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N°272 - Avril 2023 - Suzanne Valandon (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°272 - Avril 2023 - Suzanne Valandon Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Suzanne Valandon Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Son nom résonne le plus souvent comme celui de l’un des modèles favoris des artistes au tournant du 20e siècle, tels Renoir ou Toulouse-Lautrec… Ou alors comme celui de la mère du peintre Maurice Utrillo… Mais Suzanne Valadon (1865-1938) est à l’origine d’une œuvre à part entière, et quelle œuvre ! Autodidacte, inspirée par les artistes pour qui elle a posé, elle s’est peu à peu forgé un style original, en marge des mouvements de son époque.
De nombreux portraits aux lignes marquées, quelques natures mortes et paysages aussi, mais surtout des nus criants de vérité, bien rares alors sous les pinceaux d’une femme. Une œuvre à l’image de sa vie, menée sous le signe de la liberté.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Quand le modèle sort du tableau
Suzanne Valadon est à la fois modèle et peintre, une position unique dans le monde de l’art à la fin du 19e siècle. Mais comment est-elle passée de l’autre côté du chevalet ?
En quelques mots
Dans le petit monde de l’art au tournant du 20e siècle, Suzanne Valadon a conquis sa place, à la force de ses pinceaux. Si elle dessine depuis l’enfance, elle n’a jamais bénéficié d’une formation, et a tout appris en observant les peintres pour qui elle pose depuis l’âge de 15 ans. Repérée par Toulouse-Lautrec, son voisin, son talent séduit ensuite Degas, qui l’encourage. À Montmartre, quartier du nord de Paris qu’elle ne quittera quasiment jamais, elle vit dans ce formidable tourbillon artistique : la capitale est alors le cœur mondial des arts, et des créateurs de toute l’Europe viennent y tenter leur chance. C’est l’époque de toutes les innovations : à l’impressionnisme succèdent le fauvisme, le cubisme, le surréalisme… Autodidacte, Suzanne Valadon côtoie tous ces artistes. Mais farouchement indépendante, elle n’adhère à aucun courant.
Dans un corps à corps avec la peinture et avec elle-même, elle façonne peu à peu son propre style. Un univers original, inclassable, que les livres d’histoire n’ont pas pu rattacher à tel ou tel mouvement, et qui l’ont donc un peu oubliée au fil du 20e siècle. Mais c’est précisément pour cela que l’on a tant de plaisir à redécouvrir aujourd’hui cette grande artiste, qui aura réussi à créer une œuvre unique, à une époque où il était encore difficile pour une femme de vivre de son art. Une œuvre pleine de liberté, à regarder aujourd’hui bien en face.
Pour aller plus loin :
Exposition « Suzanne Valadon, un monde à soi »
Bienvenue à Montmartre !
Récemment rattaché à la capitale, cet ancien village accueille de nombreux lieux de divertissement. C’est là que Suzanne Valadon grandit et devient une artiste.
Passion portraits
Amis, famille, travailleurs… l’artiste se plaît à capter tous les instants de vie autour d’elle. Des œuvres très modernes, dans lesquelles elle révèle la beauté du quotidien.
Mise à nu(s)
Dessins, gravures, peinture : les nus sont partout chez Suzanne Valadon ! Elle y déploie une vision qui s’affranchit des diktats masculins, et se décline à tous les âges, et tous les genres.
Artistes, de mère en fils !
Suzanne Valadon devient mère très jeune, à l’âge de 18 ans. Comme elle, son fils Maurice naît de père inconnu. Comme elle, aussi, il sera peintre. Tous deux resteront proches toute leur vie, mais leurs caractères demeureront aussi différents que leur peinture…
Tout Valadon en une œuvre
En 1923, l’artiste signe une toile qui renverse totalement les codes et les conventions. Retour sur La Chambre bleue, une œuvre aussi puissante qu’engagée.
Valadon, et après ?
De son vivant, la « reine de Montmartre » connaît un grand succès. Elle est même la première femme à exposer au Salon de la Société nationale des beaux-arts. Mais à sa mort, tout change… Que laisse-t-elle à la postérité ?
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°272 - Avril 2023 - Suzanne Valandon [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Suzanne Valandon Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Son nom résonne le plus souvent comme celui de l’un des modèles favoris des artistes au tournant du 20e siècle, tels Renoir ou Toulouse-Lautrec… Ou alors comme celui de la mère du peintre Maurice Utrillo… Mais Suzanne Valadon (1865-1938) est à l’origine d’une œuvre à part entière, et quelle œuvre ! Autodidacte, inspirée par les artistes pour qui elle a posé, elle s’est peu à peu forgé un style original, en marge des mouvements de son époque.
De nombreux portraits aux lignes marquées, quelques natures mortes et paysages aussi, mais surtout des nus criants de vérité, bien rares alors sous les pinceaux d’une femme. Une œuvre à l’image de sa vie, menée sous le signe de la liberté.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Quand le modèle sort du tableau
Suzanne Valadon est à la fois modèle et peintre, une position unique dans le monde de l’art à la fin du 19e siècle. Mais comment est-elle passée de l’autre côté du chevalet ?
En quelques mots
Dans le petit monde de l’art au tournant du 20e siècle, Suzanne Valadon a conquis sa place, à la force de ses pinceaux. Si elle dessine depuis l’enfance, elle n’a jamais bénéficié d’une formation, et a tout appris en observant les peintres pour qui elle pose depuis l’âge de 15 ans. Repérée par Toulouse-Lautrec, son voisin, son talent séduit ensuite Degas, qui l’encourage. À Montmartre, quartier du nord de Paris qu’elle ne quittera quasiment jamais, elle vit dans ce formidable tourbillon artistique : la capitale est alors le cœur mondial des arts, et des créateurs de toute l’Europe viennent y tenter leur chance. C’est l’époque de toutes les innovations : à l’impressionnisme succèdent le fauvisme, le cubisme, le surréalisme… Autodidacte, Suzanne Valadon côtoie tous ces artistes. Mais farouchement indépendante, elle n’adhère à aucun courant.
Dans un corps à corps avec la peinture et avec elle-même, elle façonne peu à peu son propre style. Un univers original, inclassable, que les livres d’histoire n’ont pas pu rattacher à tel ou tel mouvement, et qui l’ont donc un peu oubliée au fil du 20e siècle. Mais c’est précisément pour cela que l’on a tant de plaisir à redécouvrir aujourd’hui cette grande artiste, qui aura réussi à créer une œuvre unique, à une époque où il était encore difficile pour une femme de vivre de son art. Une œuvre pleine de liberté, à regarder aujourd’hui bien en face.
Pour aller plus loin :
Exposition « Suzanne Valadon, un monde à soi »
Bienvenue à Montmartre !
Récemment rattaché à la capitale, cet ancien village accueille de nombreux lieux de divertissement. C’est là que Suzanne Valadon grandit et devient une artiste.
Passion portraits
Amis, famille, travailleurs… l’artiste se plaît à capter tous les instants de vie autour d’elle. Des œuvres très modernes, dans lesquelles elle révèle la beauté du quotidien.
Mise à nu(s)
Dessins, gravures, peinture : les nus sont partout chez Suzanne Valadon ! Elle y déploie une vision qui s’affranchit des diktats masculins, et se décline à tous les âges, et tous les genres.
Artistes, de mère en fils !
Suzanne Valadon devient mère très jeune, à l’âge de 18 ans. Comme elle, son fils Maurice naît de père inconnu. Comme elle, aussi, il sera peintre. Tous deux resteront proches toute leur vie, mais leurs caractères demeureront aussi différents que leur peinture…
Tout Valadon en une œuvre
En 1923, l’artiste signe une toile qui renverse totalement les codes et les conventions. Retour sur La Chambre bleue, une œuvre aussi puissante qu’engagée.
Valadon, et après ?
De son vivant, la « reine de Montmartre » connaît un grand succès. Elle est même la première femme à exposer au Salon de la Société nationale des beaux-arts. Mais à sa mort, tout change… Que laisse-t-elle à la postérité ?
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018725 $Périodique Revues Exclu du prêt N°273 - Mai 2023 - Méduse (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°273 - Mai 2023 - Méduse Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Méduse Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Attention à ne pas croiser son regard ! Si on n’y prenait garde, ces deux billes brillantes nous hypnotiseraient bien vite. Depuis plus de 2 000 ans, c’est d’ailleurs leur rôle… Dans la mythologie antique, Méduse a été frappée d’une malédiction : sa tête transformée en nid de serpents, ses yeux pétrifiant littéralement quiconque la regarde. Mais au fil des siècles, son personnage évolue, reflétant les préoccupations de chaque époque. Créature terrifiante, beauté séductrice, figure mélancolique, symbole de révolte et d’insoumission… Méduse ne cesse de se métamorphoser. Suivez-la à travers 2 500 ans d’histoire de l’art ! (Dada) Note de contenu : Au sommaire
Il était une fois Méduse
Cette gorgone est certainement une des créatures mythiques les plus connues, capable de nous pétrifier d’un simple coup d’œil. Voici son histoire…
Fais-moi peur !
À travers les siècles, les artistes ont créé des Méduses plus effrayantes les unes que les autres. Frissons garantis.
Une femme puissante
Méduse n’est pas un simple monstre. C’est une femme puissante, une figure aux super-pouvoirs, capable du pire… comme du meilleur !
Méduse VS Persée
À la source du mythe, ce combat épique entre la créature hybride et l’un des rejetons de Zeus a été rejoué tout au long de l’histoire de l’art.
Qui cédera à la tentation ?
Dangereuse, séductrice, mortelle… Symbole du mal et du péché, Méduse est devenue à travers les âges l’incarnation de la femme fatale.
Héroïne mélancolique
De bourreau monstrueuse, la figure de Méduse est peu à peu devenue une beauté rêveuse, victime des dieux et des hommes. Impuissante face à son destin, elle incarne la mélancolie.
Méduse l’insoumise
Méduse a traversé les siècles pour devenir aujourd’hui un étendard des combats sociaux : féministes, mais aussi antiracistes et écologiques. Serpents et poings levés !
En quelques mots
Comme vous le découvrirez dans les pages de ce numéro, Méduse ne semblait pas avoir fait grand-chose pour mériter une telle malédiction… Ambiguë, son histoire la présente tantôt comme la belle, tantôt comme la bête. Victime des dieux ou bourreau monstrueux ?
