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Collection Les Empêcheurs de penser en rond
- Editeur : La Découverte
- ISSN : 1151-6461
Documents disponibles dans la collection
Affiner la rechercheLa politique de l'oxymore / Bertrand Méheust (2009)
Titre : La politique de l'oxymore : comment ceux qui nous gouvernent nous masquent la réalité du monde Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Méheust, Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : 2009 Collection : Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461 Importance : 161 p. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-5730-0 Prix : 12 EUR Langues : Français (fre) Tags : écologie climat Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : Les démocraties modernes possèdent-elles les ressorts nécessaires pour prévenir et affronter la catastrophe écologique due au réchauffement climatique? Comme l'explique Bertrand Méheust, ce n'est pas de l'écologie libérale et du "développement durable" que viendra la réponse: ces discours consistent à graver dans l'esprit du public l'idée que l'écologie est compatible avec la croissance et même mieux qu'elle la réclame afin de masquer l'incompatibilité entre la société globalisée dirigée par le marché et la préservation de la biosphère.
Un univers mental ne renonce jamais à lui-même si des forces extérieures ne l'y contraignent pas. Le système a saturé tout l'espace disponible et est à l'origine de tensions de plus en plus fortes. Pour les masquer, ceux qui nous gouvernent pratiquent la politique de l'oxymore. Forgés artificiellement pour paralyser les oppositions potentielles, les oxymores font fusionner deux réalités contradictoires: "développement durable", "agriculture raisonnée", "marché civilisationnel ", "flexisécurité ", "moralisation du capitalisme", "mal propre", etc.
Ils favorisent la destruction des esprits, deviennent des facteurs de pathologie et des outils de mensonge. Plus l'on produit d'oxymores et plus les gens sont désorientés et inaptes à penser. Utilisés à doses massives, ils rendent fou. Ainsi, si le pouvoir de Sarkozy fait rupture, c'est par la production et l'usage cynique, sans précédent dans la démocratie française, d'oxymores à grande échelle. (Decitre)La politique de l'oxymore : comment ceux qui nous gouvernent nous masquent la réalité du monde [texte imprimé] / Bertrand Méheust, Auteur . - La Découverte, 2009 . - 161 p. ; 19 cm. - (Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461) .
ISBN : 978-2-7071-5730-0 : 12 EUR
Langues : Français (fre)
Tags : écologie climat Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : Les démocraties modernes possèdent-elles les ressorts nécessaires pour prévenir et affronter la catastrophe écologique due au réchauffement climatique? Comme l'explique Bertrand Méheust, ce n'est pas de l'écologie libérale et du "développement durable" que viendra la réponse: ces discours consistent à graver dans l'esprit du public l'idée que l'écologie est compatible avec la croissance et même mieux qu'elle la réclame afin de masquer l'incompatibilité entre la société globalisée dirigée par le marché et la préservation de la biosphère.
Un univers mental ne renonce jamais à lui-même si des forces extérieures ne l'y contraignent pas. Le système a saturé tout l'espace disponible et est à l'origine de tensions de plus en plus fortes. Pour les masquer, ceux qui nous gouvernent pratiquent la politique de l'oxymore. Forgés artificiellement pour paralyser les oppositions potentielles, les oxymores font fusionner deux réalités contradictoires: "développement durable", "agriculture raisonnée", "marché civilisationnel ", "flexisécurité ", "moralisation du capitalisme", "mal propre", etc.
Ils favorisent la destruction des esprits, deviennent des facteurs de pathologie et des outils de mensonge. Plus l'on produit d'oxymores et plus les gens sont désorientés et inaptes à penser. Utilisés à doses massives, ils rendent fou. Ainsi, si le pouvoir de Sarkozy fait rupture, c'est par la production et l'usage cynique, sans précédent dans la démocratie française, d'oxymores à grande échelle. (Decitre)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016397 ! Livre Politique Disponible L'effroi et la terreur / Caroline Oudin-Bastide (2013)
Titre : L'effroi et la terreur : esclavage, poison et sorcellerie aux Antilles Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Oudin-Bastide (1949-....), Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : 2013 Collection : Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461 Importance : 325 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-359-25065-7 Prix : 27.70 € Langues : Français (fre) Catégories : Antilles françaises
EsclavageTags : esclavage esclavage (Antilles françaises) esclavage (France) sorcellerie Index. décimale : 326 Esclavage. Travail forcé Résumé : Aux XVIIIe et XIXe siècles, un étrange fléau affole les colons des Antilles françaises : le « poison ». Ce terme est souvent associé – voire assimilé – à celui de « maléfices », les « empoisonneurs » étant d’ailleurs fréquemment dénoncés comme « sorciers ». Les imputations de crime d’empoisonnement participent d’un système de croyances magiques qui amène les maîtres à prêter aux nègres une extraordinaire force de nuisance fondée sur une science botanique occulte associée à d’effrayants pouvoirs.
