Titre : | Le zéro et l'infini : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Arthur Koestler (1905-1983), Auteur | Editeur : | Paris [France] : Calmann-Lévy | Année de publication : | 2005 | Collection : | Pérennes | Importance : | 247 p. | Format : | 20 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7021-3562-4 | Catégories : | 3.40 Littérature Littérature européenne
| Tags : | roman communisme | Index. décimale : | 82-311.2 Roman à thème. Roman réaliste | Résumé : | Moscou, 1937. Dans un régime communiste, l'individu est zéro, et le Parti, c'est l'infini. Roubachov le sait : apparatchik lui-même, il a épuré sans états d'âme. Le voilà happé à son tour par la machine à broyer, soumis à des interrogatoires et sommé de se prêter à la mise en scène macabre qui le fera avouer qu'il est un traître, un ennemi de la classe ouvrière. Va-t-il se renier quand il s'agit de son propre sort ? Va-t-il sacrifier sa dignité, son amour-propre, en plus de sa vie (dont il sait qu'elle se termine), pour la " plus grande gloire du Parti " ? Mais pourquoi ce parti, qu'il a tant aimé, qui a porté tant d'espoirs, a-t-il besoin de dévorer ainsi ses enfants ? La question taraude Roubachov, mais un peu tard... Dans ce roman majeur du XXe siècle, publié en 1940, Koestler illustre la logique issue de la révolution russe : l'individu est une notion bourgeoise qui doit être subordonnée, et au besoin sacrifiée, à la communauté. Il dépeint une société totalitaire totalement fermée sur elle-même, paranoïaque et ivre de sacrifices rituels qui, au lieu d'avancer vers " l'avenir radieux ", régresse vers des temps d'avant la civilisation. (Decitre) |
Le zéro et l'infini : roman [texte imprimé] / Arthur Koestler (1905-1983), Auteur . - Calmann-Lévy, 2005 . - 247 p. ; 20 cm. - ( Pérennes) . ISBN : 978-2-7021-3562-4 Catégories : | 3.40 Littérature Littérature européenne
| Tags : | roman communisme | Index. décimale : | 82-311.2 Roman à thème. Roman réaliste | Résumé : | Moscou, 1937. Dans un régime communiste, l'individu est zéro, et le Parti, c'est l'infini. Roubachov le sait : apparatchik lui-même, il a épuré sans états d'âme. Le voilà happé à son tour par la machine à broyer, soumis à des interrogatoires et sommé de se prêter à la mise en scène macabre qui le fera avouer qu'il est un traître, un ennemi de la classe ouvrière. Va-t-il se renier quand il s'agit de son propre sort ? Va-t-il sacrifier sa dignité, son amour-propre, en plus de sa vie (dont il sait qu'elle se termine), pour la " plus grande gloire du Parti " ? Mais pourquoi ce parti, qu'il a tant aimé, qui a porté tant d'espoirs, a-t-il besoin de dévorer ainsi ses enfants ? La question taraude Roubachov, mais un peu tard... Dans ce roman majeur du XXe siècle, publié en 1940, Koestler illustre la logique issue de la révolution russe : l'individu est une notion bourgeoise qui doit être subordonnée, et au besoin sacrifiée, à la communauté. Il dépeint une société totalitaire totalement fermée sur elle-même, paranoïaque et ivre de sacrifices rituels qui, au lieu d'avancer vers " l'avenir radieux ", régresse vers des temps d'avant la civilisation. (Decitre) |
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