Au fil des siècles, son statut ne cesse d’évoluer. Elle va même refléter les préoccupations de chaque époque. Dans l’Antiquité, Méduse est ainsi le plus souvent figurée sous les traits d’une créature abominable au visage boursouflé, aux dents acérées, à la langue tirée : à moitié animale, elle incarne le mal que les héros vont s’acharner à combattre. Si elle prend au Moyen Âge puis à la Renaissance surtout une apparence plus humaine, elle n’en demeure pas moins maléfique : c’est une beauté tentatrice dont il faut se méfier ou, décapitée par Persée qui l’affronte alors dans nombre de tableaux, une figure qui demeure puissante par-delà la mort. Effroyable ! Au 19e siècle, Méduse prendra des airs plus mélancoliques, comme bon nombre d’artistes romantiques qui n’adhèrent pas à la société industrielle alors en plein essor. Elle semble rêveuse, parfois accablée, et son statut de victime réapparaît. Si son apparence terrifiante refait ensuite régulièrement surface, elle semble aujourd’hui mise au service des luttes, féministes notamment. Méduse, l’insoumise, devient un puissant symbole de révolte.
Toujours ambiguë, elle va donc de métamorphose en métamorphose. C’est même un cas unique de figure mythologique antique qui ne cesse de réapparaître jusqu’à aujourd’hui, dans toutes les formes d’art et jusque dans les films et les jeux vidéo. Fidèle à son pouvoir, elle nous fascine encore et encore… dès le premier regard. (Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°273 - Mai 2023 - Méduse [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Méduse Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Attention à ne pas croiser son regard ! Si on n’y prenait garde, ces deux billes brillantes nous hypnotiseraient bien vite. Depuis plus de 2 000 ans, c’est d’ailleurs leur rôle… Dans la mythologie antique, Méduse a été frappée d’une malédiction : sa tête transformée en nid de serpents, ses yeux pétrifiant littéralement quiconque la regarde. Mais au fil des siècles, son personnage évolue, reflétant les préoccupations de chaque époque. Créature terrifiante, beauté séductrice, figure mélancolique, symbole de révolte et d’insoumission… Méduse ne cesse de se métamorphoser. Suivez-la à travers 2 500 ans d’histoire de l’art ! (Dada) Note de contenu : Au sommaire
Il était une fois Méduse
Cette gorgone est certainement une des créatures mythiques les plus connues, capable de nous pétrifier d’un simple coup d’œil. Voici son histoire…
Fais-moi peur !
À travers les siècles, les artistes ont créé des Méduses plus effrayantes les unes que les autres. Frissons garantis.
Une femme puissante
Méduse n’est pas un simple monstre. C’est une femme puissante, une figure aux super-pouvoirs, capable du pire… comme du meilleur !
Méduse VS Persée
À la source du mythe, ce combat épique entre la créature hybride et l’un des rejetons de Zeus a été rejoué tout au long de l’histoire de l’art.
Qui cédera à la tentation ?
Dangereuse, séductrice, mortelle… Symbole du mal et du péché, Méduse est devenue à travers les âges l’incarnation de la femme fatale.
Héroïne mélancolique
De bourreau monstrueuse, la figure de Méduse est peu à peu devenue une beauté rêveuse, victime des dieux et des hommes. Impuissante face à son destin, elle incarne la mélancolie.
Méduse l’insoumise
Méduse a traversé les siècles pour devenir aujourd’hui un étendard des combats sociaux : féministes, mais aussi antiracistes et écologiques. Serpents et poings levés !
En quelques mots
Comme vous le découvrirez dans les pages de ce numéro, Méduse ne semblait pas avoir fait grand-chose pour mériter une telle malédiction… Ambiguë, son histoire la présente tantôt comme la belle, tantôt comme la bête. Victime des dieux ou bourreau monstrueux ?
Au fil des siècles, son statut ne cesse d’évoluer. Elle va même refléter les préoccupations de chaque époque. Dans l’Antiquité, Méduse est ainsi le plus souvent figurée sous les traits d’une créature abominable au visage boursouflé, aux dents acérées, à la langue tirée : à moitié animale, elle incarne le mal que les héros vont s’acharner à combattre. Si elle prend au Moyen Âge puis à la Renaissance surtout une apparence plus humaine, elle n’en demeure pas moins maléfique : c’est une beauté tentatrice dont il faut se méfier ou, décapitée par Persée qui l’affronte alors dans nombre de tableaux, une figure qui demeure puissante par-delà la mort. Effroyable ! Au 19e siècle, Méduse prendra des airs plus mélancoliques, comme bon nombre d’artistes romantiques qui n’adhèrent pas à la société industrielle alors en plein essor. Elle semble rêveuse, parfois accablée, et son statut de victime réapparaît. Si son apparence terrifiante refait ensuite régulièrement surface, elle semble aujourd’hui mise au service des luttes, féministes notamment. Méduse, l’insoumise, devient un puissant symbole de révolte.
Toujours ambiguë, elle va donc de métamorphose en métamorphose. C’est même un cas unique de figure mythologique antique qui ne cesse de réapparaître jusqu’à aujourd’hui, dans toutes les formes d’art et jusque dans les films et les jeux vidéo. Fidèle à son pouvoir, elle nous fascine encore et encore… dès le premier regard. (Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018799 $Périodique Revues Exclu du prêt N°274 - Juin 2023 - Bourdelle (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°274 - Juin 2023 - Bourdelle Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Bourdelle Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Cet imposant archer en pleine action, exposé dans des musées du monde entier, c’est lui ! La façade du Théâtre des Champs-Élysées, lui aussi ! Tant de sculptures et monuments publics à travers la France, toujours lui… Originaire de Montauban, formé aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris, Antoine Bourdelle (1861-1929) est l’un des plus grands sculpteurs du tournant du XXe siècle. Avec ses œuvres dotées d’une incroyable force expressive, il a contribué à faire entrer la sculpture dans l’art moderne.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un artiste complet
Si on le connaît pour son travail de sculpteur, Bourdelle s’est aussi illustré en dessin, peinture, photographie… Un artiste aux multiples talents qu’il aura mis à profit tout au long de sa vie.
Beethoven et moi
Bourdelle est fasciné par le compositeur allemand, dont il réalise plus de 80 sculptures ! Mais que cherche-t-il dans toutes ces têtes de Beethoven ?
Dis Bourdelle, raconte-moi un mythe…
Ces récits mythologiques ont traversé les siècles, et Bourdelle ne cesse de se les réapproprier. En affirmant sa modernité !
Danse avec Bourdelle
En 1909, l’artiste entre dans la danse, presque par hasard, en voyant Isadora Duncan sur scène au théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris…
Dans l’atelier de sculpture
L’atelier de Bourdelle est resté intact, au cœur de son musée à Paris. Des croquis préparatoires aux études en plâtre, découvrez comment se fabrique une sculpture…
Tout Bourdelle en une œuvre
En 1910, Bourdelle présente Héraklès archer, « l’une des œuvres les plus hardies que l’on ait vues depuis longtemps ». Succès immédiat qui marquera sa carrière.
Bourdelle XXL
Une sculpture de plusieurs mètres de haut, un décor à hauteur d’architecture, des monuments spectaculaires… Les très grands formats ne lui font pas peur !
Adieu, monsieur le professeur
On se presse de partout pour recevoir l’enseignement de Bourdelle : il forme tout au long de sa vie près de 500 élèves, de 42 nationalités différentes.
En quelques mots
Il est là, en équilibre. Fléchi sur son pied droit derrière lui, mais agrippé du gauche au rocher qui lui fait face. Une partie de son corps tendue en arrière. L’autre qui se projette vers l’avant, à l’image de cette flèche imaginaire qu’il s’apprête à tirer. Cet Héraklès archer est la sculpture la plus connue de Bourdelle. Un chef-d’œuvre tout en tension, pour nous raconter l’instant décisif d’un célèbre mythe antique : celui où le héros accomplit l’un de ses douze travaux, en combattant de terribles oiseaux cannibales.
Comme son archer, Bourdelle est lui-même entre deux mondes. Ou plutôt un passeur, entre l’art académique encore dominant au 19e siècle et toutes les innovations de l’art moderne au tournant du 20e siècle. Bien appuyé d’un côté sur une solide formation classique, faite de cours aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris et d’études d’après des sculptures antiques, son élan le porte vers de nouveaux horizons. À 25 ans, il quitte d’ailleurs la célèbre école de la capitale : « J’en ai assez ! Je ne comprends rien à tous ces systèmes de prix, de concours. »
Bourdelle se lance, travaille quelques années comme praticien pour Rodin, et s’attelle à développer son propre style. Il y parvient avec ses œuvres aux allures monumentales, construites comme des architectures. Et, surtout, incroyablement expressives : voyez par exemple les mains et les pieds de son Héraklès, d’une force exacerbée qui sied bien à ce demi-dieu ! Par ses créations audacieuses, Bourdelle a tiré une flèche qui aura traversé les années, touché le cœur de bien des artistes modernes, et jusqu’aux nôtres aujourd’hui.
Pour aller plus loin :
À la rencontre de Bourdelle, de Montauban à Paris
Livret jeu “Bourdelle, la mémoire des objets”
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°274 - Juin 2023 - Bourdelle [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Bourdelle Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Cet imposant archer en pleine action, exposé dans des musées du monde entier, c’est lui ! La façade du Théâtre des Champs-Élysées, lui aussi ! Tant de sculptures et monuments publics à travers la France, toujours lui… Originaire de Montauban, formé aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris, Antoine Bourdelle (1861-1929) est l’un des plus grands sculpteurs du tournant du XXe siècle. Avec ses œuvres dotées d’une incroyable force expressive, il a contribué à faire entrer la sculpture dans l’art moderne.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un artiste complet
Si on le connaît pour son travail de sculpteur, Bourdelle s’est aussi illustré en dessin, peinture, photographie… Un artiste aux multiples talents qu’il aura mis à profit tout au long de sa vie.
Beethoven et moi
Bourdelle est fasciné par le compositeur allemand, dont il réalise plus de 80 sculptures ! Mais que cherche-t-il dans toutes ces têtes de Beethoven ?
Dis Bourdelle, raconte-moi un mythe…
Ces récits mythologiques ont traversé les siècles, et Bourdelle ne cesse de se les réapproprier. En affirmant sa modernité !
Danse avec Bourdelle
En 1909, l’artiste entre dans la danse, presque par hasard, en voyant Isadora Duncan sur scène au théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris…
Dans l’atelier de sculpture
L’atelier de Bourdelle est resté intact, au cœur de son musée à Paris. Des croquis préparatoires aux études en plâtre, découvrez comment se fabrique une sculpture…
Tout Bourdelle en une œuvre
En 1910, Bourdelle présente Héraklès archer, « l’une des œuvres les plus hardies que l’on ait vues depuis longtemps ». Succès immédiat qui marquera sa carrière.
Bourdelle XXL
Une sculpture de plusieurs mètres de haut, un décor à hauteur d’architecture, des monuments spectaculaires… Les très grands formats ne lui font pas peur !
Adieu, monsieur le professeur
On se presse de partout pour recevoir l’enseignement de Bourdelle : il forme tout au long de sa vie près de 500 élèves, de 42 nationalités différentes.
