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Auteur Jean-Luc Steinmetz
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Affiner la rechercheEcrits sur la littérature / Charles Baudelaire (2005)
Titre : Ecrits sur la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Baudelaire, Auteur ; Jean-Luc Steinmetz, Collaborateur Editeur : Paris : Librairie générale française Année de publication : 2005 Collection : Le Livre de poche Sous-collection : Classique num. 21007 Importance : 631 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-08538-6 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : « Je considère le poète comme le meilleur de tous les critiques », dit Baudelaire dans l’étude qu’il consacre à Wagner, et lui-même, près de vingt ans durant, a écrit de nombreux articles ou préfaces. Ces textes ne dégagent sans doute pas l’unité d’une doctrine, et leur auteur ne s’interdit pas la contradiction mais, dès sa jeunesse, se sont formées quelques idées-forces auxquelles il sera fidèle. Car il s’engage tout entier : comme tout grand écrivain, c’est un peu lui-même qu’il lit chez les autres, et l’on ne s’étonne pas d’une partialité où s’affirment tour à tour l’admiration qu’il porte à Poe, les réserves que Hugo lui inspire, ou la sympathie attentive dont témoigne sa lecture de Madame Bovary.
Après sa mort, lq plupart de ses écrits sur la littérature ont été rassemblés dans L’Art romantique, mais ils s’y trouvent mêlés à des textes sur l’art. Le présent volume, au contraire, les regroupe selon leur ordre d’écriture. Ce qui se dessine ainsi, c’est un parcours chronologique où se révèlent une pensée en mouvement et une morale autant qu’une esthétique – un parcours où, de manière magistrale, s’inaugure la critique des créateurs, celle qui se poursuivra de Mallarmé à Valéry, et de Breton à Yves Bonnefoy. (Le Livre de poche)Note de contenu :
Premiers textes critiques
Sous le signe d'Edgar Poe
Réflexions sur quelques-uns de mes contemporains
Derniers textes et projets critiques
(Decitre)Ecrits sur la littérature [texte imprimé] / Charles Baudelaire, Auteur ; Jean-Luc Steinmetz, Collaborateur . - Librairie générale française, 2005 . - 631 p. ; 18 cm. - (Le Livre de poche. Classique; 21007) .
ISBN : 978-2-253-08538-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : « Je considère le poète comme le meilleur de tous les critiques », dit Baudelaire dans l’étude qu’il consacre à Wagner, et lui-même, près de vingt ans durant, a écrit de nombreux articles ou préfaces. Ces textes ne dégagent sans doute pas l’unité d’une doctrine, et leur auteur ne s’interdit pas la contradiction mais, dès sa jeunesse, se sont formées quelques idées-forces auxquelles il sera fidèle. Car il s’engage tout entier : comme tout grand écrivain, c’est un peu lui-même qu’il lit chez les autres, et l’on ne s’étonne pas d’une partialité où s’affirment tour à tour l’admiration qu’il porte à Poe, les réserves que Hugo lui inspire, ou la sympathie attentive dont témoigne sa lecture de Madame Bovary.
Après sa mort, lq plupart de ses écrits sur la littérature ont été rassemblés dans L’Art romantique, mais ils s’y trouvent mêlés à des textes sur l’art. Le présent volume, au contraire, les regroupe selon leur ordre d’écriture. Ce qui se dessine ainsi, c’est un parcours chronologique où se révèlent une pensée en mouvement et une morale autant qu’une esthétique – un parcours où, de manière magistrale, s’inaugure la critique des créateurs, celle qui se poursuivra de Mallarmé à Valéry, et de Breton à Yves Bonnefoy. (Le Livre de poche)Note de contenu :
Premiers textes critiques
Sous le signe d'Edgar Poe
Réflexions sur quelques-uns de mes contemporains
Derniers textes et projets critiques
(Decitre)Réservation
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Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600012580 # Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Madame Putiphar / Petrus Borel (1972)
