[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannTitre : | N°217 - mars 2017 - Il était une fois...le cinéma | Type de document : | texte imprimé | Année de publication : | 2017 | Importance : | 49 p. | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 24 cm | Prix : | 7,90 € | Langues : | Français (fre) | Catégories : | 3.45 Arts
| Tags : | cinéma | Index. décimale : | 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports | Résumé : | Whouaaah, Oh, Bouh, Sniff, Ha ha ha… Des frères Lumières, Méliès et Chaplin à Spielberg, Tim Burton et Miyazaki, de Blanche-Neige à Mary Poppins ou King Kong, c’est le festival des émotions. Joie, peur, courage, rire, larmes : embarquez pour un libre parcours dans l’histoire du 7e art. Plongés dans le noir, le cinéma nous en fait voir de toutes les couleurs, et ça fait 100 ans que cela dure !
(Dada) | Note de contenu : | Au sommaire
Le cinéma, art en mouvement
L’homme aime raconter des histoires et avec le cinéma, quel meilleur moyen d’en créer de nouvelles ! Récits d’amour ou à suspens, les émotions s’offrent à nous !
Y’a de la joie !
La vie : quelle belle aventure que le cinéma adore nous partager. En tant que spectateurs, nous vivons les mêmes plaisirs et moments de bonheur que les personnages.
Pour l’amour des larmes
Si nous recherchons la joie, la tristesse et la mélancolie font aussi partie de nos vies. Cela, le cinéma l’a bien compris. En partageant les peines des héros, nous grandissons ensemble.
Colère noire sur écran blanc
Lorsqu’on se met en colère, on perd ses moyens. Mais on a aussi l’impression d’avoir plus de force et surtout peur de rien : une émotion idéale pour une mise en scène.
Fais-moi peur !
Cache-cache, 1,2,3 soleil, le loup… Les enfants aiment jouer à se faire peur. Mais pour une bonne frayeur, rien de mieux que les salles obscures. Âmes sensibles s’abstenir !
En route pour l’aventure
Mondes fantastiques ou imaginaires, périples endiablés dans le temps ou dans l’espace : on en voit de toutes les couleurs !
Tout le cinéma en une séquence !
Avec Hugo Cabret, Martin Scorsese livre un chef-d’œuvre aux niveaux de lecture multiples. La séquence de l’automate met magnifiquement en miroir la magie du cinéma et les émotions de l’enfance.
En quelques mots
Assis dans le noir, confortablement installé dans un fauteuil, un rayon de lumière apparait. Un personnage s’anime. Ça vit, là, sous nos yeux et une histoire commence. Vous souvenez- vous de votre première fois au cinéma ? Moi, c’était pour voir La Belle au bois dormant. Du film et de l’histoire, je ne me rappelle plus grand-chose. Mais je n’oublierai jamais l’atmosphère magique de la salle, mon père assis à côté de moi, une légère inquiétude sur ce qui allait se passer, un sursaut quand la musique commence… mais surtout l’émerveillement d’être littéralement plongé dans une histoire. Impossible de compter le nombre de fois où je suis ensuite retourné au cinéma. Je me souviens en tout cas des éclats de rire. Un gag de dessin animé, un personnage ridicule, une bonne blague : à chaque fois, c’est une sensation étonnante de rire en même temps que des centaines de personnes. Et puis soudain, bouh ! Il y a d’abord eu tous ces méchants, qui effrayaient mes héros préférés, et moi avec. Puis en grandissant, ces films que je n’avais pas le droit de voir avant. La porte qui grince, le monstre qui approche mais qu’on ne voit pas tout de suite, les cris de frayeur. Et là, plongés dans l’obscurité et sans possibilité de regarder ailleurs, on n’est pas mécontent d’être bien entouré. De la colère à la surprise, du rire aux larmes, le cinéma nous en fait voir de toutes les couleurs, jusqu’à la fin du film. Avec toutes ces histoires, ces destins et ces émotions, le cinéma nous aura aidé à grandir. Mais c’est toujours avec un émerveillement d’enfant que l’on y retournera. (Dada) |
[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannN°217 - mars 2017 - Il était une fois...le cinéma [texte imprimé] . - 2017 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm. 7,90 € Langues : Français ( fre) Catégories : | 3.45 Arts
| Tags : | cinéma | Index. décimale : | 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports | Résumé : | Whouaaah, Oh, Bouh, Sniff, Ha ha ha… Des frères Lumières, Méliès et Chaplin à Spielberg, Tim Burton et Miyazaki, de Blanche-Neige à Mary Poppins ou King Kong, c’est le festival des émotions. Joie, peur, courage, rire, larmes : embarquez pour un libre parcours dans l’histoire du 7e art. Plongés dans le noir, le cinéma nous en fait voir de toutes les couleurs, et ça fait 100 ans que cela dure !