En quelques mots
Il est là, en équilibre. Fléchi sur son pied droit derrière lui, mais agrippé du gauche au rocher qui lui fait face. Une partie de son corps tendue en arrière. L’autre qui se projette vers l’avant, à l’image de cette flèche imaginaire qu’il s’apprête à tirer. Cet Héraklès archer est la sculpture la plus connue de Bourdelle. Un chef-d’œuvre tout en tension, pour nous raconter l’instant décisif d’un célèbre mythe antique : celui où le héros accomplit l’un de ses douze travaux, en combattant de terribles oiseaux cannibales.
Comme son archer, Bourdelle est lui-même entre deux mondes. Ou plutôt un passeur, entre l’art académique encore dominant au 19e siècle et toutes les innovations de l’art moderne au tournant du 20e siècle. Bien appuyé d’un côté sur une solide formation classique, faite de cours aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris et d’études d’après des sculptures antiques, son élan le porte vers de nouveaux horizons. À 25 ans, il quitte d’ailleurs la célèbre école de la capitale : « J’en ai assez ! Je ne comprends rien à tous ces systèmes de prix, de concours. »
Bourdelle se lance, travaille quelques années comme praticien pour Rodin, et s’attelle à développer son propre style. Il y parvient avec ses œuvres aux allures monumentales, construites comme des architectures. Et, surtout, incroyablement expressives : voyez par exemple les mains et les pieds de son Héraklès, d’une force exacerbée qui sied bien à ce demi-dieu ! Par ses créations audacieuses, Bourdelle a tiré une flèche qui aura traversé les années, touché le cœur de bien des artistes modernes, et jusqu’aux nôtres aujourd’hui.
Pour aller plus loin :
À la rencontre de Bourdelle, de Montauban à Paris
Livret jeu “Bourdelle, la mémoire des objets”
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018780 $Périodique Revues Exclu du prêt N°275 - Septembre 2023 - Nicolas de Staël (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°275 - Septembre 2023 - Nicolas de Staël Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Nicolas de Staël Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Abstraction ? Figuration ? Et pourquoi pas les deux ! Nicolas de Staël (1914-1955) est le créateur d’une œuvre unique en son genre. Derrière les lignes épurées et les formes colorées de ses tableaux, se cachent bien souvent les traces d’un paysage, d’une nature morte, d’un portrait… Cet artiste d’origine russe, marqué par les drames de la guerre et de l’exil, se forge en une quinzaine d’années seulement un style à part, qui est aujourd’hui devenu un maillon essentiel dans l’art du 20e siècle.
(Dada)Note de contenu : À la recherche du Nicolas de Staël perdu
Une jeunesse mouvementée, passionné, ballottée aux 4 coins du monde. Au gré de ses voyages, il crée autant qu’il détruit ! Que reste-t-il de ces premières années ?
« Tout casser ! »
Pendant sa période abstraite au début de sa carrière, il expérimente sans cesse. Sa peinture est à son image : toujours en mouvement, jamais là où on l’attend !
Pas si abstrait…
Nicolas de Staël puise dans la figuration la référence au réel, et dans l’abstraction la liberté absolue de couleurs et de composition… Sur un fil, il invente son propre style.
Musique, maestro !
Concerts et compositeurs constituent une grande source d’inspiration pour Nicolas de Staël. Comme un chef d’orchestre, il mène ses œuvres à la baguette.
Mini / Maxi
Nicolas de Staël est un explorateur de l’art : il joue inlassablement avec les matières, les couleurs, les outils mais aussi les formats… du petit tableau aux compositions XXL !
La quête du paysage
Croquis ou œuvre finie, sur le vif ou en atelier, au nord ou au sud, ses œuvres vont lui permettre d’aller toujours plus loin dans l’observation de la nature, et de la lumière.
En quelques mots
De grands aplats de couleurs, pourpres, jaunes, orange, roses. Quel calme apparent… Et pourtant, avec ces quelques coups de pinceaux vifs et entremêlés là, au centre, ça bouillonne ! Cette toile en couverture est à l’image de Nicolas de Staël, qui en l’espace d’une quinzaine d’années seulement aura créé plus de 1 100 tableaux – sans compter tous ceux qu’il a détruits –, se renouvelant en permanence. Il vous suffit de feuilleter rapidement les pages qui suivent pour le constater : des tableaux denses et sombres de ses débuts, l’artiste évolue ensuite vers des formes plus amples, plus colorées aussi. Mais cette évolution est très progressive, et de formes enchevêtrées en fragments juxtaposés, on suit Nicolas de Staël dans ses recherches. « Ce que j’essaie, c’est un renouvellement continu, vraiment continu, et ce n’est pas facile » écrit-il encore quelques mois seulement avant sa mort.
Cela est d’autant moins facile que le peintre est farouchement indépendant, refusant de rejoindre tel ou tel mouvement artistique. Mais ses œuvres sont abstraites, non ? Dans ses premières années oui, mais Nicolas de Staël s’écarte rapidement de cette tendance dominante dans l’art de son époque. À bien les observer, on distingue souvent dans ses tableaux les traces d’un paysage, d’un portrait, d’une nature morte… Au début des années 1950, il salue d’ailleurs par ces mots le Musée national d’art moderne de Paris pour avoir bien voulu accrocher son œuvre à part : « Merci de m’avoir écarté du gang de l’abstraction » ! Nicolas de Staël n’est pas pour autant un artiste figuratif bien sûr.
Il dépasse simplement cette querelle, et se fie surtout à sa grande sensibilité. Il observe bien le monde, même s’il n’en retient sur ses tableaux que quelques lignes épurées, quelques impressions colorées, quelques éclats de lumière… « C’est simplement un rapport d’un peintre à ce qu’il voit, tout le sujet est là. »
Pour aller plus loin :
Exposition « Nicolas de Staël »
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°275 - Septembre 2023 - Nicolas de Staël [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Nicolas de Staël Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Abstraction ? Figuration ? Et pourquoi pas les deux ! Nicolas de Staël (1914-1955) est le créateur d’une œuvre unique en son genre. Derrière les lignes épurées et les formes colorées de ses tableaux, se cachent bien souvent les traces d’un paysage, d’une nature morte, d’un portrait… Cet artiste d’origine russe, marqué par les drames de la guerre et de l’exil, se forge en une quinzaine d’années seulement un style à part, qui est aujourd’hui devenu un maillon essentiel dans l’art du 20e siècle.
(Dada)Note de contenu : À la recherche du Nicolas de Staël perdu
Une jeunesse mouvementée, passionné, ballottée aux 4 coins du monde. Au gré de ses voyages, il crée autant qu’il détruit ! Que reste-t-il de ces premières années ?
« Tout casser ! »
Pendant sa période abstraite au début de sa carrière, il expérimente sans cesse. Sa peinture est à son image : toujours en mouvement, jamais là où on l’attend !
Pas si abstrait…
Nicolas de Staël puise dans la figuration la référence au réel, et dans l’abstraction la liberté absolue de couleurs et de composition… Sur un fil, il invente son propre style.
Musique, maestro !
Concerts et compositeurs constituent une grande source d’inspiration pour Nicolas de Staël. Comme un chef d’orchestre, il mène ses œuvres à la baguette.
Mini / Maxi
Nicolas de Staël est un explorateur de l’art : il joue inlassablement avec les matières, les couleurs, les outils mais aussi les formats… du petit tableau aux compositions XXL !
La quête du paysage
Croquis ou œuvre finie, sur le vif ou en atelier, au nord ou au sud, ses œuvres vont lui permettre d’aller toujours plus loin dans l’observation de la nature, et de la lumière.
En quelques mots
De grands aplats de couleurs, pourpres, jaunes, orange, roses. Quel calme apparent… Et pourtant, avec ces quelques coups de pinceaux vifs et entremêlés là, au centre, ça bouillonne ! Cette toile en couverture est à l’image de Nicolas de Staël, qui en l’espace d’une quinzaine d’années seulement aura créé plus de 1 100 tableaux – sans compter tous ceux qu’il a détruits –, se renouvelant en permanence. Il vous suffit de feuilleter rapidement les pages qui suivent pour le constater : des tableaux denses et sombres de ses débuts, l’artiste évolue ensuite vers des formes plus amples, plus colorées aussi. Mais cette évolution est très progressive, et de formes enchevêtrées en fragments juxtaposés, on suit Nicolas de Staël dans ses recherches. « Ce que j’essaie, c’est un renouvellement continu, vraiment continu, et ce n’est pas facile » écrit-il encore quelques mois seulement avant sa mort.
Cela est d’autant moins facile que le peintre est farouchement indépendant, refusant de rejoindre tel ou tel mouvement artistique. Mais ses œuvres sont abstraites, non ? Dans ses premières années oui, mais Nicolas de Staël s’écarte rapidement de cette tendance dominante dans l’art de son époque. À bien les observer, on distingue souvent dans ses tableaux les traces d’un paysage, d’un portrait, d’une nature morte… Au début des années 1950, il salue d’ailleurs par ces mots le Musée national d’art moderne de Paris pour avoir bien voulu accrocher son œuvre à part : « Merci de m’avoir écarté du gang de l’abstraction » ! Nicolas de Staël n’est pas pour autant un artiste figuratif bien sûr.
Il dépasse simplement cette querelle, et se fie surtout à sa grande sensibilité. Il observe bien le monde, même s’il n’en retient sur ses tableaux que quelques lignes épurées, quelques impressions colorées, quelques éclats de lumière… « C’est simplement un rapport d’un peintre à ce qu’il voit, tout le sujet est là. »
Pour aller plus loin :
Exposition « Nicolas de Staël »
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019234 $Périodique Revues Exclu du prêt N°276 - Octobre 2023 - Animaux fantastiques (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°276 - Octobre 2023 - Animaux fantastiques Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Animaux fantastiques (art) bestiaire dragon sirène sphinx Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Dragons, sphynx, licornes, phénix, sirènes, griffons… Les animaux fantastiques ont beau avoir une histoire ancienne, ils continuent de peupler notre imaginaire contemporain. Dans des sagas comme Harry Potter, des séries telles que Game of Thrones, ils tiennent des rôles de premier plan. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Que symbolisent-ils ? Vous découvrirez qu’au fil des siècles, ils n’ont cessé de se métamorphoser, incarnant la sauvagerie comme la sagesse, la terreur ou la protection, les forces de la nature aussi bien que nos propres angoisses… Un formidable voyage à travers plus de 4 000 ans d’histoire de l’art !
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un fantastique bestiaire
On a tous déjà vu des images de ces drôles d’animaux, effrayants ou majestueux. Mais qui sont vraiment ces créatures, et pourquoi nous fascinent-elles depuis la nuit des temps !
Griffon, l’oiseau rare
Une tête d’aigle sur un corps de lion, une force prodigieuse, des griffes grosses comme des cornes de taureau, des oreilles de cheval, un bec acéré et des ailes gigantesques…
Dragon, tout feu tout flamme
Créature de chaos en Occident ou de félicité en Orient, le dragon est un animal ambivalent, capable du pire comme du meilleur.
