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Auteur Cécile Goffard
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Titre : L'exotisme au cinéma : Le charme discret de l'étranger Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Bonvoisin, Auteur ; Nicolas Bras, Auteur ; Cécile Goffard, Auteur Editeur : Bruxelles : Media Animation Année de publication : 2018 Importance : 127 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-960157-98-7 Langues : Français (fre) Catégories : Cinéma Tags : cinéma (exotisme) Index. décimale : 791 Cinéma Résumé : À quoi sert l’étranger au cinéma ? Côté pile : l’Autre est un personnage qui a souvent les faveurs du cinéma pour ce qu’il aurait de louche et d’inquiétant. Côté face, l’étranger peut aussi être attirant et séduisant : il est exotique. Depuis sa naissance, le cinéma a su exploiter ce goût pour pimenter les films et garantir le spectacle. En retraçant son histoire, nous pouvons tenter de cerner l’évolution du rapport à l’Autre et observer comment le cinéma s’y adapte. Découvrez le dernier numéro de notre collection "Les dossiers de l’Éducation aux médias".
Depuis son invention, le cinéma cherche à séduire le public en exacerbant ses contenus : paysages époustouflants, explosions spectaculaires, émotions exacerbées, suspens insoutenables,… Parmi les ressources à sa disposition, les populations étrangères ont rapidement constitué un réservoir efficace : mobilisant des personnages curieux, des populations bigarrées et des coutumes étonnantes. Dans ces films, l’Autre n’est pas nuisible. Ses accoutrements, ses gestes, ses coutumes fascinent. N’est-ce pas sous l’apparence d’un cheik arabe que Rudolph Valentino séduisait le mieux ? Grâce à l’exotisme, l’étranger, à la fois le lieu et celui qui le peuple, acquiert des qualités. Que serait James Bond sans les hôtes (souvent hôtesses) amicaux et chamarrés au milieu desquels il déambule ? Indiana Jones pourrait-il justifier son fouet sans les indigènes sauvages mais fascinants qu’il sait dompter ? Combien de fictions n’auraient pas vu le jour sans le ressort de l’ailleurs, sans les qualités esthétiques de la différence ? Slumdog millionaire fonctionnerait-il s’il avait été réalisé dans la Grande Bretagne de son réalisateur Danny Boyle ?
L’exotisme est plaisant, c’est un rapport qui valorise l’Autre pour ses différences. D’une certaine manière, il est un vecteur d’interculturalité. Toutefois, le cinéma le montre bien, l’étrangeté de l’étranger ne semble intéressante qu’à partir du moment où elle est sensationnelle. Il faut donc surprendre, tout en restant « réaliste ». A travers l’histoire du cinéma, l’image exotique a fortement évolué. Directement issues des imaginaires féconds des publics bercés par l’aventure coloniale, les images ont été tout au long du siècle confrontées à celles provenant des témoignages réels, imposées par les reportages. Au fil des décennies, l’exotisme s’est ancré dans l’immense imagier qui constitue l’environnement médiatique dans lequel tous les spectateurs sont baignés, au risque de perdre en puissance, de se banaliser pour finalement disparaître.
L’exotisme renvoie au spectateur : puisqu’on projette la différence, celle-ci doit forcément contraster avec soi. Qu’est-ce qui est étrange dans l’Autre ? L’exotisme donne-t-il à voir uniquement un reflet inversé ? Néglige-t-il des différences insoupçonnées ? Est-il une carte postale stéréotypée ou un portrait instructif ? L’exotisme est-il une épice nécessaire pour s’intéresser au reste du monde ? A défaut d’aboutir à des certitudes, ces questions interrogent tant le cinéma, ancien ou nouveau, que le public qui le consomme. L’analyse du cinéma permet de réfléchir à une question qu’il nous pose : au fond, à quoi sert l’étranger ?
On peut définir l’exotisme comme le goût pour ce qui est étranger. Depuis le début de son histoire, le cinéma a su exploiter ce goût pour pimenter les films et garantir le spectacle. Cette étude examine ce rapport à travers l’évolution du cinéma populaire et veut encourager une perspective critique sur le cinéma, pris non comme une œuvre d’art, mais comme une somme de documents qui s’enrichit sans cesse et dont la comparaison rend compte des représentations sociales et de leurs évolutions.
