Titre : | Le cul de Judas | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Antonio Lobo Antunes (1942-....), Auteur ; Pierre Léglise-Costa (1945-....), Traducteur | Editeur : | Paris [France] : Métailié | Année de publication : | 1997 | Collection : | Suites num. 3 | Importance : | 213 p. | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86424-248-2 | Prix : | 7,10 € | Langues : | Français (fre) Langues originales : Portugais (por) | Catégories : | Littérature portugaise
| Index. décimale : | 821.134.3 Littérature portugaise | Résumé : | Le " cul de Judas ", c'est le bourbier angolais dans lequel s'enferra l'armée coloniale portugaise au début des années 1970. Cette guerre est ici au centre du récit, un torrentiel monologue intérieur du narrateur, ancien médecin aux armées revenu détruit d'Angola, qui raconte son enfer à une inconnue, tout au long d'une nuit de beuverie. Face à la misère des peuples, au désarroi des esprits, à la bêtise de la hiérarchie, à la souffrance des corps, l'officier se réfugie dans l'évocation d'une épouse à la fois chérie et trahie, dont on ne saura rien sinon qu'elle personnifie peut-être Lisbonne.
" Ce que je voudrais, ce n'est pas qu'on me lise, mais qu'on vive le livre. Mon but, c'est de faire en sorte que les mots signifient ces émotions. " Le théâtre apparaît comme un catalyseur évident de la beauté et de la densité de la prose de Lobo Antunes, ce à quoi s'est attelé François Duval avec sa Compagnie Fortune Carrée dans cette adaptation.(Decitre) |
Le cul de Judas [texte imprimé] / Antonio Lobo Antunes (1942-....), Auteur ; Pierre Léglise-Costa (1945-....), Traducteur . - Métailié, 1997 . - 213 p. ; 19 cm. - ( Suites; 3) . ISBN : 978-2-86424-248-2 : 7,10 € Langues : Français ( fre) Langues originales : Portugais ( por) Catégories : | Littérature portugaise
| Index. décimale : | 821.134.3 Littérature portugaise | Résumé : | Le " cul de Judas ", c'est le bourbier angolais dans lequel s'enferra l'armée coloniale portugaise au début des années 1970. Cette guerre est ici au centre du récit, un torrentiel monologue intérieur du narrateur, ancien médecin aux armées revenu détruit d'Angola, qui raconte son enfer à une inconnue, tout au long d'une nuit de beuverie. Face à la misère des peuples, au désarroi des esprits, à la bêtise de la hiérarchie, à la souffrance des corps, l'officier se réfugie dans l'évocation d'une épouse à la fois chérie et trahie, dont on ne saura rien sinon qu'elle personnifie peut-être Lisbonne.
" Ce que je voudrais, ce n'est pas qu'on me lise, mais qu'on vive le livre. Mon but, c'est de faire en sorte que les mots signifient ces émotions. " Le théâtre apparaît comme un catalyseur évident de la beauté et de la densité de la prose de Lobo Antunes, ce à quoi s'est attelé François Duval avec sa Compagnie Fortune Carrée dans cette adaptation.(Decitre) |
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