Phénix, l’immortel
Prestance et plumage somptueux, le phénix serait le plus beau des oiseaux ! Mais c’est loin d’être un animal banal : il est aussi doté de fabuleux pouvoirs…
C’est la bagarre !
Au fil des siècles, les animaux fantastiques ont régulièrement été les opposants favoris de héros et d’héroïnes en tout genre… Pourquoi tant de haine !
Sphynx, mystère mystère
Un visage humain, un corps animal et un air mystérieux… Une créature à l’air paisible mais bien énigmatique, qui passionne les humains depuis des millénaires.
Licorne, créature en majesté
Sa longue corne aurait la vertu d’éloigner le mal… Portrait d’un animal singulier, auquel on a souvent cru jusqu’au 16e siècle et qui a fait son chemin jusqu’à l’art contemporain.
Sirène, sous l’océan…
Avec leur longue chevelure et leur queue de poisson, les sirènes sont de redoutables séductrices et de terrible monstres marins. Le danger est-il au tournant du rocher ?
Les art’nimaux fantastiques
Si les mythologies du monde entier n’ont cessé d’accoucher de centaines de créatures fabuleuses, ce n’est jamais assez pour les artistes… Qui se mettent, à leur tour, à créer leurs propres bestioles, avec encore et toujours plus d’inventivité !
En quelques mots
Le voilà qui approche ! La gueule entrouverte, ce dragon nous regarde en biais, d’un air menaçant. Avec ses écailles, ses cornes et ses griffes, il fait réellement peur… À tel point qu’on en oublierait presque qu’il est ici réduit à un squelette. Un squelette de dragon ! Vraiment ! Oui, et on peut observer cet étonnant spécimen au Muséum national d’histoire naturelle, à Paris, dans la grande galerie d’anatomie comparée. Y cohabitent des restes de baleine, de rhinocéros, d’éléphant mais aussi de nombreux oiseaux, poissons et reptiles. Et parmi eux, donc, ce dragon.
Le cartel indique en réalité Multispecies incroyabilis, que l’on peut traduire par « incroyable multi-espèces ». Car aussi réaliste que soit ce squelette, on sait bien que les dragons n’existent pas. C’est donc une chimère, une création de toutes pièces, et le nom qui lui a été donné par le Muséum nous le révèle sans ambiguïté. Conçu en 1998 par un préparateur en ostéologie, Éric Pellé, ce squelette est donc composé d’une tête de lézard, d’une colonne vertébrale d’iguane, d’une queue de varan, des côtes d’un python, de pattes de tortue et de cormoran, et de griffes de renard. Un assemblage d’une dizaine d’espèces différentes !
Cette création hybride est typique de tous les animaux fantastiques que les êtres humains n’ont cessé d’imaginer depuis la nuit des temps. Griffons, licornes, sphynx, phénix, sirènes… peuplent notre imaginaire. On les retrouve dans nos récits les plus anciens, on les associe à des croyances magiques ou terrifiantes, on invoque leur protection autant qu’on les craint. Ils sont aussi une formidable source d’inspiration pour les artistes, qui n’ont cessé de façonner leurs métamorphoses au fil des siècles. Suivez ces guides ! Ils vous accompagnent à travers plus de 4 000 ans d’une histoire de l’art fantastique…
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°276 - Octobre 2023 - Animaux fantastiques [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Animaux fantastiques (art) bestiaire dragon sirène sphinx Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Dragons, sphynx, licornes, phénix, sirènes, griffons… Les animaux fantastiques ont beau avoir une histoire ancienne, ils continuent de peupler notre imaginaire contemporain. Dans des sagas comme Harry Potter, des séries telles que Game of Thrones, ils tiennent des rôles de premier plan. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Que symbolisent-ils ? Vous découvrirez qu’au fil des siècles, ils n’ont cessé de se métamorphoser, incarnant la sauvagerie comme la sagesse, la terreur ou la protection, les forces de la nature aussi bien que nos propres angoisses… Un formidable voyage à travers plus de 4 000 ans d’histoire de l’art !
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un fantastique bestiaire
On a tous déjà vu des images de ces drôles d’animaux, effrayants ou majestueux. Mais qui sont vraiment ces créatures, et pourquoi nous fascinent-elles depuis la nuit des temps !
Griffon, l’oiseau rare
Une tête d’aigle sur un corps de lion, une force prodigieuse, des griffes grosses comme des cornes de taureau, des oreilles de cheval, un bec acéré et des ailes gigantesques…
Dragon, tout feu tout flamme
Créature de chaos en Occident ou de félicité en Orient, le dragon est un animal ambivalent, capable du pire comme du meilleur.
Phénix, l’immortel
Prestance et plumage somptueux, le phénix serait le plus beau des oiseaux ! Mais c’est loin d’être un animal banal : il est aussi doté de fabuleux pouvoirs…
C’est la bagarre !
Au fil des siècles, les animaux fantastiques ont régulièrement été les opposants favoris de héros et d’héroïnes en tout genre… Pourquoi tant de haine !
Sphynx, mystère mystère
Un visage humain, un corps animal et un air mystérieux… Une créature à l’air paisible mais bien énigmatique, qui passionne les humains depuis des millénaires.
Licorne, créature en majesté
Sa longue corne aurait la vertu d’éloigner le mal… Portrait d’un animal singulier, auquel on a souvent cru jusqu’au 16e siècle et qui a fait son chemin jusqu’à l’art contemporain.
Sirène, sous l’océan…
Avec leur longue chevelure et leur queue de poisson, les sirènes sont de redoutables séductrices et de terrible monstres marins. Le danger est-il au tournant du rocher ?
Les art’nimaux fantastiques
Si les mythologies du monde entier n’ont cessé d’accoucher de centaines de créatures fabuleuses, ce n’est jamais assez pour les artistes… Qui se mettent, à leur tour, à créer leurs propres bestioles, avec encore et toujours plus d’inventivité !
En quelques mots
Le voilà qui approche ! La gueule entrouverte, ce dragon nous regarde en biais, d’un air menaçant. Avec ses écailles, ses cornes et ses griffes, il fait réellement peur… À tel point qu’on en oublierait presque qu’il est ici réduit à un squelette. Un squelette de dragon ! Vraiment ! Oui, et on peut observer cet étonnant spécimen au Muséum national d’histoire naturelle, à Paris, dans la grande galerie d’anatomie comparée. Y cohabitent des restes de baleine, de rhinocéros, d’éléphant mais aussi de nombreux oiseaux, poissons et reptiles. Et parmi eux, donc, ce dragon.
Le cartel indique en réalité Multispecies incroyabilis, que l’on peut traduire par « incroyable multi-espèces ». Car aussi réaliste que soit ce squelette, on sait bien que les dragons n’existent pas. C’est donc une chimère, une création de toutes pièces, et le nom qui lui a été donné par le Muséum nous le révèle sans ambiguïté. Conçu en 1998 par un préparateur en ostéologie, Éric Pellé, ce squelette est donc composé d’une tête de lézard, d’une colonne vertébrale d’iguane, d’une queue de varan, des côtes d’un python, de pattes de tortue et de cormoran, et de griffes de renard. Un assemblage d’une dizaine d’espèces différentes !
Cette création hybride est typique de tous les animaux fantastiques que les êtres humains n’ont cessé d’imaginer depuis la nuit des temps. Griffons, licornes, sphynx, phénix, sirènes… peuplent notre imaginaire. On les retrouve dans nos récits les plus anciens, on les associe à des croyances magiques ou terrifiantes, on invoque leur protection autant qu’on les craint. Ils sont aussi une formidable source d’inspiration pour les artistes, qui n’ont cessé de façonner leurs métamorphoses au fil des siècles. Suivez ces guides ! Ils vous accompagnent à travers plus de 4 000 ans d’une histoire de l’art fantastique…
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019399 $Périodique Revues Exclu du prêt N°277 - Novembre 2023 - Disney (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°277 - Novembre 2023 - Disney Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Disney Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver ! » Walt Disney (1901-1966) pouvait-il imaginer que son rêve, lorsqu’il a créé son premier studio en 1923, allait devenir la plus grande fabrique à féerie du monde ? Sa vision et ses innovations ont contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière, sans cesse renouvelé depuis par ses équipes. De Blanche-Neige et les Sept Nains à La Reine des neiges et Vaiana, en passant par Le Livre de la jungle, La Petite Sirène et bien d’autres, plongez dans les coulisses des studios !
(Dada)Note de contenu : Il était une fois les studios Disney
À force de persévérance, d’audace et avec une pincée de poussière de fée, Walt Disney a transformé un petit studio d’animation en empire.
La recette du succès
Depuis des générations, les dessins animés Disney font toujours un carton auprès des petits, et des grands aussi ! Comment expliquer ce triomphe qui perdure depuis tant d’années ?
Princesses un jour, princesses toujours ?
Si les premières princesses Disney répondent à un schéma précis, elles évoluent avec le temps, et gagnent en indépendance. Jusqu’à la disparition de leur couronne…
Croquis, story-boards, effets spéciaux…Les coulisses des studios
Chaque seconde d’un film comprend 24 images : il faut près de 100 000 images pour un long-métrage de 90 minutes ! Et de nombreux spécialistes qui travaillent ensemble…
On connait la chanson !
Des musiques entraînantes, des paroles qu’on n’oublie pas… À travers quelques morceaux emblématiques, suivez la cadence.
Fantasia, un classique inclassable ?
Le troisième long-métrage du studio, sorti en 1940, réalise un des rêves de Walt Disney : concilier cinéma d’animation et musique classique.
Une nouvelle ère
Les studios Disney revisitent aujourd’hui ses classiques dans des films réalisés en prises de vues réelles. Que nous racontent ces adaptations ?
En quelques mots
D’un côté : une silhouette joviale et toute en rondeurs, reconnaissable à ses deux oreilles noires et son large sourire. Mickey Mouse, tel qu’il aurait pu être tracé au crayon quand il est sorti de l’esprit de ses créateurs pour la première fois en 1928. De l’autre, des personnages aussi variés que Pinocchio, Peter Pan, Simba ou encore Ariel… Au milieu, un même nom : Disney.
Cette diversité nous rappelle d’emblée que toutes ces créations, et les centaines d’autres qui ont été produites et diffusées sous ce nom, ne sont pas l’œuvre d’un seul et même homme. Dans le pays des merveilles qu’il a imaginé, Walt Disney (1901-1966) a été rejoint par de nombreux magiciens qui ont contribué à rendre tout cela possible. Tel un chef d’orchestre, Walt Disney fourmille d’idées et donne le rythme à toute une équipe de scénaristes, créateurs de personnages, peintres de décors, metteurs en scène, animateurs et musiciens, etc. Tous reconnaissent avoir été stimulés par l’exigence et le perfectionnisme de Walt, qui expliquent le succès que ses longs-métrages d’animation ne cessent de rencontrer auprès du public depuis Blanche-Neige et les Sept Nains en 1937.