(media-animation.be)En ligne : https://media-animation.be/IMG/pdf/media_animation_-_etude_2018_-_l_exotisme_au_ [...] L'exotisme au cinéma : Le charme discret de l'étranger [texte imprimé] / Daniel Bonvoisin, Auteur ; Nicolas Bras, Auteur ; Cécile Goffard, Auteur . - Bruxelles : Media Animation, 2018 . - 127 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-960157-98-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Cinéma Tags : cinéma (exotisme) Index. décimale : 791 Cinéma Résumé : À quoi sert l’étranger au cinéma ? Côté pile : l’Autre est un personnage qui a souvent les faveurs du cinéma pour ce qu’il aurait de louche et d’inquiétant. Côté face, l’étranger peut aussi être attirant et séduisant : il est exotique. Depuis sa naissance, le cinéma a su exploiter ce goût pour pimenter les films et garantir le spectacle. En retraçant son histoire, nous pouvons tenter de cerner l’évolution du rapport à l’Autre et observer comment le cinéma s’y adapte. Découvrez le dernier numéro de notre collection "Les dossiers de l’Éducation aux médias".
Depuis son invention, le cinéma cherche à séduire le public en exacerbant ses contenus : paysages époustouflants, explosions spectaculaires, émotions exacerbées, suspens insoutenables,… Parmi les ressources à sa disposition, les populations étrangères ont rapidement constitué un réservoir efficace : mobilisant des personnages curieux, des populations bigarrées et des coutumes étonnantes. Dans ces films, l’Autre n’est pas nuisible. Ses accoutrements, ses gestes, ses coutumes fascinent. N’est-ce pas sous l’apparence d’un cheik arabe que Rudolph Valentino séduisait le mieux ? Grâce à l’exotisme, l’étranger, à la fois le lieu et celui qui le peuple, acquiert des qualités. Que serait James Bond sans les hôtes (souvent hôtesses) amicaux et chamarrés au milieu desquels il déambule ? Indiana Jones pourrait-il justifier son fouet sans les indigènes sauvages mais fascinants qu’il sait dompter ? Combien de fictions n’auraient pas vu le jour sans le ressort de l’ailleurs, sans les qualités esthétiques de la différence ? Slumdog millionaire fonctionnerait-il s’il avait été réalisé dans la Grande Bretagne de son réalisateur Danny Boyle ?
L’exotisme est plaisant, c’est un rapport qui valorise l’Autre pour ses différences. D’une certaine manière, il est un vecteur d’interculturalité. Toutefois, le cinéma le montre bien, l’étrangeté de l’étranger ne semble intéressante qu’à partir du moment où elle est sensationnelle. Il faut donc surprendre, tout en restant « réaliste ». A travers l’histoire du cinéma, l’image exotique a fortement évolué. Directement issues des imaginaires féconds des publics bercés par l’aventure coloniale, les images ont été tout au long du siècle confrontées à celles provenant des témoignages réels, imposées par les reportages. Au fil des décennies, l’exotisme s’est ancré dans l’immense imagier qui constitue l’environnement médiatique dans lequel tous les spectateurs sont baignés, au risque de perdre en puissance, de se banaliser pour finalement disparaître.
L’exotisme renvoie au spectateur : puisqu’on projette la différence, celle-ci doit forcément contraster avec soi. Qu’est-ce qui est étrange dans l’Autre ? L’exotisme donne-t-il à voir uniquement un reflet inversé ? Néglige-t-il des différences insoupçonnées ? Est-il une carte postale stéréotypée ou un portrait instructif ? L’exotisme est-il une épice nécessaire pour s’intéresser au reste du monde ? A défaut d’aboutir à des certitudes, ces questions interrogent tant le cinéma, ancien ou nouveau, que le public qui le consomme. L’analyse du cinéma permet de réfléchir à une question qu’il nous pose : au fond, à quoi sert l’étranger ?
On peut définir l’exotisme comme le goût pour ce qui est étranger. Depuis le début de son histoire, le cinéma a su exploiter ce goût pour pimenter les films et garantir le spectacle. Cette étude examine ce rapport à travers l’évolution du cinéma populaire et veut encourager une perspective critique sur le cinéma, pris non comme une œuvre d’art, mais comme une somme de documents qui s’enrichit sans cesse et dont la comparaison rend compte des représentations sociales et de leurs évolutions.
(media-animation.be)En ligne : https://media-animation.be/IMG/pdf/media_animation_-_etude_2018_-_l_exotisme_au_ [...] Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016644 ! Livre Médias Disponible
Titre : Racisme, médias et société Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Bonvoisin, Auteur ; Cécile Goffard, Auteur ; Brieuc Guffens, Auteur Editeur : Bruxelles : Media Animation Année de publication : 2021 Importance : 162 p. Présentation : ill. Format : 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-960157-99-4 Langues : Français (fre) Catégories : Source d'information Tags : racisme (médias) Index. décimale : 316.774 Media. Canaux de communication Résumé : Malgré les beaux discours sur l’égalité et la tolérance, notre société reste gangrenée par le racisme. Malgré la volonté affichée d’encourager la diversité, les rédactions des médias d’information restent majoritairement blanches. Malgré l’ouverture sur le monde que permettent les technologies contemporaines, notre regard sur les sociétés étrangères à la nôtre est partiel et partial. Malgré notre obstination à proclamer qu’« on ne voit pas les couleurs, mais les êtres humains », le cinéma distribue les rôles en fonction de stéréotypes réducteurs. Quel rôle les médias jouent-ils alors dans la reproduction des inégalités ? Permettent-ils au contraire de les réduire ?
