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Collection Mémoires
- Editeur : Autrement
- ISSN : pas d'ISSN
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Affiner la rechercheRome Ier siècle ap. J. C. (1996)
Titre : Rome Ier siècle ap. J. C. : les orgueilleux défis de l'ordre impérial Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Gaillard, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris [France] : Autrement Année de publication : 1996 Collection : Mémoires num. 43 Importance : 236 p. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86260-602-6 Prix : 22,4 € Langues : Français (fre) Catégories : Rome antique Index. décimale : 94 (37) Histoire de L'Italie ancienne. Rome ancienne Résumé : Si la fin de la République romaine ressemble à une tragédie, le premier siècle de l'Empire a souvent les couleurs du drame. Les princes hésitent entre vices et vertus ; leurs proches, entre l'adulation et la haine ; le peuple, entre la reconnaissance et la soumission. Notre imaginaire culturel s'est repu de toutes ces tensions : le régime impérial, par son décor et par ses acteurs, est foncièrement spectaculaire. De Racine à Lamartine, nous avons appris à méditer sur la Rome des Césars ! Néron était pervers, mais Sénèque était sage, et l'admirable Colisée dit aussi bien le sang que la grandeur... Cependant l'Empire, d'Auguste à Trajan, se construit et s'affirme. Cette énorme " machine à gouverner " a un corps - son espace - et un cœur : la Ville. Rome change, devient mégapole, accueille cent progrès techniques, se pare, pour les temps, d'une modernité stupéfiante. L'orgueil des princes, ou leur sagesse, l'ornent d'opulentes beautés. Même des flammes du fameux incendie de 64, telle un phénix, la Ville renaît plus belle. Car Rome, au Ier siècle après Jésus-Christ, devient la Ville Eternelle. (Decitre) Note de contenu : LA VILLE DE L'EMPEREUR
L'impossible dynastie
La brique, le marbre, les princes
L'architecte et la ville
LA ROME IMPERIALE AU JOUR LE JOUR
Le pain - nourri une ville millionnaire
L'eau des empereurs
Et pour leurs jeux, du marbre ! Les affranchis, entre réussite et frustration
Des religions venues d'ailleurs
UNE NOUVELLE CULTURE ? " Viens à ces pierres qui n'oublient pas "
La rhétorique de l'imaginaire
Un siècle d'épopée qui accouche d'un roman
Sénèque au cœur du siècle
Promenons-nous avec Martial
MEMOIRE D'UN EMPIRE
" Rome remplaçait Sparte "
Mussolini, le dernier empereur ? L'empire des vices
(Decitre)Rome Ier siècle ap. J. C. : les orgueilleux défis de l'ordre impérial [texte imprimé] / Jacques Gaillard, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Autrement, 1996 . - 236 p. ; 25 cm. - (Mémoires; 43) .
ISBN : 978-2-86260-602-6 : 22,4 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Rome antique Index. décimale : 94 (37) Histoire de L'Italie ancienne. Rome ancienne Résumé : Si la fin de la République romaine ressemble à une tragédie, le premier siècle de l'Empire a souvent les couleurs du drame. Les princes hésitent entre vices et vertus ; leurs proches, entre l'adulation et la haine ; le peuple, entre la reconnaissance et la soumission. Notre imaginaire culturel s'est repu de toutes ces tensions : le régime impérial, par son décor et par ses acteurs, est foncièrement spectaculaire. De Racine à Lamartine, nous avons appris à méditer sur la Rome des Césars ! Néron était pervers, mais Sénèque était sage, et l'admirable Colisée dit aussi bien le sang que la grandeur... Cependant l'Empire, d'Auguste à Trajan, se construit et s'affirme. Cette énorme " machine à gouverner " a un corps - son espace - et un cœur : la Ville. Rome change, devient mégapole, accueille cent progrès techniques, se pare, pour les temps, d'une modernité stupéfiante. L'orgueil des princes, ou leur sagesse, l'ornent d'opulentes beautés. Même des flammes du fameux incendie de 64, telle un phénix, la Ville renaît plus belle. Car Rome, au Ier siècle après Jésus-Christ, devient la Ville Eternelle. (Decitre) Note de contenu : LA VILLE DE L'EMPEREUR
L'impossible dynastie
La brique, le marbre, les princes
L'architecte et la ville
LA ROME IMPERIALE AU JOUR LE JOUR
Le pain - nourri une ville millionnaire
L'eau des empereurs
Et pour leurs jeux, du marbre ! Les affranchis, entre réussite et frustration
Des religions venues d'ailleurs
UNE NOUVELLE CULTURE ? " Viens à ces pierres qui n'oublient pas "
La rhétorique de l'imaginaire
Un siècle d'épopée qui accouche d'un roman
Sénèque au cœur du siècle
Promenons-nous avec Martial
MEMOIRE D'UN EMPIRE
" Rome remplaçait Sparte "
