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N°264 - Mai 2022 - Dans les jardins secrets de Gaudi (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°264 - Mai 2022 - Dans les jardins secrets de Gaudi Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Gaudi Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Je ne sais pas encore si nous avons donné ce diplôme à un fou ou à un génie, l’avenir nous le dira ! » Le jeune Antoni Gaudí (1852-1926) a fait douter le directeur de son école d’architecture, à Barcelone. Si l’histoire a confirmé son génie, la folie n’est en effet jamais bien loin avec lui. Ses constructions ondulantes et colorées, couvertes de mosaïques, surprennent et sont même parfois violemment critiquées à son époque. Mais ce sont aujourd’hui des millions de visiteurs qui viennent découvrir ses maisons, son parc et sa basilique la Sagrada Família – fascinés par cette architecture extraordinaire, tout entière inspirée par la nature. (Dada) Note de contenu : La magie Gaudí
Créateur touche-à-tout, aux méthodes hors du commun, Gaudí n’a pas toujours fait l’unanimité. Retour sur la vie d’un « fou » devenu icône de l’arcihtecture…
Dessine-moi une maison !
Riches industriels, religieux ou amis : les commandes affluent pour Gaudí ! Tour d’horizon de ses principales créations.
Quand architecture rime avec nature…
Tortues, oiseaux, crustacés ou dragons, mais aussi arbres, fleurs et fruits : c’est en s’inspirant de la nature que Gaudí réussit à se forger un style inimitable.
De toutes les couleurs !
Gaudí réveille le monde des architectes avec ses constructions hautes en couleur. Au-dedans, comme au-dehors, place à un décor en Technicolor.
Bienvenue chez Gaudí
De l’architecture générale à la poignée de porte, Gaudí conçoit tout ! Plongée dans l’une de ses plus célèbres casas pour découvrir l’étendue de ses talents…
Le jardin des merveilles
Pas besoin de suivre le lapin blanc pour découvrir cet endroit fantastique ! Le roi du domaine, Eusebi Güell, a laissé l’architecte faire exploser sa créativité.
La Sagrada Família, l’œuvre d’une vie
Voici le projet le plus ambitieux de Gaudí, en travaux depuis bientôt un siècle et demi… et sera prochainement terminée ! (Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°264 - Mai 2022 - Dans les jardins secrets de Gaudi [texte imprimé] . - 2022 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Gaudi Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Je ne sais pas encore si nous avons donné ce diplôme à un fou ou à un génie, l’avenir nous le dira ! » Le jeune Antoni Gaudí (1852-1926) a fait douter le directeur de son école d’architecture, à Barcelone. Si l’histoire a confirmé son génie, la folie n’est en effet jamais bien loin avec lui. Ses constructions ondulantes et colorées, couvertes de mosaïques, surprennent et sont même parfois violemment critiquées à son époque. Mais ce sont aujourd’hui des millions de visiteurs qui viennent découvrir ses maisons, son parc et sa basilique la Sagrada Família – fascinés par cette architecture extraordinaire, tout entière inspirée par la nature. (Dada) Note de contenu : La magie Gaudí
Créateur touche-à-tout, aux méthodes hors du commun, Gaudí n’a pas toujours fait l’unanimité. Retour sur la vie d’un « fou » devenu icône de l’arcihtecture…
Dessine-moi une maison !
Riches industriels, religieux ou amis : les commandes affluent pour Gaudí ! Tour d’horizon de ses principales créations.
Quand architecture rime avec nature…
Tortues, oiseaux, crustacés ou dragons, mais aussi arbres, fleurs et fruits : c’est en s’inspirant de la nature que Gaudí réussit à se forger un style inimitable.
De toutes les couleurs !
Gaudí réveille le monde des architectes avec ses constructions hautes en couleur. Au-dedans, comme au-dehors, place à un décor en Technicolor.