À travers l’analyse critique d’une multitude d’exemples issus des médias populaires, cette étude représente, pour le public, une opportunité d’identifier les routines discriminantes et des leviers d’action pour les endiguer. Pour les industries culturelles et les médias d’information, elle propose de relever un défi : comment composer un récit plus juste sur le monde et ses habitant·es ? (media-animation.be)En ligne : https://media-animation.be/IMG/pdf/mediaanimation_-_2021_-_racismemediasetsociet [...] Racisme, médias et société [texte imprimé] / Daniel Bonvoisin, Auteur ; Cécile Goffard, Auteur ; Brieuc Guffens, Auteur . - Bruxelles : Media Animation, 2021 . - 162 p. : ill. ; 15 cm.
ISBN : 978-2-960157-99-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Source d'information Tags : racisme (médias) Index. décimale : 316.774 Media. Canaux de communication Résumé : Malgré les beaux discours sur l’égalité et la tolérance, notre société reste gangrenée par le racisme. Malgré la volonté affichée d’encourager la diversité, les rédactions des médias d’information restent majoritairement blanches. Malgré l’ouverture sur le monde que permettent les technologies contemporaines, notre regard sur les sociétés étrangères à la nôtre est partiel et partial. Malgré notre obstination à proclamer qu’« on ne voit pas les couleurs, mais les êtres humains », le cinéma distribue les rôles en fonction de stéréotypes réducteurs. Quel rôle les médias jouent-ils alors dans la reproduction des inégalités ? Permettent-ils au contraire de les réduire ?
À travers l’analyse critique d’une multitude d’exemples issus des médias populaires, cette étude représente, pour le public, une opportunité d’identifier les routines discriminantes et des leviers d’action pour les endiguer. Pour les industries culturelles et les médias d’information, elle propose de relever un défi : comment composer un récit plus juste sur le monde et ses habitant·es ? (media-animation.be)En ligne : https://media-animation.be/IMG/pdf/mediaanimation_-_2021_-_racismemediasetsociet [...] Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016650 ! Livre Médias Disponible
Titre : Sexisme, médias et société Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Goffard, Auteur ; Daniel Bonvoisin, Auteur ; Brieuc Guffens, Auteur ; Axelle Pisuto, Auteur ; Pascale Vandenavenne, Auteur Editeur : Bruxelles : Media Animation Année de publication : 2019 Importance : 151 p. Présentation : ill. Format : 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-960157-95-6 Langues : Français (fre) Catégories : Source d'information Tags : sexisme (médias) préjugés Index. décimale : 316.774 Media. Canaux de communication Résumé : Il est moins discriminant d’appartenir au groupe des hommes qu’à celui des femmes. Les mécanismes qui produisent cette inégalité sont ancrés dans nos relations interpersonnelles et entretenus par notre système politique, social et économique ainsi que dans nos représentations populaires et médiatiques. À la demande de la RTBF et avec son soutien, Média Animation s’est immergée dans cet enjeu de société majeur. Le fruit de ce travail est ressemblé dans l’étude "Sexisme, médias et société".
Une société sexiste ne peut pas produire des médias égalitaires. À l’inverse, une société ne peut être égalitaire si ses représentations médiatiques sont imprégnées de sexisme. Le sexisme ne s’arrête pas aux portes des rédactions et doit être combattu au sein même des entreprises qui produisent les médias.
Notre société, les entreprises qui créent les médias et les contenus médiatiques eux-mêmes sont des entités interconnectées : elles sont le reflet l’une de l’autre, s’influencent et se co-construisent. Il existe un continuum entre le harcèlement de rue, les remarques sur la tenue d’une collègue au travail et l’objectification des femmes dans le cinéma.
(media-animation.be)Note de contenu : Cette brochure prend donc le parti de décrypter le sexisme sous trois angles : la société, le monde du travail et les médias. Plusieurs dimensions seront explorées :
Hommes, femmes, chacun sa place ?
Pourquoi les femmes ont elles huit heures de temps libre en moins que les hommes chaque semaine ? Les femmes sont-elles vraiment plus bavardes que les hommes dans les réunions de travail ? Pourquoi les hommes sont-ils majoritaires dans les médias ?
L’argent public finance-t-il plus les sports pratiqués par les hommes ? Pourquoi le physique des sportives est-il plus commenté que leur performance ?
La beauté, une machine à discriminer
Pourquoi les femmes sont-elles les seules à devoir s’épiler les aisselles ? Au travail, un compliment sur le physique est-il vraiment anodin ? Au cinéma, pourquoi la caméra scrute-elle les cuisses et les fesses des actrices, mais rarement celles des acteurs ?
