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Ce que Marianne en pense / Jean-François Kahn (2002)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. Titre : Ce que Marianne en pense Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Kahn, Auteur Editeur : [Paris] : Mille et une nuits Année de publication : 2002 Collection : Essai Importance : 153 p. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84205-721-3 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature Presse Presse d'information Tags : presse  magazine Marianne Index. décimale : 82-4 Essais Résumé : " Cela claqua comme un ordre intérieur : ce devait être fait. Jamais, pourtant, la vie ne m'était apparue plus douce qu'au cours de ces deux ans de liberté magique qui séparèrent mon départ de L'Evénement du jeudi de la décision, prise avec Maurice Szafran et Robert Assaraf, de créer Marianne. C'était en septembre 1996. [...] N'empêche : quel que fût ce à quoi nous nous attendions, ce fut pire. " Premier numéro d'un nouvel hebdomadaire. C'est le début de l'histoire d'un journal qui, en rupture avec un discours médiatique tendanciellement univoque, décide de faire entendre une autre musique. Nul sans doute n'imagine à quel obstacle se heurte une telle prétention. En l'occurrence, les grosses-caisses du pouvoir financier battant au même rythme que l'orchestre de la bien-pensance. Ce livre, raconte par le menu tous les dessous d'un combat qui était jugé perdu d'avance. Jean-François Kahn reprend les grandes batailles idéologiques menées par le journal et les analyses iconoclastes qui rendirent cette expérience apparemment sulfureuse. (Decitre) Ce que Marianne en pense [texte imprimé] / Jean-François Kahn, Auteur . - Mille et une nuits, 2002 . - 153 p. ; 20 cm. - (Essai) . ISBN : 978-2-84205-721-3 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature Presse Presse d'information Tags : presse  magazine Marianne Index. décimale : 82-4 Essais Résumé : " Cela claqua comme un ordre intérieur : ce devait être fait. Jamais, pourtant, la vie ne m'était apparue plus douce qu'au cours de ces deux ans de liberté magique qui séparèrent mon départ de L'Evénement du jeudi de la décision, prise avec Maurice Szafran et Robert Assaraf, de créer Marianne. C'était en septembre 1996. [...] N'empêche : quel que fût ce à quoi nous nous attendions, ce fut pire. " Premier numéro d'un nouvel hebdomadaire. C'est le début de l'histoire d'un journal qui, en rupture avec un discours médiatique tendanciellement univoque, décide de faire entendre une autre musique. Nul sans doute n'imagine à quel obstacle se heurte une telle prétention. En l'occurrence, les grosses-caisses du pouvoir financier battant au même rythme que l'orchestre de la bien-pensance. Ce livre, raconte par le menu tous les dessous d'un combat qui était jugé perdu d'avance. Jean-François Kahn reprend les grandes batailles idéologiques menées par le journal et les analyses iconoclastes qui rendirent cette expérience apparemment sulfureuse. (Decitre)

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1600013419	# Récit (roman, théâtre, biographie...)	Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...)		Disponible

Moi, l'autre et le loup / Jean-François Kahn (2001)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. Titre : Moi, l'autre et le loup : Esquisse d'une politique de l'altérité Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Kahn, Auteur Editeur : Paris [France] : Fayard Année de publication : 2001 Importance : 299 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-60795-5 Langues : Français (fre) Catégories : Politique Tags : philosophie politique  sociopolitique Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : A quelles conditions les individus qui composent un corps social décident-ils (ou continuent-ils) de vivre ensemble plutôt que de s'entre-déchirer ? Telle est la grande question que s'attache à résoudre la philosophie politique. Jean-François Kahn y répond dans cet essai à partir du constat suivant : 1) seule la reconnaissance de l'autre permet la connaissance de soi ; 2) seule la connaissance de soi permet l'acceptation de l'autre ; 3) seule l'acceptation de l'autre permet d'assurer la coexistence sociale, et donc l'organisation de la société politique. Mais si la logique de cette démonstration est imparable, tout se complique lorsque l'on sait que la condition de la connaissance de soi qu'est l'autre est rendue bien incertaine par le fait que l'autre restera toujours pour moi un mystère - ne serait-ce que parce que je ne connaîtrai jamais la connaissance qu'il a de lui-même. Et c'est de ce mystère, de cette irréductible différence que surgit l'exclusion - la méfiance d'abord, la réduction de l'autre à sa fonction sociale, à la couleur de sa peau ou à quelque autre différence ensuite, la persécution pour finir. Le loup, c'est précisément la figure du persécuteur tapie en chacun de nous. Dans ces conditions, la " bonne politique " consistera à reconnaître la différence sans jamais perdre de vue l'universalité de la condition humaine. Et cet essai vise précisément à définir le type d'actions économiques, sociales et culturelles qu'implique tout processus pacificateur et générateur du rapport d'altérité. Ce dont notre société, nous le savons, a bien besoin. (Decitre) Moi, l'autre et le loup : Esquisse d'une politique de l'altérité [texte imprimé] / Jean-François Kahn, Auteur . - Paris (France) : Fayard, 2001 . - 299 p. ; 22 cm. ISBN : 978-2-213-60795-5 Langues : Français (fre) Catégories : Politique Tags : philosophie politique  sociopolitique Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : A quelles conditions les individus qui composent un corps social décident-ils (ou continuent-ils) de vivre ensemble plutôt que de s'entre-déchirer ? Telle est la grande question que s'attache à résoudre la philosophie politique. Jean-François Kahn y répond dans cet essai à partir du constat suivant : 1) seule la reconnaissance de l'autre permet la connaissance de soi ; 2) seule la connaissance de soi permet l'acceptation de l'autre ; 3) seule l'acceptation de l'autre permet d'assurer la coexistence sociale, et donc l'organisation de la société politique. Mais si la logique de cette démonstration est imparable, tout se complique lorsque l'on sait que la condition de la connaissance de soi qu'est l'autre est rendue bien incertaine par le fait que l'autre restera toujours pour moi un mystère - ne serait-ce que parce que je ne connaîtrai jamais la connaissance qu'il a de lui-même. Et c'est de ce mystère, de cette irréductible différence que surgit l'exclusion - la méfiance d'abord, la réduction de l'autre à sa fonction sociale, à la couleur de sa peau ou à quelque autre différence ensuite, la persécution pour finir. Le loup, c'est précisément la figure du persécuteur tapie en chacun de nous. Dans ces conditions, la " bonne politique " consistera à reconnaître la différence sans jamais perdre de vue l'universalité de la condition humaine. Et cet essai vise précisément à définir le type d'actions économiques, sociales et culturelles qu'implique tout processus pacificateur et générateur du rapport d'altérité. Ce dont notre société, nous le savons, a bien besoin. (Decitre)

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1600016394	! Livre	Politique		Disponible