D’ailleurs, après sa mort en 1966, les studios connaissent un moment de flottement : « Qu’aurait fait Walt ? », se demande-t-on en interne. Mais les dizaines de films qui auront été créés de son vivant ont permis de poser des bases solides. De nouvelles générations d’artistes prendront la suite, perpétuant ainsi la vision de cet étonnant artiste-entrepreneur, qui a contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière pouvant toucher tous les publics, lui qui avait compris, voilà 100 ans, que « les adultes ne sont que des enfants qui ont grandi »…
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°277 - Novembre 2023 - Disney [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Disney Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver ! » Walt Disney (1901-1966) pouvait-il imaginer que son rêve, lorsqu’il a créé son premier studio en 1923, allait devenir la plus grande fabrique à féerie du monde ? Sa vision et ses innovations ont contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière, sans cesse renouvelé depuis par ses équipes. De Blanche-Neige et les Sept Nains à La Reine des neiges et Vaiana, en passant par Le Livre de la jungle, La Petite Sirène et bien d’autres, plongez dans les coulisses des studios !
(Dada)Note de contenu : Il était une fois les studios Disney
À force de persévérance, d’audace et avec une pincée de poussière de fée, Walt Disney a transformé un petit studio d’animation en empire.
La recette du succès
Depuis des générations, les dessins animés Disney font toujours un carton auprès des petits, et des grands aussi ! Comment expliquer ce triomphe qui perdure depuis tant d’années ?
Princesses un jour, princesses toujours ?
Si les premières princesses Disney répondent à un schéma précis, elles évoluent avec le temps, et gagnent en indépendance. Jusqu’à la disparition de leur couronne…
Croquis, story-boards, effets spéciaux…Les coulisses des studios
Chaque seconde d’un film comprend 24 images : il faut près de 100 000 images pour un long-métrage de 90 minutes ! Et de nombreux spécialistes qui travaillent ensemble…
On connait la chanson !
Des musiques entraînantes, des paroles qu’on n’oublie pas… À travers quelques morceaux emblématiques, suivez la cadence.
Fantasia, un classique inclassable ?
Le troisième long-métrage du studio, sorti en 1940, réalise un des rêves de Walt Disney : concilier cinéma d’animation et musique classique.
Une nouvelle ère
Les studios Disney revisitent aujourd’hui ses classiques dans des films réalisés en prises de vues réelles. Que nous racontent ces adaptations ?
En quelques mots
D’un côté : une silhouette joviale et toute en rondeurs, reconnaissable à ses deux oreilles noires et son large sourire. Mickey Mouse, tel qu’il aurait pu être tracé au crayon quand il est sorti de l’esprit de ses créateurs pour la première fois en 1928. De l’autre, des personnages aussi variés que Pinocchio, Peter Pan, Simba ou encore Ariel… Au milieu, un même nom : Disney.
Cette diversité nous rappelle d’emblée que toutes ces créations, et les centaines d’autres qui ont été produites et diffusées sous ce nom, ne sont pas l’œuvre d’un seul et même homme. Dans le pays des merveilles qu’il a imaginé, Walt Disney (1901-1966) a été rejoint par de nombreux magiciens qui ont contribué à rendre tout cela possible. Tel un chef d’orchestre, Walt Disney fourmille d’idées et donne le rythme à toute une équipe de scénaristes, créateurs de personnages, peintres de décors, metteurs en scène, animateurs et musiciens, etc. Tous reconnaissent avoir été stimulés par l’exigence et le perfectionnisme de Walt, qui expliquent le succès que ses longs-métrages d’animation ne cessent de rencontrer auprès du public depuis Blanche-Neige et les Sept Nains en 1937.
D’ailleurs, après sa mort en 1966, les studios connaissent un moment de flottement : « Qu’aurait fait Walt ? », se demande-t-on en interne. Mais les dizaines de films qui auront été créés de son vivant ont permis de poser des bases solides. De nouvelles générations d’artistes prendront la suite, perpétuant ainsi la vision de cet étonnant artiste-entrepreneur, qui a contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière pouvant toucher tous les publics, lui qui avait compris, voilà 100 ans, que « les adultes ne sont que des enfants qui ont grandi »…
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019469 $Périodique Revues Exclu du prêt N°278 - Janvier 2024 - Censurés ? Art et liberté d'expression (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°278 - Janvier 2024 - Censurés ? Art et liberté d'expression Type de document : texte imprimé Année de publication : 2024 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Censure Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Quel est le point commun entre le peintre de la Renaissance Michel-Ange, le sculpteur moderne Constantin Brancusi, l’artiste contemporain Ai Weiwei, la réalisatrice Greta Gerwig, le maître du street art Banksy ou tant de dessinateurs et dessinatrices de presse… ? La censure !
De l’Antiquité à nos jours, vous allez découvrir comment tant de créateurs et créatrices ont dû faire face au pouvoir des rois, des gouvernements, des églises ou d’une certaine morale publique, qui n’ont cessé de s’en prendre à leurs œuvres. Mais créant en cachette, ou redoublant de créativité pour contourner les censeurs, les artistes ne baissent jamais les bras. Et nous rappellent à quel point la liberté d’expression est précieuse.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Vivre libre, comme un oiseau
Les artistes ont en effet souvent choisi l’oiseau comme le symbole de la liberté. Une liberté toujours menacée par les censeurs en tous genres.
Artistes en liberté… surveillée
Selon les époques, les pays, il ne fait pas bon représenter la sensualité, la violence, la laideur ou certaines idées politiques… Les artistes se heurtent régulièrement à la censure.
Sous le contrôle des dieux
Les grandes religions ont un point commun : toutes ont cherché à contrôler les artistes, et sont souvent allées jusqu’à censurer leurs œuvres. Par quels moyens, et pourquoi ?
Cachez ce sein que je ne saurais voir !
La nudité n’a cessé d’attirer les foudres des censeurs au fil des siècles. Mais pas toujours pour les mêmes raisons. Alors, qu’est-ce qui choque autant dans le nu ?
Garde-à-vous !
L’art est parfois un outil pour exprimer son opinion, dénoncer ou provoquer l’ordre établi. Mais les puissants ne l’entendent pas toujours de cette oreille…
Quand les artistes jouent avec la censure
Inévitable, la censure ? Bien sûr que non. Jamais à court d’idées, les artistes multiplient les astuces pour passer à travers les mailles du filet.
En quelques mots
Ils sont là, dos-à-dos, comme dans un western. S’il l’un est bien armé d’un pistolet, l’autre brandit un porte-voix. L’un cherche à se faire entendre, l’autre semble vouloir le faire taire. En un dessin, l’artiste cubain Ares résume la situation de bien des artistes face à la censure : que ce soit les institutions (politiques, religieuses) ou le peuple, nombreux sont ceux qui cherchent à encadrer leur liberté d’expression.
Cette censure prend des formes très variées : imposer des règles à respecter ; contrôler leurs œuvres en amont de leur diffusion et les faire corriger ; interdire de les exposer, de les vendre, voire les détruire, purement et simplement ; condamner les artistes à des amendes, des peines de prison, et même les menacer de mort et passer à l’acte… Le choix des armes est large, et la violence parfois bien réelle.
Or, dans une démocratie, permettre à chacun de s’exprimer – tant que ce n’est pas une incitation à la haine – est essentiel. Pourquoi ? Car les œuvres n’affirment pas des vérités absolues, elles portent simplement le point de vue de celles et ceux qui les ont créées. Ces points de vue sont des visions du monde, et si elles déplaisent à certains, il ne s’agit pas de les interdire, mais d’en débattre. En affirmant à son tour un autre point de vue, une autre vision du monde.
Tout un chacun doit pouvoir ainsi s’exprimer. Et ce n’est pas simplement la liberté des artistes qui est en jeu, mais la nôtre aussi, en tant que spectateurs. Car censurer une œuvre, c’est nier la liberté de ceux qui auraient pu la regarder, s’en faire une opinion, voir ce qu’elle aurait fait ressentir ou penser. Si les crayons et les pinceaux sont des armes, ce sont des armes non violentes, qui n’ont d’autre but que de nous inciter, toutes et tous, à penser par nous-même.
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°278 - Janvier 2024 - Censurés ? Art et liberté d'expression [texte imprimé] . - 2024 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Censure Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Quel est le point commun entre le peintre de la Renaissance Michel-Ange, le sculpteur moderne Constantin Brancusi, l’artiste contemporain Ai Weiwei, la réalisatrice Greta Gerwig, le maître du street art Banksy ou tant de dessinateurs et dessinatrices de presse… ? La censure !
De l’Antiquité à nos jours, vous allez découvrir comment tant de créateurs et créatrices ont dû faire face au pouvoir des rois, des gouvernements, des églises ou d’une certaine morale publique, qui n’ont cessé de s’en prendre à leurs œuvres. Mais créant en cachette, ou redoublant de créativité pour contourner les censeurs, les artistes ne baissent jamais les bras. Et nous rappellent à quel point la liberté d’expression est précieuse.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Vivre libre, comme un oiseau
Les artistes ont en effet souvent choisi l’oiseau comme le symbole de la liberté. Une liberté toujours menacée par les censeurs en tous genres.
Artistes en liberté… surveillée
Selon les époques, les pays, il ne fait pas bon représenter la sensualité, la violence, la laideur ou certaines idées politiques… Les artistes se heurtent régulièrement à la censure.
Sous le contrôle des dieux
Les grandes religions ont un point commun : toutes ont cherché à contrôler les artistes, et sont souvent allées jusqu’à censurer leurs œuvres. Par quels moyens, et pourquoi ?
Cachez ce sein que je ne saurais voir !
La nudité n’a cessé d’attirer les foudres des censeurs au fil des siècles. Mais pas toujours pour les mêmes raisons. Alors, qu’est-ce qui choque autant dans le nu ?
Garde-à-vous !
L’art est parfois un outil pour exprimer son opinion, dénoncer ou provoquer l’ordre établi. Mais les puissants ne l’entendent pas toujours de cette oreille…
Quand les artistes jouent avec la censure
Inévitable, la censure ? Bien sûr que non. Jamais à court d’idées, les artistes multiplient les astuces pour passer à travers les mailles du filet.
En quelques mots
Ils sont là, dos-à-dos, comme dans un western. S’il l’un est bien armé d’un pistolet, l’autre brandit un porte-voix. L’un cherche à se faire entendre, l’autre semble vouloir le faire taire. En un dessin, l’artiste cubain Ares résume la situation de bien des artistes face à la censure : que ce soit les institutions (politiques, religieuses) ou le peuple, nombreux sont ceux qui cherchent à encadrer leur liberté d’expression.