Bienvenue chez Gaudí
De l’architecture générale à la poignée de porte, Gaudí conçoit tout ! Plongée dans l’une de ses plus célèbres casas pour découvrir l’étendue de ses talents…
Le jardin des merveilles
Pas besoin de suivre le lapin blanc pour découvrir cet endroit fantastique ! Le roi du domaine, Eusebi Güell, a laissé l’architecte faire exploser sa créativité.
La Sagrada Família, l’œuvre d’une vie
Voici le projet le plus ambitieux de Gaudí, en travaux depuis bientôt un siècle et demi… et sera prochainement terminée ! (Dada)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016442 $Périodique Revues Disponible N°265 - Juin 2022 - Picabia (Bulletin de Dada)
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est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°265 - Juin 2022 - Picabia Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Picabia Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « La seule façon d’être suivi, c’est de courir plus vite que les autres ! » C’est la devise que Francis Picabia (1879-1953) semble avoir appliquée tout au long de sa vie. Après avoir connu le succès très jeune avec ses toiles impressionnistes, il s’essaye aux différentes tendances des avant-gardes : fauvisme, futurisme, cubisme… et surtout dadaïsme, dont il sera l’un des pionniers. Picabia, c’est pratiquement une histoire de l’art moderne à lui tout seul. Mais l’artiste ne se laissera jamais enfermer dans aucun courant et revendiquera jusqu’au bout une totale liberté de création, qui se traduit par une œuvre extraordinairement variée. (Dada) Note de contenu : À toute allure !
Élève turbulent, Picabia s’échappe très vite de l’école pour devenir artiste. Dans les décennies qui suivent, il s’initie à tous les mouvements de l’avant-garde.
Picabia impressionniste ?
Connu pour ses œuvres étranges au trait précis, on sait moins que ses premières toiles furent impressionnistes. Un style pour lequel il était doué !
Dans le tourbillon de l’art moderne
Certains peintres explorent toute leur vie un seul style et leur patte se reconnaît au premier coup d’œil. Chez Picabia, c’est tout l’inverse ! Les mouvements, il les enchaîne.
À dada avec Picabia
L’anticonformisme est sa seconde nature. Ce qui n’est pas sans rappeler les dadaïstes. Entre lui et le mouvement Dada, c’est le grand amour.
Tous en scène !
Picabia, c’est avant tout de la peinture. Pourtant, il s’est également essayé à l’art du ballet. Avec Relâche, le spectateur plonge dans un univers fantasque et très particulier.
Au voleur ?
Avant d’être un expérimentateur, le peintre est surtout un admirateur des grands maîtres classiques et modernes. Leurs œuvres, il les copie et les détourne dans un style bien à lui.
Le peintre et ses métamorphoses
L’artiste aime explorer des styles et des univers différents. Chacun d’eux exprime des facettes très variées de l’artiste.
Picabia, et après ?
Dans l’histoire de l’art, il tient une place à part. Adoré ou détesté, il n’en reste pas moins une source d’inspiration pour les générations qui lui succèdent ! (Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°265 - Juin 2022 - Picabia [texte imprimé] . - 2022 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Picabia Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « La seule façon d’être suivi, c’est de courir plus vite que les autres ! » C’est la devise que Francis Picabia (1879-1953) semble avoir appliquée tout au long de sa vie. Après avoir connu le succès très jeune avec ses toiles impressionnistes, il s’essaye aux différentes tendances des avant-gardes : fauvisme, futurisme, cubisme… et surtout dadaïsme, dont il sera l’un des pionniers. Picabia, c’est pratiquement une histoire de l’art moderne à lui tout seul. Mais l’artiste ne se laissera jamais enfermer dans aucun courant et revendiquera jusqu’au bout une totale liberté de création, qui se traduit par une œuvre extraordinairement variée. (Dada) Note de contenu : À toute allure !
Élève turbulent, Picabia s’échappe très vite de l’école pour devenir artiste. Dans les décennies qui suivent, il s’initie à tous les mouvements de l’avant-garde.
Picabia impressionniste ?