Titre : Madame Putiphar Autre titre : Précédée de "Madame Putiphar", roman sadien ? ; Et suivi de "Les Malheurs du récit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Petrus Borel, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Auteur ; Jean-Luc Steinmetz, Auteur ; Jules Claretie (1840-1913), Préfacier, etc. Editeur : Régine Deforges Année de publication : 1972 Collection : Bibliothèque noire num. 1 Importance : XXX-445 p.-[1] p. de pl. Format : 22 cm Note générale : En appendice, choix de textes de divers auteurs Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : De Pétrus Borel (1809-1959), romantique " frénétique " ami de Nerval, admiré par André Breton et par les surréalistes, deux grands livres demeurent, l'un et l'autre longtemps introuvables : les Contes immoraux (Champavert) et Madame Putiphar (1839) - éreinté à l'époque par la critique parce que l'auteur osait s'y proclamer disciple de Sade. Bizarrement rares sont les lecteurs qui ont eu, en un grand siècle et demi de temps, la bonne fortune de tenir entre leurs mains ce texte qui en sidéra plus d'un : Madame Putiphar, rééditée de loin en loin, fut longtemps un livre à éclipses. Pourtant ce récit météorique, qu'on dirait taillé dans un bloc de nuit, figure bel et bien LE roman noir de la littérature française - le seul en tout cas à pouvoir rivaliser avec les trois chefs-d'œuvre du genre : Le Moine de Lewis, Melmoth de Maturin, Les Elixirs du Diable d'Hoffmann. Borel prétend être parti, pour imaginer sa folle histoire, des aveux d'un prisonnier de la Bastille, délivré le 14 juillet 1789 après une interminable incarcération. Sa fiancée avait été attirée dans un piège par la marquise de Pompadour (Madame Putiphar), grande pourvoyeuse des orgies royales du Parc-aux-Cerfs... A partir de cet argument, Borel propose la traversée aventureuse d'un siècle - le XVIIIe - qui n'est plus celui des Lumières mais celui de toutes les noirceurs. Dès lors s'explique-t-on l'intérêt passionné que vouèrent à ce texte un Aragon (fasciné par Borel le " colosse "), un Eluard (qui le situe " admirablement entre Sade et Lautréamont "), lors même que ce récit se place sans tricher dans le droit fil de la littérature populaire de l'époque - ce dont Paul Féval saura se souvenir en lançant son Bossu dans le même sillage d'ombre maléfique. (Decitre) Madame Putiphar ; Précédée de "Madame Putiphar", roman sadien ? ; Et suivi de "Les Malheurs du récit" [texte imprimé] / Petrus Borel, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Auteur ; Jean-Luc Steinmetz, Auteur ; Jules Claretie (1840-1913), Préfacier, etc. . - Régine Deforges, 1972 . - XXX-445 p.-[1] p. de pl. ; 22 cm. - (Bibliothèque noire; 1) .
En appendice, choix de textes de divers auteurs
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : De Pétrus Borel (1809-1959), romantique " frénétique " ami de Nerval, admiré par André Breton et par les surréalistes, deux grands livres demeurent, l'un et l'autre longtemps introuvables : les Contes immoraux (Champavert) et Madame Putiphar (1839) - éreinté à l'époque par la critique parce que l'auteur osait s'y proclamer disciple de Sade. Bizarrement rares sont les lecteurs qui ont eu, en un grand siècle et demi de temps, la bonne fortune de tenir entre leurs mains ce texte qui en sidéra plus d'un : Madame Putiphar, rééditée de loin en loin, fut longtemps un livre à éclipses. Pourtant ce récit météorique, qu'on dirait taillé dans un bloc de nuit, figure bel et bien LE roman noir de la littérature française - le seul en tout cas à pouvoir rivaliser avec les trois chefs-d'œuvre du genre : Le Moine de Lewis, Melmoth de Maturin, Les Elixirs du Diable d'Hoffmann. Borel prétend être parti, pour imaginer sa folle histoire, des aveux d'un prisonnier de la Bastille, délivré le 14 juillet 1789 après une interminable incarcération. Sa fiancée avait été attirée dans un piège par la marquise de Pompadour (Madame Putiphar), grande pourvoyeuse des orgies royales du Parc-aux-Cerfs... A partir de cet argument, Borel propose la traversée aventureuse d'un siècle - le XVIIIe - qui n'est plus celui des Lumières mais celui de toutes les noirceurs. Dès lors s'explique-t-on l'intérêt passionné que vouèrent à ce texte un Aragon (fasciné par Borel le " colosse "), un Eluard (qui le situe " admirablement entre Sade et Lautréamont "), lors même que ce récit se place sans tricher dans le droit fil de la littérature populaire de l'époque - ce dont Paul Féval saura se souvenir en lançant son Bossu dans le même sillage d'ombre maléfique. (Decitre) Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600011949 # Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible