Titre : | La petite fadette | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | George Sand (1804-1876), Auteur ; Geneviève van den Bogaert, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris [France] : Garnier-Flammarion | Année de publication : | 1967 | Collection : | GF num. 155 | Importance : | 243 p. | Format : | 18 cm | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature française
| Index. décimale : | 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française | Résumé : | «Il sentit quelqu'un qui lui tapait l'épaule, et se retournant il vit la petite-fille de la mère Fadet, qu'on appelait dans le pays la petite Fadette, autant pour ce que c'était son nom de famille que pour ce qu'on voulait qu'elle fût un peu sorcière aussi. Vous savez tous que le fadet ou le farfadet, qu'en d'autres endroits on appelle aussi le follet, est un lutin fort gentil, mais un peu malicieux. On appelle aussi fades les fées auxquelles, du côté de chez nous, on ne croit plus guère. Mais que cela voulût dire une petite fée, ou la femelle du lutin, chacun en la voyant s'imaginait voir le follet, tant elle était petite, maigre, ébouriffée et hardie. C'était un enfant très causeur et très moqueur, vif comme un papillon, curieux comme un rouge-gorge et noir comme un grelet.»
(Flammarion) |
La petite fadette [texte imprimé] / George Sand (1804-1876), Auteur ; Geneviève van den Bogaert, Préfacier, etc. . - Garnier-Flammarion, 1967 . - 243 p. ; 18 cm. - ( GF; 155) . Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature française
| Index. décimale : | 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française | Résumé : | «Il sentit quelqu'un qui lui tapait l'épaule, et se retournant il vit la petite-fille de la mère Fadet, qu'on appelait dans le pays la petite Fadette, autant pour ce que c'était son nom de famille que pour ce qu'on voulait qu'elle fût un peu sorcière aussi. Vous savez tous que le fadet ou le farfadet, qu'en d'autres endroits on appelle aussi le follet, est un lutin fort gentil, mais un peu malicieux. On appelle aussi fades les fées auxquelles, du côté de chez nous, on ne croit plus guère. Mais que cela voulût dire une petite fée, ou la femelle du lutin, chacun en la voyant s'imaginait voir le follet, tant elle était petite, maigre, ébouriffée et hardie. C'était un enfant très causeur et très moqueur, vif comme un papillon, curieux comme un rouge-gorge et noir comme un grelet.»
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