Connu pour ses œuvres étranges au trait précis, on sait moins que ses premières toiles furent impressionnistes. Un style pour lequel il était doué !
Dans le tourbillon de l’art moderne
Certains peintres explorent toute leur vie un seul style et leur patte se reconnaît au premier coup d’œil. Chez Picabia, c’est tout l’inverse ! Les mouvements, il les enchaîne.
À dada avec Picabia
L’anticonformisme est sa seconde nature. Ce qui n’est pas sans rappeler les dadaïstes. Entre lui et le mouvement Dada, c’est le grand amour.
Tous en scène !
Picabia, c’est avant tout de la peinture. Pourtant, il s’est également essayé à l’art du ballet. Avec Relâche, le spectateur plonge dans un univers fantasque et très particulier.
Au voleur ?
Avant d’être un expérimentateur, le peintre est surtout un admirateur des grands maîtres classiques et modernes. Leurs œuvres, il les copie et les détourne dans un style bien à lui.
Le peintre et ses métamorphoses
L’artiste aime explorer des styles et des univers différents. Chacun d’eux exprime des facettes très variées de l’artiste.
Picabia, et après ?
Dans l’histoire de l’art, il tient une place à part. Adoré ou détesté, il n’en reste pas moins une source d’inspiration pour les générations qui lui succèdent ! (Dada)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016547 $Périodique Revues Disponible N°266 - Septembre 2022 - Rosa Bonheur (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°266 - Septembre 2022 - Rosa Bonheur Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Rosa Bonheur Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Je ne me plaisais qu’au milieu de ces bêtes, je les étudiais avec passion. » Son nom a quelque chose de familier, avec ses consonances pleines de poésie… Mais connaît-on vraiment son art ? Rosa Bonheur (1822-1899) a pourtant été l’une des artistes les plus célèbres de son époque, et ses œuvres se trouvent dans de prestigieux musées du monde entier. Sa spécialité ? Les animaux, qu’elle peint avec une précision époustouflante. Avec elle, ce genre qui était considéré comme moins noble que la peinture d’histoire va être reconnu à sa juste valeur. Née à Bordeaux, elle se fait connaître à 19 ans à peine et lance une carrière qui atteindra les sommets. Son succès est tel qu’elle acquiert une indépendance rare pour une femme au 19e siècle. Une œuvre, mais aussi une vie hors du commun, à redécouvrir 200 ans après sa naissance. (Dada) Note de contenu : Une femme libre
Au 19e siècle, dans une société dominée par les hommes, Rosa Bonheur fait figure d’exception, avec une carrière menée sous le signe de la liberté…
Le retour à la terre
Représenter la vie rurale a toujours été sa passion. Sous ses pinceaux, la campagne va se hisser aux côtés des genres les plus prestigieux.
Dans la ménagerie de Rosa
Rosa Bonheur peint de véritables portraits d’animaux, avec la même exigence que pour des humains. Plongez dans l’âme de ces compagnons à quatre pattes !
Au bonheur des dames !
Rosa Bonheur quitte Paris, direction le château de By avec ses plus proches amies ! Un univers à sa mesure, dans lequel elle peut vivre et créer en toute liberté.
Tout Rosa Bonheur en une œuvre
Découvrez un exploit technique, qui séduit énormément le public de son époque, bluffe ses collègues masculins et demeure aujourd’hui son œuvre la plus célèbre.
