Titre : | La sonate à Kreutzer : précédé de Le bonheur conjugal et suivi de Le Diable | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Léon Tolstoï, Auteur ; Jean Freustié (1914-1983), Préfacier, etc. ; Sylvie Luneau, Traducteur ; Boris de Schloezer (1881-1969), Traducteur | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | 2002 | Collection : | Folio | Sous-collection : | Classique num. 622 | Importance : | 310 p. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-036622-4 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Russe (rus) | Catégories : | Littérature russe
| Index. décimale : | 821.161.1 Littérature russe | Résumé : | «Je posai le revolver et le recouvris d'un journal. Je m'approchai de la porte et l'ouvris. C'était la sœur de ma femme, une veuve à la fois bonne et stupide ...
- Vassia, va la voir. Ah ! c'est affreux, dit-elle.
"Aller la voir ?" m'interrogeais-je. Aussitôt je me répondis qu'il fallait aller la voir, que probablement cela se faisait toujours. Quand un mari, comme moi, avait tué sa femme, il fallait certainement qu'il aille la voir. "Si cela se fait, il faut y aller, me dis-je. Et si c'est nécessaire j'aurai toujours le temps", songeai-je à propos de mon intention de me suicider...
- Attends, dis-je à ma belle-sœur, c'est bête d'y aller sans bottes, laisse-moi au moins mettre mes pantoufles.» (Gallimard) |
La sonate à Kreutzer : précédé de Le bonheur conjugal et suivi de Le Diable [texte imprimé] / Léon Tolstoï, Auteur ; Jean Freustié (1914-1983), Préfacier, etc. ; Sylvie Luneau, Traducteur ; Boris de Schloezer (1881-1969), Traducteur . - Gallimard, 2002 . - 310 p. ; 18 cm. - ( Folio. Classique; 622) . ISBN : 978-2-07-036622-4 Langues : Français ( fre) Langues originales : Russe ( rus) Catégories : | Littérature russe
| Index. décimale : | 821.161.1 Littérature russe | Résumé : | «Je posai le revolver et le recouvris d'un journal. Je m'approchai de la porte et l'ouvris. C'était la sœur de ma femme, une veuve à la fois bonne et stupide ...
- Vassia, va la voir. Ah ! c'est affreux, dit-elle.
"Aller la voir ?" m'interrogeais-je. Aussitôt je me répondis qu'il fallait aller la voir, que probablement cela se faisait toujours. Quand un mari, comme moi, avait tué sa femme, il fallait certainement qu'il aille la voir. "Si cela se fait, il faut y aller, me dis-je. Et si c'est nécessaire j'aurai toujours le temps", songeai-je à propos de mon intention de me suicider...
- Attends, dis-je à ma belle-sœur, c'est bête d'y aller sans bottes, laisse-moi au moins mettre mes pantoufles.» (Gallimard) |
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