Mussolini, le dernier empereur ? L'empire des vices
(Decitre)Réservation
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Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600016572 ! Livre Histoire/époque (Antiquité gréco-romaine) Disponible Rome, 1920-1945 (1991)
Titre : Rome, 1920-1945 : le modèle fasciste, son Duce, sa mythologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Fran?coise Liffran, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris [France] : Autrement Année de publication : 1991 Collection : Mémoires num. 7 Importance : 287 p Présentation : ill. Format : 25 cm. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86260-325-4 Prix : 120 FRF Langues : Français (fre) Catégories : Fascisme
Mouvement politiqueTags : fascisme (Histoire) Rome Italie Duce Benito Mussolini Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : « Rome est notre mythe. Nous rêvons d'une Italie romaine, c'est-à-dire sage et forte, disciplinée et impériale. » Mussolini, dès 1922, va se servir du mythe de la Rome antique pour légitimer et enraciner ses ambitions au départ révolutionnaires et modernistes, puis totalitaires et impérialistes. Cette « romanité », il va l'utiliser comme principal levier de sa propagande, calquant symboliquement les valeurs et les institutions du régime fasciste sur celles d'une idéale Rome impériale, procédant à un remaniement radical du paysage urbain de la capitale à coups de démolitions, déplacements de populations, constructions massives dans un style monumental et glacé.
Pendant vingt-deux ans le cœur de la ville bat au rythme des défilés militaires, des discours du Duce du haut du balcon de la piazza Venezia, des rassemblements des organisations de jeunes fascistes. Le peuple, désorienté, oscille entre une vision idyllique et conquérante de l'avenir, imposée sans cesse par la propagande et la radio, et les difficultés croissantes d'approvisionnement, l'isolement et l'humiliation d'un contrôle permanent de la vie publique et privée.
Nous n'avons pas fini de nous interroger sur cette volonté, ce délire totalitaire qui embrasa l'Europe dans les années 1920 – 1945, et sur cette période mal connue que fut le fascisme italien. Pourquoi ? Comment ? Ces questions sont aujourd'hui plus que jamais au centre des préoccupations de tous ceux qui observent les profondes transformations que connaît actuellement l'Europe.
Avec, entre autres, Catherine Brice, Antonio Cederna, Jean-Pierre Faye, Giovanni Joppolo, Françoise Livi, Pierre Milza, Claudia Salaris.
Cet ouvrage a été dirigé par Françoise Liffran. (Babelio)Rome, 1920-1945 : le modèle fasciste, son Duce, sa mythologie [texte imprimé] / Fran?coise Liffran, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Autrement, 1991 . - 287 p : ill. ; 25 cm.. - (Mémoires; 7) .
ISBN : 978-2-86260-325-4 : 120 FRF
Langues : Français (fre)
Catégories : Fascisme
Mouvement politiqueTags : fascisme (Histoire) Rome Italie Duce Benito Mussolini Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : « Rome est notre mythe. Nous rêvons d'une Italie romaine, c'est-à-dire sage et forte, disciplinée et impériale. » Mussolini, dès 1922, va se servir du mythe de la Rome antique pour légitimer et enraciner ses ambitions au départ révolutionnaires et modernistes, puis totalitaires et impérialistes. Cette « romanité », il va l'utiliser comme principal levier de sa propagande, calquant symboliquement les valeurs et les institutions du régime fasciste sur celles d'une idéale Rome impériale, procédant à un remaniement radical du paysage urbain de la capitale à coups de démolitions, déplacements de populations, constructions massives dans un style monumental et glacé.
Pendant vingt-deux ans le cœur de la ville bat au rythme des défilés militaires, des discours du Duce du haut du balcon de la piazza Venezia, des rassemblements des organisations de jeunes fascistes. Le peuple, désorienté, oscille entre une vision idyllique et conquérante de l'avenir, imposée sans cesse par la propagande et la radio, et les difficultés croissantes d'approvisionnement, l'isolement et l'humiliation d'un contrôle permanent de la vie publique et privée.
Nous n'avons pas fini de nous interroger sur cette volonté, ce délire totalitaire qui embrasa l'Europe dans les années 1920 – 1945, et sur cette période mal connue que fut le fascisme italien. Pourquoi ? Comment ? Ces questions sont aujourd'hui plus que jamais au centre des préoccupations de tous ceux qui observent les profondes transformations que connaît actuellement l'Europe.
