Fermeture de la bibliothèque du 23 décembre au 3 janvier inclus.
Pour vous connecter à votre compte :
Étudiant-e-s
Identifiant : numéro de matricule (17735)
Mot de passe : le même que pour extranet
Enseignant-e-s (s'inscrire au préalable à la bibliothèque)
Identifiant : id prof (pnom)
Mot de passe : code donné à l'inscription (à changer)
Horaire de la bibliothèque :
Lundi et jeudi : ouverte de 9h à 18h
Mardi : ouverte de 8h à 17h
Mercredi : ouverte de 8h à 16h
Vendredi : ouverte de 9h à 16h
TOUS LES JOURS : fermée de 11h30 à 12h30
La bibliothèque sera fermée à 16h ce jeudi 12 décembre et à 11h30 ce vendredi 13 décembre
Règlement de la bibliothèque
A partir de cette page vous pouvez :
Détail de l'auteur
Auteur Marius-François Guyard (1921-2011)
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la recherche
/ Alphonse de Lamartine (2000)
Titre : | Méditations poériques : Nouvelles méditations poétiques suivies de poésies diverses | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Alphonse de Lamartine (1790-1869), Auteur ; Marius-François Guyard (1921-2011), Editeur scientifique | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 2000 | Autre Editeur : | Paris : NRF | Collection : | Poésie | Importance : | 477 p. | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-032200-8 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature française
| Index. décimale : | 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française | Résumé : | «J'étais né impressionnable et sensible. Ces deux qualités sont les deux premiers éléments de toute poésie. Les choses extérieures à peine aperçues laissaient une vive et profonde empreinte en moi ; et quand elles avaient disparu de mes yeux, elles se répercutaient et se conservaient présentes dans ce qu'on nomme l'imagination, c'est-à-dire la mémoire, qui revoit et qui repeint en nous. Mais de plus, ces images ainsi revues et repeintes se transformaient promptement en sentiment. Mon âme animait ces images, mon cœur se mêlait à ces impressions. J'aimais et j'incorporais en moi ce qui m'avait frappé. J'étais une glace vivante qu'aucune poussière de ce monde n'avait encore ternie, et qui réverbérait l'œuvre de Dieu! De là à chanter ce cantique intérieur qui s'élève en nous, il n'y avait pas loin. Il ne me manquait que la voix. Cette voix que je cherchais et qui balbutiait sur mes lèvres d'enfant, c'était la poésie. Voici les plus lointaines traces que je retrouve au fond de mes souvenirs presque effacés des premières révélations du sentiment poétique qui allait me saisir à mon insu, et me faire à mon tour chanter des vers au bord de mon nid, comme l'oiseau.»
Extrait de la Préface de 1849 aux Méditations. (Gallimard) |
Méditations poériques : Nouvelles méditations poétiques suivies de poésies diverses [texte imprimé] / Alphonse de Lamartine (1790-1869), Auteur ; Marius-François Guyard (1921-2011), Editeur scientifique . - Gallimard : Paris : NRF, 2000 . - 477 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Poésie) . ISBN : 978-2-07-032200-8 Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature française
| Index. décimale : | 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française | Résumé : | «J'étais né impressionnable et sensible. Ces deux qualités sont les deux premiers éléments de toute poésie. Les choses extérieures à peine aperçues laissaient une vive et profonde empreinte en moi ; et quand elles avaient disparu de mes yeux, elles se répercutaient et se conservaient présentes dans ce qu'on nomme l'imagination, c'est-à-dire la mémoire, qui revoit et qui repeint en nous. Mais de plus, ces images ainsi revues et repeintes se transformaient promptement en sentiment. Mon âme animait ces images, mon cœur se mêlait à ces impressions. J'aimais et j'incorporais en moi ce qui m'avait frappé. J'étais une glace vivante qu'aucune poussière de ce monde n'avait encore ternie, et qui réverbérait l'œuvre de Dieu! De là à chanter ce cantique intérieur qui s'élève en nous, il n'y avait pas loin. Il ne me manquait que la voix. Cette voix que je cherchais et qui balbutiait sur mes lèvres d'enfant, c'était la poésie. Voici les plus lointaines traces que je retrouve au fond de mes souvenirs presque effacés des premières révélations du sentiment poétique qui allait me saisir à mon insu, et me faire à mon tour chanter des vers au bord de mon nid, comme l'oiseau.»
Extrait de la Préface de 1849 aux Méditations. (Gallimard) |
| |
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Disponibilité |
---|
1600013469 | # Récit (roman, théâtre, biographie...) | Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) | | Disponible |