Le patriarcat, terreau de violences entre hommes et contre les femmes
Pourquoi les violences dans le couple sont-elles majoritairement le fait des hommes ? Ne peut-on vraiment plus rien dire ? Pourquoi les femmes journalistes désertent-elles le métier ?
Tout au long de cette brochure, des exemples illustrent la manière dont les inégalités se matérialisent dans notre société, le monde du travail et les médias. Ces exemples sont accompagnés de concepts pour mettre à nu la mécanique sexiste et nommer les inégalités. Parce que sans les outils pour reconnaître et comprendre les inégalités, il est impossible de les combattre. Enfin, la brochure met en avant des initiatives de militant.e.s et de professionnel.le.s des médias, des liens pour aller plus loin et des pistes de réflexion. Cette pluralité de points de vue vise à inspirer aux lecteurs et lectrices des actions concrètes pour combattre le sexisme dans toutes ses dimensions.
(media-animation.be)En ligne : https://media-animation.be/IMG/pdf/media_animation_2019_-_sexisme_medias_et_soci [...] Sexisme, médias et société [texte imprimé] / Cécile Goffard, Auteur ; Daniel Bonvoisin, Auteur ; Brieuc Guffens, Auteur ; Axelle Pisuto, Auteur ; Pascale Vandenavenne, Auteur . - Bruxelles : Media Animation, 2019 . - 151 p. : ill. ; 15 cm.
ISBN : 978-2-960157-95-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Source d'information Tags : sexisme (médias) préjugés Index. décimale : 316.774 Media. Canaux de communication Résumé : Il est moins discriminant d’appartenir au groupe des hommes qu’à celui des femmes. Les mécanismes qui produisent cette inégalité sont ancrés dans nos relations interpersonnelles et entretenus par notre système politique, social et économique ainsi que dans nos représentations populaires et médiatiques. À la demande de la RTBF et avec son soutien, Média Animation s’est immergée dans cet enjeu de société majeur. Le fruit de ce travail est ressemblé dans l’étude "Sexisme, médias et société".
Une société sexiste ne peut pas produire des médias égalitaires. À l’inverse, une société ne peut être égalitaire si ses représentations médiatiques sont imprégnées de sexisme. Le sexisme ne s’arrête pas aux portes des rédactions et doit être combattu au sein même des entreprises qui produisent les médias.
Notre société, les entreprises qui créent les médias et les contenus médiatiques eux-mêmes sont des entités interconnectées : elles sont le reflet l’une de l’autre, s’influencent et se co-construisent. Il existe un continuum entre le harcèlement de rue, les remarques sur la tenue d’une collègue au travail et l’objectification des femmes dans le cinéma.
(media-animation.be)Note de contenu : Cette brochure prend donc le parti de décrypter le sexisme sous trois angles : la société, le monde du travail et les médias. Plusieurs dimensions seront explorées :
Hommes, femmes, chacun sa place ?
Pourquoi les femmes ont elles huit heures de temps libre en moins que les hommes chaque semaine ? Les femmes sont-elles vraiment plus bavardes que les hommes dans les réunions de travail ? Pourquoi les hommes sont-ils majoritaires dans les médias ?
L’argent public finance-t-il plus les sports pratiqués par les hommes ? Pourquoi le physique des sportives est-il plus commenté que leur performance ?
La beauté, une machine à discriminer
Pourquoi les femmes sont-elles les seules à devoir s’épiler les aisselles ? Au travail, un compliment sur le physique est-il vraiment anodin ? Au cinéma, pourquoi la caméra scrute-elle les cuisses et les fesses des actrices, mais rarement celles des acteurs ?
Le patriarcat, terreau de violences entre hommes et contre les femmes
Pourquoi les violences dans le couple sont-elles majoritairement le fait des hommes ? Ne peut-on vraiment plus rien dire ? Pourquoi les femmes journalistes désertent-elles le métier ?
Tout au long de cette brochure, des exemples illustrent la manière dont les inégalités se matérialisent dans notre société, le monde du travail et les médias. Ces exemples sont accompagnés de concepts pour mettre à nu la mécanique sexiste et nommer les inégalités. Parce que sans les outils pour reconnaître et comprendre les inégalités, il est impossible de les combattre. Enfin, la brochure met en avant des initiatives de militant.e.s et de professionnel.le.s des médias, des liens pour aller plus loin et des pistes de réflexion. Cette pluralité de points de vue vise à inspirer aux lecteurs et lectrices des actions concrètes pour combattre le sexisme dans toutes ses dimensions.
(media-animation.be)En ligne : https://media-animation.be/IMG/pdf/media_animation_2019_-_sexisme_medias_et_soci [...] Réservation
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