Cette censure prend des formes très variées : imposer des règles à respecter ; contrôler leurs œuvres en amont de leur diffusion et les faire corriger ; interdire de les exposer, de les vendre, voire les détruire, purement et simplement ; condamner les artistes à des amendes, des peines de prison, et même les menacer de mort et passer à l’acte… Le choix des armes est large, et la violence parfois bien réelle.
Or, dans une démocratie, permettre à chacun de s’exprimer – tant que ce n’est pas une incitation à la haine – est essentiel. Pourquoi ? Car les œuvres n’affirment pas des vérités absolues, elles portent simplement le point de vue de celles et ceux qui les ont créées. Ces points de vue sont des visions du monde, et si elles déplaisent à certains, il ne s’agit pas de les interdire, mais d’en débattre. En affirmant à son tour un autre point de vue, une autre vision du monde.
Tout un chacun doit pouvoir ainsi s’exprimer. Et ce n’est pas simplement la liberté des artistes qui est en jeu, mais la nôtre aussi, en tant que spectateurs. Car censurer une œuvre, c’est nier la liberté de ceux qui auraient pu la regarder, s’en faire une opinion, voir ce qu’elle aurait fait ressentir ou penser. Si les crayons et les pinceaux sont des armes, ce sont des armes non violentes, qui n’ont d’autre but que de nous inciter, toutes et tous, à penser par nous-même.
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019531 $Périodique Revues Exclu du prêt N°279 - Février 2024 - Jaune (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°279 - Février 2024 - Jaune Type de document : texte imprimé Année de publication : 2024 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : couleur jaune Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : C’est la couleur du soleil, de la lumière, de la joie : utilisé depuis la Préhistoire sur les parois des cavernes, le jaune rayonne dans l’histoire de l’art. Il symbolise dans l’Antiquité le pouvoir et la richesse, mais aussi la spiritualité. Comment se fait-il alors qu’il soit si peu considéré aujourd’hui, devenu discret voire mal-aimé ?
À part en Orient, où il demeure omniprésent, le jaune est en effet depuis le Moyen Âge une couleur beaucoup plus ambivalente. On lui associe aussi la maladie, la trahison, la folie… Suivez cette métamorphose à travers une collection d’œuvres d’art étincelantes, nouvelle étape – après le rouge, le bleu et le vert – de notre petit musée idéal des couleurs.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Lumière sur le jaune
Aimé ou détesté, le jaune est bien difficile à cerner. Cap sur cette teinte qui, depuis des millénaires, en a vu de toutes les couleurs !
Puissance jaune !
Depuis l’Antiquité, le jaune nous éblouit. Il représente la lumière, la chaleur, la vie, l’énergie et la puissance… Autant de connotations positives qui enflamment les œuvres d’art…
La mauvaise réputation
Le jaune est aujourd’hui la couleur la moins appréciée en Occident ! À quand remonte ce désamour ? Et d’où vient-il ?
La petite fabrique du jaune
Au Moyen Âge, le jaune souffre de la concurrence de l’or. Utilisé sous forme de feuilles très fines dans les peintures, l’or brille de mille feux et éclipse notre malheureuse couleur…
La revanche du jaune
Grâce aux peintres modernes, le jaune retrouve son éclat. Puis se répand dans le domaine de la bande dessinée, du sport, et même… de la politique.
Tous fous de jaune !
Certain·e·s artistes adorent le jaune au point d’y dédier des œuvres dans lesquelles la couleur domine tout ! Mais d’où vient cette obsession, et que symbolise-t-elle ?
En quelques mots
Après le Vert, le Rouge et le Bleu parus précédemment, ce numéro complète la palette des couleurs primaires. Le jaune est un pigment naturel connu depuis les origines de l’humanité, comme le rouge, et on en trouve la trace dès les premières créations préhistoriques. Couleur solaire, elle a longtemps bénéficié d’une symbolique positive : dans l’Égypte antique, puis en Grèce et dans l’empire romain, on lui associe le pouvoir, la joie, la richesse mais aussi la spiritualité. C’est une teinte chaude et éclatante, celle qui nimbe les champs cultivés, et qui annonce donc la prospérité. Vous découvrirez à quel point, dans l’Antiquité, les artistes s’en servent pour créer des œuvres éblouissantes. Le jaune illumine alors les fresques représentant les dieux, les amulettes sacrées, les belles tenues des puissants… Aujourd’hui encore en Asie, il est bien souvent associé au pouvoir impérial.
Mais son histoire est bien plus complexe. « Le jaune est une couleur agréable, douce et joyeuse, mais placée dans l’ombre elle devient vite déplaisante, et le moindre mélange la rend sale, triste, laide et de peu d’intérêt. » Comme le résume parfaitement cette citation de Goethe, placée en exergue de l’ouvrage de référence de Michel Pastoureau sur le sujet, le jaune est une couleur éminemment ambivalente. À l’instar du vert, il va souffrir des pigments parfois toxiques qui servent à la fabriquer, et qui lui forgeront une mauvaise réputation. Mais il subit aussi, comme vous le verrez, une véritable rivalité avec le doré, qui lui confisque pendant longtemps la plupart de ses symboles positifs. Le jaune devient alors la couleur de la trahison, de la folie, de l’immoralité, et de tous ceux que l’on veut mettre à l’écart. Saviez-vous par exemple que la terrible marque jaune que les nazis ont imposée aux juifs fait son apparition dès le Moyen Âge ? Suivant ces évolutions, les artistes délaissent le jaune dans leurs œuvres, ou lui réservent les mauvais rôles. Il faudra attendre le tournant de l’art moderne pour que cette couleur retrouve de son éclat, et prenne des symboliques bien plus variées… jusqu’à incarner, récemment, la couleur de la révolte. Difficile à cerner, souvent mal-aimé, le jaune est bien une couleur insoumise !
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°279 - Février 2024 - Jaune [texte imprimé] . - 2024 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm .
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : couleur jaune Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : C’est la couleur du soleil, de la lumière, de la joie : utilisé depuis la Préhistoire sur les parois des cavernes, le jaune rayonne dans l’histoire de l’art. Il symbolise dans l’Antiquité le pouvoir et la richesse, mais aussi la spiritualité. Comment se fait-il alors qu’il soit si peu considéré aujourd’hui, devenu discret voire mal-aimé ?
À part en Orient, où il demeure omniprésent, le jaune est en effet depuis le Moyen Âge une couleur beaucoup plus ambivalente. On lui associe aussi la maladie, la trahison, la folie… Suivez cette métamorphose à travers une collection d’œuvres d’art étincelantes, nouvelle étape – après le rouge, le bleu et le vert – de notre petit musée idéal des couleurs.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Lumière sur le jaune
Aimé ou détesté, le jaune est bien difficile à cerner. Cap sur cette teinte qui, depuis des millénaires, en a vu de toutes les couleurs !
Puissance jaune !
Depuis l’Antiquité, le jaune nous éblouit. Il représente la lumière, la chaleur, la vie, l’énergie et la puissance… Autant de connotations positives qui enflamment les œuvres d’art…
La mauvaise réputation
Le jaune est aujourd’hui la couleur la moins appréciée en Occident ! À quand remonte ce désamour ? Et d’où vient-il ?
La petite fabrique du jaune
Au Moyen Âge, le jaune souffre de la concurrence de l’or. Utilisé sous forme de feuilles très fines dans les peintures, l’or brille de mille feux et éclipse notre malheureuse couleur…
La revanche du jaune
Grâce aux peintres modernes, le jaune retrouve son éclat. Puis se répand dans le domaine de la bande dessinée, du sport, et même… de la politique.
Tous fous de jaune !
Certain·e·s artistes adorent le jaune au point d’y dédier des œuvres dans lesquelles la couleur domine tout ! Mais d’où vient cette obsession, et que symbolise-t-elle ?
En quelques mots
Après le Vert, le Rouge et le Bleu parus précédemment, ce numéro complète la palette des couleurs primaires. Le jaune est un pigment naturel connu depuis les origines de l’humanité, comme le rouge, et on en trouve la trace dès les premières créations préhistoriques. Couleur solaire, elle a longtemps bénéficié d’une symbolique positive : dans l’Égypte antique, puis en Grèce et dans l’empire romain, on lui associe le pouvoir, la joie, la richesse mais aussi la spiritualité. C’est une teinte chaude et éclatante, celle qui nimbe les champs cultivés, et qui annonce donc la prospérité. Vous découvrirez à quel point, dans l’Antiquité, les artistes s’en servent pour créer des œuvres éblouissantes. Le jaune illumine alors les fresques représentant les dieux, les amulettes sacrées, les belles tenues des puissants… Aujourd’hui encore en Asie, il est bien souvent associé au pouvoir impérial.
Mais son histoire est bien plus complexe. « Le jaune est une couleur agréable, douce et joyeuse, mais placée dans l’ombre elle devient vite déplaisante, et le moindre mélange la rend sale, triste, laide et de peu d’intérêt. » Comme le résume parfaitement cette citation de Goethe, placée en exergue de l’ouvrage de référence de Michel Pastoureau sur le sujet, le jaune est une couleur éminemment ambivalente. À l’instar du vert, il va souffrir des pigments parfois toxiques qui servent à la fabriquer, et qui lui forgeront une mauvaise réputation. Mais il subit aussi, comme vous le verrez, une véritable rivalité avec le doré, qui lui confisque pendant longtemps la plupart de ses symboles positifs. Le jaune devient alors la couleur de la trahison, de la folie, de l’immoralité, et de tous ceux que l’on veut mettre à l’écart. Saviez-vous par exemple que la terrible marque jaune que les nazis ont imposée aux juifs fait son apparition dès le Moyen Âge ? Suivant ces évolutions, les artistes délaissent le jaune dans leurs œuvres, ou lui réservent les mauvais rôles. Il faudra attendre le tournant de l’art moderne pour que cette couleur retrouve de son éclat, et prenne des symboliques bien plus variées… jusqu’à incarner, récemment, la couleur de la révolte. Difficile à cerner, souvent mal-aimé, le jaune est bien une couleur insoumise !
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019560 $Périodique Revues Exclu du prêt N°280 - Mars 2024 - Brancusi (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°280 - Mars 2024 - Brancusi Type de document : texte imprimé Année de publication : 2024 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Brancusi Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Rien ne pousse à l’ombre des grands arbres ! » C’est ainsi que Constantin Brancusi (1876-1957), venu de Roumanie parfaire sa formation de sculpteur auprès du célèbre Rodin, se détache du maître pour tracer sa voie. Adepte de la taille directe, il préfère se confronter aux matériaux – le bois, le métal, le marbre – dont il extrait des formes épurées, mais jamais abstraites. Il travaille bien souvent en série, déclinant un même sujet jusqu’à trouver la forme idéale. Son atelier lui-même est un véritable chef-d’œuvre, aujourd’hui reconstitué au Centre Pompidou, où ses œuvres dialoguent entre elles. Découvrez avec Brancusi comment la sculpture est définitivement entrée dans l’art moderne… (Dada) Note de contenu : Au sommaire
Le génie Brancusi
Sculpteur hors pair, Brancusi fait sensation dans une époque en pleine révolution artistique grâce à ses œuvres d’une grande modernité, qui vont bousculer les codes et les idées !