L’effroi qui saisit les colons engendre la terreur contre les esclaves : terreur illégale exercée à titre privé par les maîtres mais aussi terreur légalisée par la création de juridictions spéciales puis par l’instauration d’un impitoyable dispositif administratif de répression.
Dans ce livre bouleversant, l’auteure trace avec précision la généalogie de cette grande peur et en reconstitue la logique sociale en s’appuyant sur des récits et des documents souvent totalement inédits. La violence esclavagiste mise en lumière par l’analyse du crime d’empoisonnement est tout autant la violence ordinaire (privations quotidiennes, travail effectué sous le fouet, châtiments corporels banalisés) que celle qui prend les formes les plus cruelles pour signifier aux esclaves que leur sort est entre les mains du seul maître, qu’aucun autre pouvoir (politique, judiciaire ou religieux) ne peut leur venir en aide. (4e de couv.)L'effroi et la terreur : esclavage, poison et sorcellerie aux Antilles [texte imprimé] / Caroline Oudin-Bastide (1949-....), Auteur . - La Découverte, 2013 . - 325 p. ; 21 cm. - (Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461) .
ISBN : 978-2-359-25065-7 : 27.70 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Antilles françaises
EsclavageTags : esclavage esclavage (Antilles françaises) esclavage (France) sorcellerie Index. décimale : 326 Esclavage. Travail forcé Résumé : Aux XVIIIe et XIXe siècles, un étrange fléau affole les colons des Antilles françaises : le « poison ». Ce terme est souvent associé – voire assimilé – à celui de « maléfices », les « empoisonneurs » étant d’ailleurs fréquemment dénoncés comme « sorciers ». Les imputations de crime d’empoisonnement participent d’un système de croyances magiques qui amène les maîtres à prêter aux nègres une extraordinaire force de nuisance fondée sur une science botanique occulte associée à d’effrayants pouvoirs.
L’effroi qui saisit les colons engendre la terreur contre les esclaves : terreur illégale exercée à titre privé par les maîtres mais aussi terreur légalisée par la création de juridictions spéciales puis par l’instauration d’un impitoyable dispositif administratif de répression.
Dans ce livre bouleversant, l’auteure trace avec précision la généalogie de cette grande peur et en reconstitue la logique sociale en s’appuyant sur des récits et des documents souvent totalement inédits. La violence esclavagiste mise en lumière par l’analyse du crime d’empoisonnement est tout autant la violence ordinaire (privations quotidiennes, travail effectué sous le fouet, châtiments corporels banalisés) que celle qui prend les formes les plus cruelles pour signifier aux esclaves que leur sort est entre les mains du seul maître, qu’aucun autre pouvoir (politique, judiciaire ou religieux) ne peut leur venir en aide. (4e de couv.)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600015153 ! Livre Histoire de l'esclavage Disponible Les faiseuses d'histoires / Vinciane Despret (2011)
Titre : Les faiseuses d'histoires : que font les femmes à la pensée ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Despret (1959-....), Auteur ; Isabelle Stengers, Auteur Editeur : Paris [France] : La Découverte Année de publication : 2011 Collection : Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461 Importance : 205 p. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-359-25047-3 Prix : 14 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Féminisme
PhilosophieTags : féminisme pensées philosophiques Index. décimale : 141.72 Féminisme Résumé : Comment garder la force que nous ont transmise les femmes dont on n'attendait rien d'autre que d'être une maîtresse de maison - épouse, mère ? Ces femmes qui, bravant le ridicule, de manière parfaitement désintéressée (elles ne pouvaient nourrir aucun espoir de carrière), ont résisté à l'objection doucereuse de leur père : « Mais, ma chérie, tu ne manques de rien... » et ont cherché par tous les moyens à créer et à vivre. L'Université leur était alors interdite et Virginia Woolf mettait leurs filles en garde : n'allez jamais rejoindre la procession « des hommes chargés d'honneurs et de responsabilités ». Qu'avons-nous appris, nous, les filles infidèles de Virginia, qui avons, de fait, rejoint les rangs des « hommes cultivés » ? Nous avons le sentiment d'assister à la fin d'une époque : celle où nous pouvions nous réjouir de voir des jeunes femmes (et des jeunes hommes aussi) prendre goût à la recherche, devenir capables de cette liberté dont nous avons profité. Désormais, à l'Université comme partoutailleurs, il s'agit de manifester sa flexibilité, d'apprendre à donner les bons signaux et à écouter ceux qui proviennent du marché, bref de donner les gages requis de motivation et de sérieux. Comment vivre cette fin d'époque sur un mode qui ne soit ni cynique ni nostalgique ? Comment échapper au « chacun pour soi » qui devient la règle à l'Université comme ailleurs ? Comment faire aujourd'hui relais au cri de Woolf, « Penser nous devons » ? Il nous fallait rencontrer des femmes chez qui nos questions faisaient écho et qui pourraient leur donner des dimensions imprévues, appeler à prolonger ainsi le cri de Virginia Woolf. Françoise Balibar, Bernadette Bensaude-Vincent, Laurence Bouquiaux, Barbara Cassin, Mona Chollet, Emilie Hache, Françoise Sironi, Marcelle Stroobants, Benedikte Zitouni, ont accepté de témoigner des anecdotes, des événements discrets ou des perplexités qui ont marqué le chemin par lequel chacune a découvert ce que pouvait signifier « penser » et passer ainsi du refus à la création. Mêmes si les portes de l'Université se sont ouvertes aux femmes, cela ne signifie pas qu'elles s'y soient senties « à leur place ». (Decitre) Note de contenu :
NOUS QUI SOMMES A L'UNIVERSITE
PAS EN NOTRE NOM
CREER UN NOUS
EN TANT QUE FEMMES ?
