[n° ou bulletin] est un bulletin de / Bibliothèque nationale de FranceTitre : | N°329 - Avril 2023 - Traduire | Type de document : | texte imprimé | Année de publication : | 2023 | Importance : | 215 p. | Présentation : | ill. en coul. | Format : | 25 cm | Prix : | 12,5 € | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature jeunesse
| Tags : | littérature jeunesse (traduction) | Index. décimale : | 82-93 Littérature pour enfants. Littérature de jeunesse | Résumé : | Près d’un quart des nouveautés jeunesse publiées en France sont des traductions, un apport qui renouvelle l’offre éditoriale, stimule la création, constate Mathilde Lévêque. Mais celle-ci nuance, s’interrogeant : le phénomène relève-t-il de l’« internationalisation » ou de la « mondialisation », les trois quarts des traductions en jeunesse étant issus de l’anglais. Lire une traduction, cela semble couler de source, tellement couler de source que bibliothécaires, enseignants, libraires omettent souvent de préciser l’origine étrangère d’un titre. Le traducteur ou la traductrice semble alors voué•e à la transparence.
Passer des mots et des images, restituer une intention d’auteur d’un idiome à l’autre est pourtant un procédé complexe. Et qu’est-ce qu’acculturer une oeuvre ? L’exportation d’un livre véhicule aussi des modèles, participant d’un soft power. Que fait la traduction au format, au graphisme et à toute la matérialité d’une oeuvre ? Et qu’attendre de la transposition en format nativement accessible et du livre adapté ? Les 4es assises de l’édition jeunesse, consacrées au thème de la mondialisation, donneront une suite à cette réflexion. (CNLJ) |
[n° ou bulletin] est un bulletin de / Bibliothèque nationale de FranceN°329 - Avril 2023 - Traduire [texte imprimé] . - 2023 . - 215 p. : ill. en coul. ; 25 cm. 12,5 € Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature jeunesse
| Tags : | littérature jeunesse (traduction) | Index. décimale : | 82-93 Littérature pour enfants. Littérature de jeunesse | Résumé : | Près d’un quart des nouveautés jeunesse publiées en France sont des traductions, un apport qui renouvelle l’offre éditoriale, stimule la création, constate Mathilde Lévêque. Mais celle-ci nuance, s’interrogeant : le phénomène relève-t-il de l’« internationalisation » ou de la « mondialisation », les trois quarts des traductions en jeunesse étant issus de l’anglais. Lire une traduction, cela semble couler de source, tellement couler de source que bibliothécaires, enseignants, libraires omettent souvent de préciser l’origine étrangère d’un titre. Le traducteur ou la traductrice semble alors voué•e à la transparence.
Passer des mots et des images, restituer une intention d’auteur d’un idiome à l’autre est pourtant un procédé complexe. Et qu’est-ce qu’acculturer une oeuvre ? L’exportation d’un livre véhicule aussi des modèles, participant d’un soft power. Que fait la traduction au format, au graphisme et à toute la matérialité d’une oeuvre ? Et qu’attendre de la transposition en format nativement accessible et du livre adapté ? Les 4es assises de l’édition jeunesse, consacrées au thème de la mondialisation, donneront une suite à cette réflexion. (CNLJ) |
| |