Avec, entre autres, Catherine Brice, Antonio Cederna, Jean-Pierre Faye, Giovanni Joppolo, Françoise Livi, Pierre Milza, Claudia Salaris.
Cet ouvrage a été dirigé par Françoise Liffran. (Babelio)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600018863 ! Livre Politique Disponible
Titre : Les intellectuels et l'Occupation, 1940-1944 : collaborer, partir, résister Type de document : document électronique Auteurs : Albrecht Betz (1943-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Stefan Martens (1954-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris [France] : Autrement Année de publication : 2004 Collection : Mémoires num. 106 Importance : 342 p. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7467-0540-1 Langues : Français (fre) Catégories : Histoire européenne
Histoire françaiseTags : Occupation intellectuels seconde guerre mondiale Index. décimale : 94 "20" Histoire du vingtième siècle après JC Résumé : 1940.
Le traumatisme de la défaite devient, chez beaucoup d'intellectuels tançais, l'expérience d'une perte : celle de l'influence de leur nation dans le monde, mais aussi de leur statut individuel en tant qu'écrivains. Dans une société où l'économie et la technique sont amenées désormais à jouer un rôle déterminant, ils cherchent une nouvelle identité. Confrontés à des modèles contradictoires, à côté de ceux, très rares, qui entrent en résistance, certains choisissent l'exil ou la passivité, d'autres optent pour le fascisme comme moyen de combattre le communisme et de "réduire la décadence" (Drieu La Rochelle). 1944. L'histoire opère un brusque retournement. La plupart des intellectuels ayant adhéré, à des degrés divers, à la collaboration se sentent trahis par la politique allemande, qui n'a pas pu remplir ses promesses d'une "nouvelle Europe" et a même échoué à dresser un rempart contre le bolchevisme. Pendant ces quatre années, pourtant, la production culturelle fut, en France, impressionnante. Comment expliquer un tel paradoxe ? Les contradictions extrêmes de cette crise aiguë méritent d'être réexaminées de près. La distance historique permet à une équipe d'historiens de cinq pays d'Europe de porter un nouveau regard sur cette période cruciale de l'histoire européenne.
(Decitre)Note de contenu : Figures de l'intellectuel en temps de guerre
Quelle attitude adopter ? Entre adhésion nuancée, résistance et exil
Valeurs et formation des intellectuels
(Decitre)En ligne : http://merlin.u-picardie.fr/login?url=http://www.cairn.info/les-intellectuels-et [...] Les intellectuels et l'Occupation, 1940-1944 : collaborer, partir, résister [document électronique] / Albrecht Betz (1943-....), Directeur de publication, rédacteur en chef ; Stefan Martens (1954-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Autrement, 2004 . - 342 p. ; 23 cm. - (Mémoires; 106) .
ISBN : 978-2-7467-0540-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire européenne
Histoire françaiseTags : Occupation intellectuels seconde guerre mondiale Index. décimale : 94 "20" Histoire du vingtième siècle après JC Résumé : 1940.
Le traumatisme de la défaite devient, chez beaucoup d'intellectuels tançais, l'expérience d'une perte : celle de l'influence de leur nation dans le monde, mais aussi de leur statut individuel en tant qu'écrivains. Dans une société où l'économie et la technique sont amenées désormais à jouer un rôle déterminant, ils cherchent une nouvelle identité. Confrontés à des modèles contradictoires, à côté de ceux, très rares, qui entrent en résistance, certains choisissent l'exil ou la passivité, d'autres optent pour le fascisme comme moyen de combattre le communisme et de "réduire la décadence" (Drieu La Rochelle). 1944. L'histoire opère un brusque retournement. La plupart des intellectuels ayant adhéré, à des degrés divers, à la collaboration se sentent trahis par la politique allemande, qui n'a pas pu remplir ses promesses d'une "nouvelle Europe" et a même échoué à dresser un rempart contre le bolchevisme. Pendant ces quatre années, pourtant, la production culturelle fut, en France, impressionnante. Comment expliquer un tel paradoxe ? Les contradictions extrêmes de cette crise aiguë méritent d'être réexaminées de près. La distance historique permet à une équipe d'historiens de cinq pays d'Europe de porter un nouveau regard sur cette période cruciale de l'histoire européenne.
