Titre : | La bête : Roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | René-Victor Pilhes, Auteur | Editeur : | Paris [France] : Seuil | Année de publication : | 1976 | Collection : | Le Livre de poche num. 5240 | Importance : | 22 p. | Format : | 17 cm | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature française Policier
| Index. décimale : | 82-312.4 Roman policier. Thriller. Roman d'épouvante | Résumé : | En théorie, qu'y a-t-il d'anormal ou de dangereux à ce qu'un mouvement de jeunes gens fondé pour soutenir une action politique convie des délégués étrangers à participer à une réunion de réflexion dans un petit village de montagne? Rien.
En pratique, pourquoi choisir Orveix en Haute-Ariège et la modeste maison de l'aubergiste Hécart alors qu'un château de la Région parisienne aurait mieux cadré avec l'image de marque des Jeunes Libéraux Avancés, fidèles du président en exercice, pour méditer sur « l'avenir des libertés dans les nations industrialisées ou en voie de l'être»?
Sans compter son prix (d'où vient l'argent?), l'opération attire une nuée d'inspecteurs des Renseignements généraux et de C.R.S. venus assurer la sécurité des J.L.A. Prétexte ; le projet de chahut formé par des gauchisants du pays, dont le jeune Paul Pujol-Arnaud, et la présence supposée de l'anarchiste Carlos.
Le danger est là, dans cette mainmise policière sur le village, dans le sentiment d'impunité que retirent quelques-uns de cette puissance à leur service. Quand l'engrenage se met en marche, le reste suit, un homme meurt, la Bête s'est éveillée.
Récit vigoureux au « suspense » plein de réalisme, La Bête est aussi un excellent apologue que devrait méditer tout homme de bonne volonté quelle que soit sa couleur politique.
(Babelio) |
La bête : Roman [texte imprimé] / René-Victor Pilhes, Auteur . - Seuil, 1976 . - 22 p. ; 17 cm. - ( Le Livre de poche; 5240) . Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature française Policier
| Index. décimale : | 82-312.4 Roman policier. Thriller. Roman d'épouvante | Résumé : | En théorie, qu'y a-t-il d'anormal ou de dangereux à ce qu'un mouvement de jeunes gens fondé pour soutenir une action politique convie des délégués étrangers à participer à une réunion de réflexion dans un petit village de montagne? Rien.
En pratique, pourquoi choisir Orveix en Haute-Ariège et la modeste maison de l'aubergiste Hécart alors qu'un château de la Région parisienne aurait mieux cadré avec l'image de marque des Jeunes Libéraux Avancés, fidèles du président en exercice, pour méditer sur « l'avenir des libertés dans les nations industrialisées ou en voie de l'être»?
Sans compter son prix (d'où vient l'argent?), l'opération attire une nuée d'inspecteurs des Renseignements généraux et de C.R.S. venus assurer la sécurité des J.L.A. Prétexte ; le projet de chahut formé par des gauchisants du pays, dont le jeune Paul Pujol-Arnaud, et la présence supposée de l'anarchiste Carlos.
Le danger est là, dans cette mainmise policière sur le village, dans le sentiment d'impunité que retirent quelques-uns de cette puissance à leur service. Quand l'engrenage se met en marche, le reste suit, un homme meurt, la Bête s'est éveillée.
Récit vigoureux au « suspense » plein de réalisme, La Bête est aussi un excellent apologue que devrait méditer tout homme de bonne volonté quelle que soit sa couleur politique.
(Babelio) |
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