Et la sculpture devint moderne !
Après des siècles de modelage, encore incarné au début du 20e siècle par Rodin, la taille directe débarque avec Brancusi… Face-à-face entre deux grands sculpteurs.
La quête de la forme parfaite
Pour tenter d’obtenir la forme parfaite, Brancusi ne cesse de simplifier ses œuvres. Zoom sur ses séries, qu’il a fait évoluer jusqu’à atteindre « l’essence des choses ».
Tout Brancusi en une œuvre !
La Muse endormie concentre à la fois l’amour du sculpteur pour les belles matières, son travail des formes simples et des lignes pures… et sa passion pour les créations en série !
L’art et la matière
Bois, pierre, bronze, marbre ou plâtre, Brancusi est passionné par la matière. Il la travaille et expérimente, pour mieux y révéler les formes qu’elle lui évoque.
L’atelier, une œuvre totale
Dans son atelier, Brancusi sculpte et expose ses œuvres, les met en scène, compose des paysages … Une œuvre totale, qui se visite aujourd’hui comme un musée !
Monumental Brancusi !
Des blocs massifs, des oiseaux XXL, des colonnes qui partent à l’assaut du ciel… Tout au long de sa carrière, Constantin Brancusi voit les choses en grand, voire en très grand !
Le père de la sculpture moderne
Brancusi a exercé une influence majeure sur nombre d’artistes. Au point d’être souvent considéré comme l’inventeur de la sculpture moderne…
En quelques mots
Automne 1926 : Constantin Brancusi prépare une exposition personnelle à New York, grâce à l’entremise de Marcel Duchamp. Ce doit être l’occasion de faire reconnaître ses sculptures très stylisées de l’autre côté de l’Atlantique. Il sélectionne longuement les œuvres qu’il souhaite présenter. Le tout est minutieusement conditionné dans des caisses, qui embarquent en paquebot. Mais en arrivant au port de New York, les douaniers bloquent le chargement ! Selon eux, ces pièces – et notamment celles en métal poli, fines et longues, comme L’Oiseau dans l’espace – ne sont pas des œuvres d’art et doivent donc être taxées à hauteur de 40 % de leur valeur, comme tout objet manufacturé.
Duchamp mobilise le petit monde de l’art et, sous la pression, les douaniers finissent par libérer les caisses (sous la classification « ustensiles de cuisine et matériels hospitaliers ») et l’exposition pourra avoir lieu. Mais la taxe est maintenue. C’est une somme importante pour un artiste. Mais surtout, cela signifie pour Brancusi que ses œuvres ne sont pas officiellement reconnues comme de l’art ! Avec ses amis, ils font donc appel de cette décision et, en octobre 1927, s’ouvre le procès « Brancusi contre les États-Unis ».
L’administration américaine se défend, en essayant de montrer successivement que l’œuvre n’est pas un original et qu’il en existe plusieurs exemplaires identiques, qu’elle ne ressemble pas à ce qu’indique son titre (un oiseau) et qu’elle n’est donc pas une œuvre d’art, que Brancusi est une personnalité marginale dont la pratique abstraite n’est pas proprement artistique…Les représentants de l’artiste doivent démonter un à un ces arguments. Et, après une longue année de procédure, le juge lui donne enfin raison. La presse américaine titre ironiquement avec une photo de l’œuvre : « C’est un oiseau ! » Il reste donc encore du chemin pour faire accepter à tout le monde que la sculpture a évolué, et que même des créations qui semblent abstraites sont bien des œuvres d’art. Mais un premier pas a été franchi dans cette révolution qui est bel et bien en marche…
Pour aller plus loin : Exposition « Brancusi » au Centre Pompidou (Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°280 - Mars 2024 - Brancusi [texte imprimé] . - 2024 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Brancusi Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Rien ne pousse à l’ombre des grands arbres ! » C’est ainsi que Constantin Brancusi (1876-1957), venu de Roumanie parfaire sa formation de sculpteur auprès du célèbre Rodin, se détache du maître pour tracer sa voie. Adepte de la taille directe, il préfère se confronter aux matériaux – le bois, le métal, le marbre – dont il extrait des formes épurées, mais jamais abstraites. Il travaille bien souvent en série, déclinant un même sujet jusqu’à trouver la forme idéale. Son atelier lui-même est un véritable chef-d’œuvre, aujourd’hui reconstitué au Centre Pompidou, où ses œuvres dialoguent entre elles. Découvrez avec Brancusi comment la sculpture est définitivement entrée dans l’art moderne… (Dada) Note de contenu : Au sommaire
Le génie Brancusi
Sculpteur hors pair, Brancusi fait sensation dans une époque en pleine révolution artistique grâce à ses œuvres d’une grande modernité, qui vont bousculer les codes et les idées !
Et la sculpture devint moderne !
Après des siècles de modelage, encore incarné au début du 20e siècle par Rodin, la taille directe débarque avec Brancusi… Face-à-face entre deux grands sculpteurs.
La quête de la forme parfaite
Pour tenter d’obtenir la forme parfaite, Brancusi ne cesse de simplifier ses œuvres. Zoom sur ses séries, qu’il a fait évoluer jusqu’à atteindre « l’essence des choses ».
Tout Brancusi en une œuvre !
La Muse endormie concentre à la fois l’amour du sculpteur pour les belles matières, son travail des formes simples et des lignes pures… et sa passion pour les créations en série !
L’art et la matière
Bois, pierre, bronze, marbre ou plâtre, Brancusi est passionné par la matière. Il la travaille et expérimente, pour mieux y révéler les formes qu’elle lui évoque.
L’atelier, une œuvre totale
Dans son atelier, Brancusi sculpte et expose ses œuvres, les met en scène, compose des paysages … Une œuvre totale, qui se visite aujourd’hui comme un musée !
Monumental Brancusi !
Des blocs massifs, des oiseaux XXL, des colonnes qui partent à l’assaut du ciel… Tout au long de sa carrière, Constantin Brancusi voit les choses en grand, voire en très grand !
Le père de la sculpture moderne
Brancusi a exercé une influence majeure sur nombre d’artistes. Au point d’être souvent considéré comme l’inventeur de la sculpture moderne…
En quelques mots
Automne 1926 : Constantin Brancusi prépare une exposition personnelle à New York, grâce à l’entremise de Marcel Duchamp. Ce doit être l’occasion de faire reconnaître ses sculptures très stylisées de l’autre côté de l’Atlantique. Il sélectionne longuement les œuvres qu’il souhaite présenter. Le tout est minutieusement conditionné dans des caisses, qui embarquent en paquebot. Mais en arrivant au port de New York, les douaniers bloquent le chargement ! Selon eux, ces pièces – et notamment celles en métal poli, fines et longues, comme L’Oiseau dans l’espace – ne sont pas des œuvres d’art et doivent donc être taxées à hauteur de 40 % de leur valeur, comme tout objet manufacturé.
Duchamp mobilise le petit monde de l’art et, sous la pression, les douaniers finissent par libérer les caisses (sous la classification « ustensiles de cuisine et matériels hospitaliers ») et l’exposition pourra avoir lieu. Mais la taxe est maintenue. C’est une somme importante pour un artiste. Mais surtout, cela signifie pour Brancusi que ses œuvres ne sont pas officiellement reconnues comme de l’art ! Avec ses amis, ils font donc appel de cette décision et, en octobre 1927, s’ouvre le procès « Brancusi contre les États-Unis ».
L’administration américaine se défend, en essayant de montrer successivement que l’œuvre n’est pas un original et qu’il en existe plusieurs exemplaires identiques, qu’elle ne ressemble pas à ce qu’indique son titre (un oiseau) et qu’elle n’est donc pas une œuvre d’art, que Brancusi est une personnalité marginale dont la pratique abstraite n’est pas proprement artistique…Les représentants de l’artiste doivent démonter un à un ces arguments. Et, après une longue année de procédure, le juge lui donne enfin raison. La presse américaine titre ironiquement avec une photo de l’œuvre : « C’est un oiseau ! » Il reste donc encore du chemin pour faire accepter à tout le monde que la sculpture a évolué, et que même des créations qui semblent abstraites sont bien des œuvres d’art. Mais un premier pas a été franchi dans cette révolution qui est bel et bien en marche…
Pour aller plus loin : Exposition « Brancusi » au Centre Pompidou (Dada)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600019627 $Périodique Revues Disponible N°281 - Avril 2024 - Art et sport (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°281 - Avril 2024 - Art et sport Type de document : texte imprimé Année de publication : 2024 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Sport (Art) Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports [n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°281 - Avril 2024 - Art et sport [texte imprimé] . - 2024 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Sport (Art) Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019903 $Périodique Revues Exclu du prêt N°333 - novembre 2016 - Italiens de Belgique (Bulletin de Agenda interculturel)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
Titre : N°333 - novembre 2016 - Italiens de Belgique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Importance : 31 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 3 Culture Tags : immigration italienne Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture [n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
N°333 - novembre 2016 - Italiens de Belgique [texte imprimé] . - 2016 . - 31 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 3 Culture Tags : immigration italienne Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600007738 $Périodique Revues Exclu du prêt N°342 - septembre 2018 - Pacte pour un enseignement d'excellence. Un pacte mal nommé ? (Bulletin de Agenda interculturel)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
Titre : N°342 - septembre 2018 - Pacte pour un enseignement d'excellence. Un pacte mal nommé ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 31 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 3 Culture Tags : pacte d'excellence enseignement Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture [n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
N°342 - septembre 2018 - Pacte pour un enseignement d'excellence. Un pacte mal nommé ? [texte imprimé] . - 2018 . - 31 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 3 Culture Tags : pacte d'excellence enseignement Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600008895 $Périodique Revues Disponible N°514 - Août 2020 - La voie lactée se dévoile. Comment des collisions continuent de façonner notre galaxie (Bulletin de Pour la science)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Pour la science / Françoise Pétry
Titre : N°514 - Août 2020 - La voie lactée se dévoile. Comment des collisions continuent de façonner notre galaxie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 96 p.. Présentation : ill. en coul. Format : 29 cm Prix : 7.20 € Langues : Français (fre) Catégories : 3 Culture Tags : voie lactée tullbergia arthropode taxe carbone triplets pythagoriens collier de Ba'ja Index. décimale : 500 Sciences exactes Résumé : Pour la Science n° 514 Pour la Science n° 514 - Août 2020 100 pages 17,5 Mo
La Voie Lactée se dévoile
Comment des collisions continuent de façonner notre galaxie
La Voie lactée est une galaxie spirale, une sorte de disque doté de bras lumineux se déployant en spirale depuis le centre. Mais combien de bras ? Avec une « barre » centrale ou non ? Jusque récemment, le flou régnait sur ces questions et bien d’autres.
