[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannTitre : | N°174 - Mai 2012 - Vasarely | Type de document : | texte imprimé | Année de publication : | 2012 | Importance : | 50 p. | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 24 cm | Prix : | 7.50 € | Langues : | Français (fre) | Catégories : | 3.45 Arts
| Tags : | Victor Vasarely | Index. décimale : | 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports | Résumé : | Approchez, n’ayez pas froid aux yeux… Victor Vasarely (1906-1997) crée des œuvres étonnantes. Quelques couleurs vives, des formes géométriques, pour un effet garanti : ça bouge, ça clignote, ça gonfle dans tous les sens ! Mais le père de l’op’art est aussi un graphiste très inventif, un maître du noir et blanc et même l’architecte d’une mystérieuse cité du bonheur, ouvrez l’œil.
(Dada) | Note de contenu : | Au sommaire
Vasarely graphiste
Un art accessible à tous ! C’est bien pour cela que l’artiste reproduit ses œuvres sous toutes les formes possibles : affiches, publicités, logos et plus encore !
Ses expériences avant l’op art
Le chemin vers l’op art est long et parfois tordu. Pour y arriver, Vasarely a d’abord touché un peu à tout … C’est ce qu’il appelle lui-même ses « fausses routes ».
L’op art, késano ?
L’op art signifie littéralement « art optique ». Un courant dont la devise pourrait être « rien que pour vos yeux ».
Le maître des illusions optiques
Vasarely n’est pas le père de l’op art pour rien. Toute sa vie, il a exploré les différents moyens de créer des illusions optiques !
Tout Vasarely en une œuvre
Difficile de présenter cet artiste en une seule œuvre. Pourtant, il y en a une qui synthétise toutes ses idées : un portrait qui fait tourner la tête.
Vasarely l’architecte
L’artiste réalise son rêve d’associer l’art à l’architecture. Des portails en trompe l’œil, des places multicolores … Bienvenue dans la ville selon Vasarely.
L’op art aujourd’hui
Le mouvement reste souvent associé aux années 1960 et 1970, pourtant il a évolué ! Certains artistes continuent à nous en faire voir de toutes les couleurs.
En quelques mots
Venez voir un spectacle époustouflant ! Sur scène, ce soir, un étrange magicien venu de l’est : Vasarely.
Tout a commencé dans les années 1930 : au lieu de faire sortir des lapins de son chapeau il s’attaque aux zèbres ! L’artiste les fait danser devant des spectateurs médusés, ils tournent, tournent l’un autour de l’autre, et les voilà qu’ils disparaissent puis réapparaissent. Hallucinant ! D’autant qu’il ne recourt à aucun effet spécial sophistiqué : son tour, il le pratique simplement à la règle et au crayon.
Dans sa tournée, Vasarely emmène avec lui rien de moins que le célèbre Arlequin. Échappé de la commedia dell’arte, le voici dans son costume à losanges. Vous ne le voyez pas ? Mais bien sûr, notre magicien a créé un nouveau tour avec lui, il va falloir ouvrir bien les yeux pour retrouver le personnage. Encore une illusion optique ? Oui, et ce n’est pas la dernière.
Si vous n’avez pas froid aux yeux restez jusqu’au bout car Vasarely revient sur scène avec un feu d’artifice d’illusions. Des grandes toiles géométriques qui semblent bouger ou clignoter, qui changent de forme quand on les regarde, qui grossissent à vue d’œil ou dans lesquelles on a l’impression de tomber.
(Dada) |
[n° ou bulletin] est un bulletin de / Antoine UllmannN°174 - Mai 2012 - Vasarely [texte imprimé] . - 2012 . - 50 p. : ill. en coul. ; 24 cm. 7.50 € Langues : Français ( fre) Catégories : | 3.45 Arts
| Tags : | Victor Vasarely | Index. décimale : | 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports | Résumé : | Approchez, n’ayez pas froid aux yeux… Victor Vasarely (1906-1997) crée des œuvres étonnantes. Quelques couleurs vives, des formes géométriques, pour un effet garanti : ça bouge, ça clignote, ça gonfle dans tous les sens ! Mais le père de l’op’art est aussi un graphiste très inventif, un maître du noir et blanc et même l’architecte d’une mystérieuse cité du bonheur, ouvrez l’œil.
(Dada) | Note de contenu : | Au sommaire
Vasarely graphiste
Un art accessible à tous ! C’est bien pour cela que l’artiste reproduit ses œuvres sous toutes les formes possibles : affiches, publicités, logos et plus encore !
Ses expériences avant l’op art
Le chemin vers l’op art est long et parfois tordu. Pour y arriver, Vasarely a d’abord touché un peu à tout … C’est ce qu’il appelle lui-même ses « fausses routes ».
L’op art, késano ?
L’op art signifie littéralement « art optique ». Un courant dont la devise pourrait être « rien que pour vos yeux ».
Le maître des illusions optiques
Vasarely n’est pas le père de l’op art pour rien. Toute sa vie, il a exploré les différents moyens de créer des illusions optiques !
Tout Vasarely en une œuvre
Difficile de présenter cet artiste en une seule œuvre. Pourtant, il y en a une qui synthétise toutes ses idées : un portrait qui fait tourner la tête.
Vasarely l’architecte
L’artiste réalise son rêve d’associer l’art à l’architecture. Des portails en trompe l’œil, des places multicolores … Bienvenue dans la ville selon Vasarely.
L’op art aujourd’hui
Le mouvement reste souvent associé aux années 1960 et 1970, pourtant il a évolué ! Certains artistes continuent à nous en faire voir de toutes les couleurs.
En quelques mots
Venez voir un spectacle époustouflant ! Sur scène, ce soir, un étrange magicien venu de l’est : Vasarely.
Tout a commencé dans les années 1930 : au lieu de faire sortir des lapins de son chapeau il s’attaque aux zèbres ! L’artiste les fait danser devant des spectateurs médusés, ils tournent, tournent l’un autour de l’autre, et les voilà qu’ils disparaissent puis réapparaissent. Hallucinant ! D’autant qu’il ne recourt à aucun effet spécial sophistiqué : son tour, il le pratique simplement à la règle et au crayon.
Dans sa tournée, Vasarely emmène avec lui rien de moins que le célèbre Arlequin. Échappé de la commedia dell’arte, le voici dans son costume à losanges. Vous ne le voyez pas ? Mais bien sûr, notre magicien a créé un nouveau tour avec lui, il va falloir ouvrir bien les yeux pour retrouver le personnage. Encore une illusion optique ? Oui, et ce n’est pas la dernière.
Si vous n’avez pas froid aux yeux restez jusqu’au bout car Vasarely revient sur scène avec un feu d’artifice d’illusions. Des grandes toiles géométriques qui semblent bouger ou clignoter, qui changent de forme quand on les regarde, qui grossissent à vue d’œil ou dans lesquelles on a l’impression de tomber.
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