Le rêve américain
Fascinée par l’Ouest américain, elle n’y pose pourtant jamais le pied. Ce qui ne l’empêche pas d’y consacrer de nombreux tableaux…
Girl power ? L’héritage de Rosa Bonheur
Très célèbre de son vivant, Rosa Bonheur tombe peu à peu dans l’oubli après son décès. Mais quelques femmes s’emploient à entretenir sa mémoire et à cultiver, comme elle, un goût pour la liberté. (Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°266 - Septembre 2022 - Rosa Bonheur [texte imprimé] . - 2022 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Rosa Bonheur Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Je ne me plaisais qu’au milieu de ces bêtes, je les étudiais avec passion. » Son nom a quelque chose de familier, avec ses consonances pleines de poésie… Mais connaît-on vraiment son art ? Rosa Bonheur (1822-1899) a pourtant été l’une des artistes les plus célèbres de son époque, et ses œuvres se trouvent dans de prestigieux musées du monde entier. Sa spécialité ? Les animaux, qu’elle peint avec une précision époustouflante. Avec elle, ce genre qui était considéré comme moins noble que la peinture d’histoire va être reconnu à sa juste valeur. Née à Bordeaux, elle se fait connaître à 19 ans à peine et lance une carrière qui atteindra les sommets. Son succès est tel qu’elle acquiert une indépendance rare pour une femme au 19e siècle. Une œuvre, mais aussi une vie hors du commun, à redécouvrir 200 ans après sa naissance. (Dada) Note de contenu : Une femme libre
Au 19e siècle, dans une société dominée par les hommes, Rosa Bonheur fait figure d’exception, avec une carrière menée sous le signe de la liberté…
Le retour à la terre
Représenter la vie rurale a toujours été sa passion. Sous ses pinceaux, la campagne va se hisser aux côtés des genres les plus prestigieux.
Dans la ménagerie de Rosa
Rosa Bonheur peint de véritables portraits d’animaux, avec la même exigence que pour des humains. Plongez dans l’âme de ces compagnons à quatre pattes !
Au bonheur des dames !
Rosa Bonheur quitte Paris, direction le château de By avec ses plus proches amies ! Un univers à sa mesure, dans lequel elle peut vivre et créer en toute liberté.
Tout Rosa Bonheur en une œuvre
Découvrez un exploit technique, qui séduit énormément le public de son époque, bluffe ses collègues masculins et demeure aujourd’hui son œuvre la plus célèbre.
Le rêve américain
Fascinée par l’Ouest américain, elle n’y pose pourtant jamais le pied. Ce qui ne l’empêche pas d’y consacrer de nombreux tableaux…
Girl power ? L’héritage de Rosa Bonheur
Très célèbre de son vivant, Rosa Bonheur tombe peu à peu dans l’oubli après son décès. Mais quelques femmes s’emploient à entretenir sa mémoire et à cultiver, comme elle, un goût pour la liberté. (Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600016458 $Périodique Revues Exclu du prêt N°267 - Octobre 2022 - Natures mortes (Bulletin de Dada)
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Titre : N°267 - Octobre 2022 - Natures mortes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Natures mortes Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Des fleurs, des fruits et légumes, des poissons ou des viandes, de la vaisselle ou autres objets du quotidien… Bienvenue dans le monde de la nature morte ! Depuis l’Antiquité, les artistes rivalisent de précision pour capter la beauté des choses qui nous entourent. Des œuvres parfois saisissantes de réalisme, qui sont un régal pour nos yeux. Riches en symboles, elles racontent aussi ce que nous sommes et l’évolution de nos sociétés. Si ce genre a longtemps été tout en bas de la hiérarchie académique, il a toujours rencontré un vif succès populaire. Et les artistes modernes et contemporains ne cessent de le réinventer, à travers des œuvres étonnantes. La nature morte reste bien vivante ! (Dada) Note de contenu : La beauté des petites choses
Des fruits, des fleurs, des objets, peints avec tant de beauté et minutie qu’on pourrait presque les toucher ! Et si on admirait les petites choses du quotidien ?
Dis-moi ce que tu possèdes, et je te dirai qui tu es…
Tout est dans le symbole ! En représentant les richesses des uns et des autres, la nature morte nous raconte aussi nous, êtres humains, et l’époque à laquelle nous vivons.
C’est le bouquet !
Quand il s’agit de fleurs, le terme nature morte peut paraître trompeur. Elles y sont généralement bien vivantes, et resplendissantes…
Quand les artistes font leur marché…
Une petite envie de côtelette, ou d’un homard ? Végétariens, restez : fruits et légumes ne manquent pas. Envoyez vos paniers, les plus grands spécialistes du genre vous attendent.
