même tableau ?
Un carrelage blanc et noir, un collier de perles, une veste en soie… Il y a comme un air de déjà-vu. Le peintre réutilise les mêmes motifs, sans que l’on sache bien pourquoi.
Les tours de magie de Vermeer
Les toiles de Vermeer sont étonnamment lumineuses pour l’époque, on pourrait même penser à de la photographie ! Comment a-t-il réussi cet exploit ?
Vermeer, le vrai… et les faux
Une vie mystérieuse, peu de travaux et un grand succès auprès des collectionneurs : la tentation est grande pour les faussaires de profiter de la situation.
Tout Vermeer en une œuvre
La Laitière, passée à la postérité grâce à la publicité, c’est aussi et surtout une des plus belles œuvres de l’artiste, représentative de son style.
En quelques mots
Les tableaux de Vermeer sont éblouissants. Littéralement ! Approchez-vous d’un tableau du maître hollandais, et vous serez ébloui par la lumière qui s’en dégage. Il y a chez lui un talent rare pour peindre les effets de la lumière, et ce talent rejaillit sur tout le reste du tableau. Observez et comparez avec d’autres toiles de l’époque : celles de Vermeer se distinguent par leurs couleurs éclatantes, leur clair-obscur subtil, leurs effets de matière incroyablement précis… L’artiste nous en met plein les yeux !
Éblouis, on l’est aussi par la composition des œuvres. Vermeer aime peindre des scènes suffisamment énigmatiques pour que l’on se demande toujours ce qu’il est en train de s’y dérouler. Ses personnages sont surpris dans leur quotidien, mais on les observe à bonne distance. On a beau s’amuser à déceler des indices çà et là, oser des interprétations, on a toujours finalement l’impression que quelque chose nous échappe. Et si les toiles de Vermeer nous en mettent plein les yeux, c’est aussi parce qu’elles prennent toute la place et éclipsent finalement l’artiste. Rare sont les peintres célèbres dont on sait si peu de choses. Aussi bien sur sa vie, que l’on ne connaît que dans les très grandes lignes, que sur son œuvre, pour laquelle on ignore comment il travaillait exactement et pourquoi il a peint si peu. Car c’est cela, le mystère Vermeer : avec 35 toiles seulement, il a réussi à éblouir la Terre entière. (Dada) |
[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannN°216 - février 2017 - Vermeer [texte imprimé] . - 2017 . - 48 p. : ill. en coul. ; 24 cm. 7,90 € Langues : Français ( fre) Catégories : | 3.45 Arts
| Tags : | Johannes Vermeer | Index. décimale : | 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports | Résumé : | La Jeune Fille à la perle, surnommée « La Joconde du Nord », c’est lui ! La Laitière que l’on a vu reproduite partout, lui aussi. Et pourtant, Johannes Vermeer (1632-1675) n’a peint au total qu’une trentaine de toiles. Comment cet artiste hollandais, longtemps tombé dans l’oubli, est-il devenu l’une des superstars de l’histoire de l’art ? (Dada) | Note de contenu : | Au sommaire
Le mystère Vermeer
Une enfance entourée de tableaux, un apprentissage chez un peintre, une production restreinte… de Vermeer, en vérité, on sait peu de choses.
La pépite du siècle d’or ?
À la fin du 16e siècle, les Pays-Bas connaissent un essor économique extraordinaire qui profite aux artistes. Mais gagner en succès dans ce contexte n’est pas chose aisée.
On a découvert un peintre !
À sa mort, Vermeer tombe peu à peu dans l’oubli. Tout un travail de recherche et d’identification, parfois erroné, mènera jusqu’à sa célébrité actuelle.
Vermeer peint-il toujours le même tableau ?
Un carrelage blanc et noir, un collier de perles, une veste en soie… Il y a comme un air de déjà-vu. Le peintre réutilise les mêmes motifs, sans que l’on sache bien pourquoi.
Les tours de magie de Vermeer
Les toiles de Vermeer sont étonnamment lumineuses pour l’époque, on pourrait même penser à de la photographie ! Comment a-t-il réussi cet exploit ?
Vermeer, le vrai… et les faux
Une vie mystérieuse, peu de travaux et un grand succès auprès des collectionneurs : la tentation est grande pour les faussaires de profiter de la situation.
Tout Vermeer en une œuvre
La Laitière, passée à la postérité grâce à la publicité, c’est aussi et surtout une des plus belles œuvres de l’artiste, représentative de son style.
En quelques mots
Les tableaux de Vermeer sont éblouissants. Littéralement ! Approchez-vous d’un tableau du maître hollandais, et vous serez ébloui par la lumière qui s’en dégage. Il y a chez lui un talent rare pour peindre les effets de la lumière, et ce talent rejaillit sur tout le reste du tableau. Observez et comparez avec d’autres toiles de l’époque : celles de Vermeer se distinguent par leurs couleurs éclatantes, leur clair-obscur subtil, leurs effets de matière incroyablement précis… L’artiste nous en met plein les yeux !
Éblouis, on l’est aussi par la composition des œuvres. Vermeer aime peindre des scènes suffisamment énigmatiques pour que l’on se demande toujours ce qu’il est en train de s’y dérouler. Ses personnages sont surpris dans leur quotidien, mais on les observe à bonne distance. On a beau s’amuser à déceler des indices çà et là, oser des interprétations, on a toujours finalement l’impression que quelque chose nous échappe. Et si les toiles de Vermeer nous en mettent plein les yeux, c’est aussi parce qu’elles prennent toute la place et éclipsent finalement l’artiste. Rare sont les peintres célèbres dont on sait si peu de choses. Aussi bien sur sa vie, que l’on ne connaît que dans les très grandes lignes, que sur son œuvre, pour laquelle on ignore comment il travaillait exactement et pourquoi il a peint si peu. Car c’est cela, le mystère Vermeer : avec 35 toiles seulement, il a réussi à éblouir la Terre entière. (Dada) |
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