(Decitre)Note de contenu : Figures de l'intellectuel en temps de guerre
Quelle attitude adopter ? Entre adhésion nuancée, résistance et exil
Valeurs et formation des intellectuels
(Decitre)En ligne : http://merlin.u-picardie.fr/login?url=http://www.cairn.info/les-intellectuels-et [...] Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600018868 ! Livre Histoire/époque (XXe siècle - Seconde Guerre mondiale) Disponible Rome Ier siècle ap. J. C. (1996)
Titre : Rome Ier siècle ap. J. C. : Ainsi périt la république des vertus... Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Gaillard, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris [France] : Autrement Année de publication : 1996 Collection : Mémoires num. 42 Importance : 236 p. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86260-598-2 Prix : 22,4 € Langues : Français (fre) Catégories : Rome antique Index. décimale : 94 (37) Histoire de L'Italie ancienne. Rome ancienne Résumé : Rome, c'est la réussite de la république. Dans le monde antique, jamais aucun pouvoir n'a su se perpétuer si longtemps. Rome, c'est aussi une ville - la Ville. En ce Ier siècle avant Jésus-Christ, on y vit, on y pense, on s'y affronte. Dans l'ombre des citoyens, les esclaves travaillent. Le Forum retentit d'une éloquence qui restera exemplaire. C'est le siècle de César et d'Auguste, de Cicéron et de Tite-Live, de Virgile et de Properce. Un siècle de génies. Les dieux sont partout - mais la violence aussi. On tue un tyran, on couronne un prince ; la politique déploie ses rituels et accouche de crises. Comment concilier les vertus de jadis et l'urgence d'un pouvoir ? Les vieilles vertus civiques de la république vont, décidément, entrer dans l'Histoire. Trop de généraux triomphent pour ne pas s'inventer un sauveur... Ce siècle de la " révolution romaine ", comme l'a écrit Sir Ronald Syme, reste au cœur de notre mémoire culturelle. Ce moment de l'histoire de Rome peut encore nous surprendre. Et nous éblouir. (Decitre) Note de contenu :
Vie et mort d'une République
Rome, ses mythes et ses rites
La nostalgie des origines
Sanctuaires et dieux
Les rituels politiques de la République
Le " mos maiorum "
Rome, le pouvoir, la force
Le destin des hommes-butin
Violences romaines
Comment devient-on César ? Une culture (très) politique
" Rusticitas " et " urbanitas " : Romains des villes, Romains des champs
Grandeur et " nequitia " : les poètes et la Ville
Cicéron, conscience de son siècle
Virgile et Tite-Live : la célébration du destin romain
Mémoires de Rome républicaine
La mort du tyran, fantasme républicain
Vercingétorix, Clovis ou César ? Le Sénat en Technicolor..
et en phylactères.
(Decitre)Rome Ier siècle ap. J. C. : Ainsi périt la république des vertus... [texte imprimé] / Jacques Gaillard, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Autrement, 1996 . - 236 p. ; 25 cm. - (Mémoires; 42) .
ISBN : 978-2-86260-598-2 : 22,4 €
Langues : Français (fre)
Catégories : Rome antique Index. décimale : 94 (37) Histoire de L'Italie ancienne. Rome ancienne Résumé : Rome, c'est la réussite de la république. Dans le monde antique, jamais aucun pouvoir n'a su se perpétuer si longtemps. Rome, c'est aussi une ville - la Ville. En ce Ier siècle avant Jésus-Christ, on y vit, on y pense, on s'y affronte. Dans l'ombre des citoyens, les esclaves travaillent. Le Forum retentit d'une éloquence qui restera exemplaire. C'est le siècle de César et d'Auguste, de Cicéron et de Tite-Live, de Virgile et de Properce. Un siècle de génies. Les dieux sont partout - mais la violence aussi. On tue un tyran, on couronne un prince ; la politique déploie ses rituels et accouche de crises. Comment concilier les vertus de jadis et l'urgence d'un pouvoir ? Les vieilles vertus civiques de la république vont, décidément, entrer dans l'Histoire. Trop de généraux triomphent pour ne pas s'inventer un sauveur... Ce siècle de la " révolution romaine ", comme l'a écrit Sir Ronald Syme, reste au cœur de notre mémoire culturelle. Ce moment de l'histoire de Rome peut encore nous surprendre. Et nous éblouir. (Decitre) Note de contenu :
Vie et mort d'une République
Rome, ses mythes et ses rites
La nostalgie des origines
Sanctuaires et dieux
Les rituels politiques de la République
Le " mos maiorum "
Rome, le pouvoir, la force
Le destin des hommes-butin
Violences romaines
Comment devient-on César ? Une culture (très) politique
" Rusticitas " et " urbanitas " : Romains des villes, Romains des champs
Grandeur et " nequitia " : les poètes et la Ville
Cicéron, conscience de son siècle
Virgile et Tite-Live : la célébration du destin romain
Mémoires de Rome républicaine
La mort du tyran, fantasme républicain
Vercingétorix, Clovis ou César ? Le Sénat en Technicolor..
et en phylactères.
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