(Dada) | Note de contenu : | Au sommaire
Le cinéma, art en mouvement
L’homme aime raconter des histoires et avec le cinéma, quel meilleur moyen d’en créer de nouvelles ! Récits d’amour ou à suspens, les émotions s’offrent à nous !
Y’a de la joie !
La vie : quelle belle aventure que le cinéma adore nous partager. En tant que spectateurs, nous vivons les mêmes plaisirs et moments de bonheur que les personnages.
Pour l’amour des larmes
Si nous recherchons la joie, la tristesse et la mélancolie font aussi partie de nos vies. Cela, le cinéma l’a bien compris. En partageant les peines des héros, nous grandissons ensemble.
Colère noire sur écran blanc
Lorsqu’on se met en colère, on perd ses moyens. Mais on a aussi l’impression d’avoir plus de force et surtout peur de rien : une émotion idéale pour une mise en scène.
Fais-moi peur !
Cache-cache, 1,2,3 soleil, le loup… Les enfants aiment jouer à se faire peur. Mais pour une bonne frayeur, rien de mieux que les salles obscures. Âmes sensibles s’abstenir !
En route pour l’aventure
Mondes fantastiques ou imaginaires, périples endiablés dans le temps ou dans l’espace : on en voit de toutes les couleurs !
Tout le cinéma en une séquence !
Avec Hugo Cabret, Martin Scorsese livre un chef-d’œuvre aux niveaux de lecture multiples. La séquence de l’automate met magnifiquement en miroir la magie du cinéma et les émotions de l’enfance.
En quelques mots
Assis dans le noir, confortablement installé dans un fauteuil, un rayon de lumière apparait. Un personnage s’anime. Ça vit, là, sous nos yeux et une histoire commence. Vous souvenez- vous de votre première fois au cinéma ? Moi, c’était pour voir La Belle au bois dormant. Du film et de l’histoire, je ne me rappelle plus grand-chose. Mais je n’oublierai jamais l’atmosphère magique de la salle, mon père assis à côté de moi, une légère inquiétude sur ce qui allait se passer, un sursaut quand la musique commence… mais surtout l’émerveillement d’être littéralement plongé dans une histoire. Impossible de compter le nombre de fois où je suis ensuite retourné au cinéma. Je me souviens en tout cas des éclats de rire. Un gag de dessin animé, un personnage ridicule, une bonne blague : à chaque fois, c’est une sensation étonnante de rire en même temps que des centaines de personnes. Et puis soudain, bouh ! Il y a d’abord eu tous ces méchants, qui effrayaient mes héros préférés, et moi avec. Puis en grandissant, ces films que je n’avais pas le droit de voir avant. La porte qui grince, le monstre qui approche mais qu’on ne voit pas tout de suite, les cris de frayeur. Et là, plongés dans l’obscurité et sans possibilité de regarder ailleurs, on n’est pas mécontent d’être bien entouré. De la colère à la surprise, du rire aux larmes, le cinéma nous en fait voir de toutes les couleurs, jusqu’à la fin du film. Avec toutes ces histoires, ces destins et ces émotions, le cinéma nous aura aidé à grandir. Mais c’est toujours avec un émerveillement d’enfant que l’on y retournera. (Dada) |
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