PRISE DE RELAIS ?
LE PERSONNEL EST POLITIQUE
LA QUESTION DE L'HERITAGE
DEUX PLUS UNE
CONSTRUIRE LA QUESTION
UNE INDUCTION, CELA MARCHE
(Decitre)Les faiseuses d'histoires : que font les femmes à la pensée ? [texte imprimé] / Vinciane Despret (1959-....), Auteur ; Isabelle Stengers, Auteur . - La Découverte, 2011 . - 205 p. ; 19 cm. - (Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461) .
ISBN : 978-2-359-25047-3 : 14 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Féminisme
PhilosophieTags : féminisme pensées philosophiques Index. décimale : 141.72 Féminisme Résumé : Comment garder la force que nous ont transmise les femmes dont on n'attendait rien d'autre que d'être une maîtresse de maison - épouse, mère ? Ces femmes qui, bravant le ridicule, de manière parfaitement désintéressée (elles ne pouvaient nourrir aucun espoir de carrière), ont résisté à l'objection doucereuse de leur père : « Mais, ma chérie, tu ne manques de rien... » et ont cherché par tous les moyens à créer et à vivre. L'Université leur était alors interdite et Virginia Woolf mettait leurs filles en garde : n'allez jamais rejoindre la procession « des hommes chargés d'honneurs et de responsabilités ». Qu'avons-nous appris, nous, les filles infidèles de Virginia, qui avons, de fait, rejoint les rangs des « hommes cultivés » ? Nous avons le sentiment d'assister à la fin d'une époque : celle où nous pouvions nous réjouir de voir des jeunes femmes (et des jeunes hommes aussi) prendre goût à la recherche, devenir capables de cette liberté dont nous avons profité. Désormais, à l'Université comme partoutailleurs, il s'agit de manifester sa flexibilité, d'apprendre à donner les bons signaux et à écouter ceux qui proviennent du marché, bref de donner les gages requis de motivation et de sérieux. Comment vivre cette fin d'époque sur un mode qui ne soit ni cynique ni nostalgique ? Comment échapper au « chacun pour soi » qui devient la règle à l'Université comme ailleurs ? Comment faire aujourd'hui relais au cri de Woolf, « Penser nous devons » ? Il nous fallait rencontrer des femmes chez qui nos questions faisaient écho et qui pourraient leur donner des dimensions imprévues, appeler à prolonger ainsi le cri de Virginia Woolf. Françoise Balibar, Bernadette Bensaude-Vincent, Laurence Bouquiaux, Barbara Cassin, Mona Chollet, Emilie Hache, Françoise Sironi, Marcelle Stroobants, Benedikte Zitouni, ont accepté de témoigner des anecdotes, des événements discrets ou des perplexités qui ont marqué le chemin par lequel chacune a découvert ce que pouvait signifier « penser » et passer ainsi du refus à la création. Mêmes si les portes de l'Université se sont ouvertes aux femmes, cela ne signifie pas qu'elles s'y soient senties « à leur place ». (Decitre) Note de contenu :
NOUS QUI SOMMES A L'UNIVERSITE
PAS EN NOTRE NOM
CREER UN NOUS
EN TANT QUE FEMMES ?
PRISE DE RELAIS ?
LE PERSONNEL EST POLITIQUE
LA QUESTION DE L'HERITAGE
DEUX PLUS UNE
CONSTRUIRE LA QUESTION
UNE INDUCTION, CELA MARCHE
(Decitre)Réservation
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