Bizarre, bizarre
Embarquement immédiat pour un périple qui nous emmène là où on ne s’y attend pas : des contrées exotiques aux frontières d’un monde onirique…
Souviens-toi que tu vas mourir !
Tout n’est pas met raffiné ou somptueuses gerbes de fleurs ! Plutôt que de ravir nos sens, certaines œuvres rappellent un fait : rien ni personne n’est immortel
Natures pas si mortes !
Joueurs, voire moqueurs, les artistes contemporains s’emparent de la nature morte et imaginent des œuvres extraordinaires qui nous questionnent sur notre mode de vie…
En quelques mots
Depuis l’Antiquité, ce genre s’est fait la spécialité de représenter la vie immobile, silencieuse. On l’appelle d’ailleurs still life dans les pays anglo-saxons. Ici, ni paysage, ni scène historique, ni portrait, mais des petites choses du quotidien a priori insignifiantes, que les artistes prennent un tel soin à dépeindre qu’elles en acquièrent une beauté particulière. Malgré son apparence, cette œuvre de Cindy Wright en couverture n’est d’ailleurs pas une photographie, mais bel et bien une peinture à l’huile. Comme tant d’autres avant elle, elle a minutieusement assemblé ces éléments colorés jusqu’à trouver – eurêka ! – l’équilibre parfait. Toutes ces petites choses deviennent ainsi dignes elles aussi d’être admirées.
Mais la nature morte n’est pas qu’un régal pour nos yeux. Vous verrez qu’à travers les siècles, elle a souvent été riche en symboles. Ces œuvres nous racontent chacune leur époque, à l’image des produits exotiques dans les toiles hollandaises du 17e siècle ou des biens de grande consommation aux couleurs vitaminées dans les années 1960 et 1970. Tel ou tel objet peut aussi porter toute une symbolique, à l’instar de certaines fleurs, ou de tous ces sabliers et ces crânes qui peuplent tant de natures mortes. Ils incarnent un sous-genre bien particulier qu’on nomme vanités : des œuvres qui nous racontent que le temps file et que rien ne dure, pas même notre passage sur Terre. C’est la signification aussi de tous ces fruits entamés ou déjà en train de pourrir. Telle une ultime révélation – eurêka ! –, ces natures mortes nous rappellent que tel est aussi notre destin.
Pour aller plus loin :
Exposition
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°267 - Octobre 2022 - Natures mortes [texte imprimé] . - 2022 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Natures mortes Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Des fleurs, des fruits et légumes, des poissons ou des viandes, de la vaisselle ou autres objets du quotidien… Bienvenue dans le monde de la nature morte ! Depuis l’Antiquité, les artistes rivalisent de précision pour capter la beauté des choses qui nous entourent. Des œuvres parfois saisissantes de réalisme, qui sont un régal pour nos yeux. Riches en symboles, elles racontent aussi ce que nous sommes et l’évolution de nos sociétés. Si ce genre a longtemps été tout en bas de la hiérarchie académique, il a toujours rencontré un vif succès populaire. Et les artistes modernes et contemporains ne cessent de le réinventer, à travers des œuvres étonnantes. La nature morte reste bien vivante ! (Dada) Note de contenu : La beauté des petites choses
Des fruits, des fleurs, des objets, peints avec tant de beauté et minutie qu’on pourrait presque les toucher ! Et si on admirait les petites choses du quotidien ?
Dis-moi ce que tu possèdes, et je te dirai qui tu es…
Tout est dans le symbole ! En représentant les richesses des uns et des autres, la nature morte nous raconte aussi nous, êtres humains, et l’époque à laquelle nous vivons.
C’est le bouquet !
Quand il s’agit de fleurs, le terme nature morte peut paraître trompeur. Elles y sont généralement bien vivantes, et resplendissantes…
Quand les artistes font leur marché…
Une petite envie de côtelette, ou d’un homard ? Végétariens, restez : fruits et légumes ne manquent pas. Envoyez vos paniers, les plus grands spécialistes du genre vous attendent.