De grands programmes d’observation ont dernièrement abouti à un portrait beaucoup plus précis de notre galaxie, que nous vous invitons à découvrir dans ce numéro.
(Pour la science)Note de contenu : Combien de bras pour la Voie lactée ?Astrophysique
Combien de bras pour la Voie lactée ?
La structure de notre galaxie ne nous est pas très bien connue. Mais à l'aide de radiotélescopes, les astronomes viennent d'en brosser un portrait plus précis, où se dessinent mieux les bras spiraux et la position du Système solaire.
Mark Reid et Xing-Wu Zheng
Le Système solaire est peut-être né d’une collision galactiqueAstrophysique
Le Système solaire est peut-être né d’une collision galactique
Le satellite Gaia livre de nombreuses informations sur la Voie lactée, sa structure, l’histoire de sa formation… et celle du Système solaire. Carine Babusiaux nous présente les résultats les plus récents de cette mission.
Propos recueillis par Sean Bailly
Grands formats
L’enfant au collier de Ba’jaArchéologie
L’enfant au collier de Ba’ja
Il y a 9 000 ans, les habitants d’un village néolithique à Ba’ja, en Jordanie, ont enterré un enfant orné d’un collier de 2 600 perles dans une tombe soigneusement édifiée. Que révèle ce traitement spectaculaire ?
Marion Benz
Comment définir une bonne taxe carbone ?Économie
Comment définir une bonne taxe carbone ?
La lutte contre le changement climatique est un thème central dans les politiques publiques. L’un des enjeux est d’établir une taxe pratique qui fera baisser les émissions de dioxyde de carbone. Reste à trouver le juste prix…
Gilbert Metcalf
Les sols aux bons soins des collembolesÉcologie
Les sols aux bons soins des collemboles
Tout petits arthropodes souvent méconnus, les collemboles abondent dans les sols et contribuent à la qualité de ces derniers. Ils ont ainsi acquis une place privilégiée en écologie théorique et appliquée.
Jérôme Cortet
Tullbergia, survivant de l’extrêmeBiologie
Tullbergia, survivant de l’extrême
Une espèce de collembole, minuscule animal apparenté aux insectes, a survécu à plus de 30 périodes glaciaires dans les terres les plus rudes de l’Antarctique. De quelle façon ?
Douglas Fox
Des ethnologues au pays des mathématiquesAnthropologie
Des ethnologues au pays des mathématiques
Dès la fin du xixe siècle, les anthropologues se sont intéressés à l’art de compter dans les sociétés non occidentales. Mais il a fallu plusieurs décennies pour que mathématiciens et anthropologues étudient les pratiques mathématiques de ces sociétés.
Éric Vandendriessche et Céline Petit
Rendez-vous
Logique & calcul
Dans les arcanes des triplets pythagoriciens
La géométrie des triangles rectangles a entraîné l’arithmétique des triplets pythagoriciens, connus depuis au moins deux millénaires. Ces triplets suscitent de nombreuses questions, qui ne sont pas toutes résolues.
Jean-Paul Delahaye
Art & science
Une météorite dans l’œil
Paul Duncombe a entrepris l’étude géologique, zoologique, anthropologique… et artistique de la reconquête par la nature de l’« Œil du Québec », un cratère d’impact vieux de plus de 200 millions d’années.
Loïc Mangin
Idées de physique
En route vers Mars ! Mais quelle route ?
La trajectoire optimale pour envoyer une sonde spatiale vers une autre planète est celle qui consomme le moins de carburant possible. Comment la déterminer ?
Édouard Kierlik et Jean-Michel Courty
Chroniques de l'évolution
Le plus vieux parasite du monde
Que sont ces mystérieux tubes retrouvés à la surface de coquillages vieux de 510 millions d’années ?
Hervé Le Guyader
Science & gastronomie
Beurre et huile, oc et oïl réconciliés
Le mariage du beurre et de l’huile d’olive est-il « contre nature » ? Pas du tout, et il peut même faire de délicieux mélanges.
Hervé This
Contenus sponsorisés
Cahier spécial
Accident nucléaire : comment contenir le coeur fondu d’un réacteur ?
En cas d’accident grave dans une centrale nucléaire, le mélange hautement radioactif de combustible et de matériaux fondus peut percer la cuve en acier du réacteur. Des modélisations fines de l’évolution thermochimique de ce mélange et des analyses de la résistance mécanique de la cuve évaluent les conditions à respecter pour l’éviter.
(Pour la science)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Pour la science / Françoise Pétry
N°514 - Août 2020 - La voie lactée se dévoile. Comment des collisions continuent de façonner notre galaxie [texte imprimé] . - 2020 . - 96 p.. : ill. en coul. ; 29 cm.
7.20 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3 Culture Tags : voie lactée tullbergia arthropode taxe carbone triplets pythagoriens collier de Ba'ja Index. décimale : 500 Sciences exactes Résumé : Pour la Science n° 514 Pour la Science n° 514 - Août 2020 100 pages 17,5 Mo
La Voie Lactée se dévoile
Comment des collisions continuent de façonner notre galaxie
La Voie lactée est une galaxie spirale, une sorte de disque doté de bras lumineux se déployant en spirale depuis le centre. Mais combien de bras ? Avec une « barre » centrale ou non ? Jusque récemment, le flou régnait sur ces questions et bien d’autres.
De grands programmes d’observation ont dernièrement abouti à un portrait beaucoup plus précis de notre galaxie, que nous vous invitons à découvrir dans ce numéro.
(Pour la science)Note de contenu : Combien de bras pour la Voie lactée ?Astrophysique
Combien de bras pour la Voie lactée ?
La structure de notre galaxie ne nous est pas très bien connue. Mais à l'aide de radiotélescopes, les astronomes viennent d'en brosser un portrait plus précis, où se dessinent mieux les bras spiraux et la position du Système solaire.
Mark Reid et Xing-Wu Zheng
Le Système solaire est peut-être né d’une collision galactiqueAstrophysique
Le Système solaire est peut-être né d’une collision galactique
Le satellite Gaia livre de nombreuses informations sur la Voie lactée, sa structure, l’histoire de sa formation… et celle du Système solaire. Carine Babusiaux nous présente les résultats les plus récents de cette mission.
Propos recueillis par Sean Bailly
Grands formats
L’enfant au collier de Ba’jaArchéologie
L’enfant au collier de Ba’ja
Il y a 9 000 ans, les habitants d’un village néolithique à Ba’ja, en Jordanie, ont enterré un enfant orné d’un collier de 2 600 perles dans une tombe soigneusement édifiée. Que révèle ce traitement spectaculaire ?
Marion Benz
Comment définir une bonne taxe carbone ?Économie
Comment définir une bonne taxe carbone ?
La lutte contre le changement climatique est un thème central dans les politiques publiques. L’un des enjeux est d’établir une taxe pratique qui fera baisser les émissions de dioxyde de carbone. Reste à trouver le juste prix…
Gilbert Metcalf
Les sols aux bons soins des collembolesÉcologie
Les sols aux bons soins des collemboles
Tout petits arthropodes souvent méconnus, les collemboles abondent dans les sols et contribuent à la qualité de ces derniers. Ils ont ainsi acquis une place privilégiée en écologie théorique et appliquée.
Jérôme Cortet
Tullbergia, survivant de l’extrêmeBiologie
Tullbergia, survivant de l’extrême
Une espèce de collembole, minuscule animal apparenté aux insectes, a survécu à plus de 30 périodes glaciaires dans les terres les plus rudes de l’Antarctique. De quelle façon ?
Douglas Fox
Des ethnologues au pays des mathématiquesAnthropologie
Des ethnologues au pays des mathématiques
Dès la fin du xixe siècle, les anthropologues se sont intéressés à l’art de compter dans les sociétés non occidentales. Mais il a fallu plusieurs décennies pour que mathématiciens et anthropologues étudient les pratiques mathématiques de ces sociétés.
Éric Vandendriessche et Céline Petit
Rendez-vous
Logique & calcul
Dans les arcanes des triplets pythagoriciens
La géométrie des triangles rectangles a entraîné l’arithmétique des triplets pythagoriciens, connus depuis au moins deux millénaires. Ces triplets suscitent de nombreuses questions, qui ne sont pas toutes résolues.
Jean-Paul Delahaye
Art & science
Une météorite dans l’œil
Paul Duncombe a entrepris l’étude géologique, zoologique, anthropologique… et artistique de la reconquête par la nature de l’« Œil du Québec », un cratère d’impact vieux de plus de 200 millions d’années.
Loïc Mangin
Idées de physique
En route vers Mars ! Mais quelle route ?
La trajectoire optimale pour envoyer une sonde spatiale vers une autre planète est celle qui consomme le moins de carburant possible. Comment la déterminer ?
Édouard Kierlik et Jean-Michel Courty
Chroniques de l'évolution
Le plus vieux parasite du monde
Que sont ces mystérieux tubes retrouvés à la surface de coquillages vieux de 510 millions d’années ?
Hervé Le Guyader
Science & gastronomie
Beurre et huile, oc et oïl réconciliés
Le mariage du beurre et de l’huile d’olive est-il « contre nature » ? Pas du tout, et il peut même faire de délicieux mélanges.
Hervé This
Contenus sponsorisés
Cahier spécial
Accident nucléaire : comment contenir le coeur fondu d’un réacteur ?
En cas d’accident grave dans une centrale nucléaire, le mélange hautement radioactif de combustible et de matériaux fondus peut percer la cuve en acier du réacteur. Des modélisations fines de l’évolution thermochimique de ce mélange et des analyses de la résistance mécanique de la cuve évaluent les conditions à respecter pour l’éviter.
(Pour la science)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013212 $Périodique Revues Exclu du prêt N°53 - Janvier-Février 1999 - Art et écriture (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°53 - Janvier-Février 1999 - Art et écriture Type de document : texte imprimé Année de publication : 1999 Importance : 50 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : art écriture Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports [n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°53 - Janvier-Février 1999 - Art et écriture [texte imprimé] . - 1999 . - 50 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : art écriture Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Réservation
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Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019883 $Périodique Revues Disponible 1600019882 $Périodique Revues Disponible N°55 - Avril 1999 - Le chat (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°55 - Avril 1999 - Le chat Type de document : texte imprimé Année de publication : 1999 Importance : 50 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Le Chat Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports [n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°55 - Avril 1999 - Le chat [texte imprimé] . - 1999 . - 50 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Le Chat Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600019884 $Périodique Revues Disponible