Bizarre, bizarre
Embarquement immédiat pour un périple qui nous emmène là où on ne s’y attend pas : des contrées exotiques aux frontières d’un monde onirique…
Souviens-toi que tu vas mourir !
Tout n’est pas met raffiné ou somptueuses gerbes de fleurs ! Plutôt que de ravir nos sens, certaines œuvres rappellent un fait : rien ni personne n’est immortel
Natures pas si mortes !
Joueurs, voire moqueurs, les artistes contemporains s’emparent de la nature morte et imaginent des œuvres extraordinaires qui nous questionnent sur notre mode de vie…
En quelques mots
Depuis l’Antiquité, ce genre s’est fait la spécialité de représenter la vie immobile, silencieuse. On l’appelle d’ailleurs still life dans les pays anglo-saxons. Ici, ni paysage, ni scène historique, ni portrait, mais des petites choses du quotidien a priori insignifiantes, que les artistes prennent un tel soin à dépeindre qu’elles en acquièrent une beauté particulière. Malgré son apparence, cette œuvre de Cindy Wright en couverture n’est d’ailleurs pas une photographie, mais bel et bien une peinture à l’huile. Comme tant d’autres avant elle, elle a minutieusement assemblé ces éléments colorés jusqu’à trouver – eurêka ! – l’équilibre parfait. Toutes ces petites choses deviennent ainsi dignes elles aussi d’être admirées.
Mais la nature morte n’est pas qu’un régal pour nos yeux. Vous verrez qu’à travers les siècles, elle a souvent été riche en symboles. Ces œuvres nous racontent chacune leur époque, à l’image des produits exotiques dans les toiles hollandaises du 17e siècle ou des biens de grande consommation aux couleurs vitaminées dans les années 1960 et 1970. Tel ou tel objet peut aussi porter toute une symbolique, à l’instar de certaines fleurs, ou de tous ces sabliers et ces crânes qui peuplent tant de natures mortes. Ils incarnent un sous-genre bien particulier qu’on nomme vanités : des œuvres qui nous racontent que le temps file et que rien ne dure, pas même notre passage sur Terre. C’est la signification aussi de tous ces fruits entamés ou déjà en train de pourrir. Telle une ultime révélation – eurêka ! –, ces natures mortes nous rappellent que tel est aussi notre destin.
Pour aller plus loin :
Exposition
(Dada)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016919 $Périodique Revues Disponible N°268 - Novembre 2022 - JR (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°268 - Novembre 2022 - JR Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : JR Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : ;Je possède la plus grande galerie d’art : les murs du monde entier;» Depuis le début des années 2000, les œuvres de JR s’affichent en effet partout. Ni pochoir, ni peinture aérosol : ce street artiste a développé un style unique, reconnaissable à ces photos en noir et blanc collées dans des formats XXL en pleine rue. Des portraits d’inconnus, qu’il immortalise et placarde de Paris à New York, en passant par Rio de Janeiro, Bethléem, Istanbul ou Hong Kong. Nous invitant à dépasser a priori et clichés, JR révèle l’humanité qui vibre en chacun et chacune d’entre nous.
Au sommaire
C’est l’histoire d’un photograffeur
Ses immenses portraits en noir et blanc s’affichent sur les murs du monde entier. Ni graffiti ni bombe de peinture : dans l’univers du street art, JR s’est inventé un style bien à lui…
La plus grande galerie d’art au monde
JR capture et affiche les visages de milliers d’anonymes sur toute la planète, en format XXL ! Son terrain de jeu ? La rue, qu’il a transformée en une gigantesque galerie d’art.
Sortir des clichés
Des bidonvilles aux banlieues, de la Palestine à la frontière américano-mexicaine, JR, le chevalier en noir et blanc, passe la société au révélateur. Son but ? Tordre le cou aux clichés.
La mémoire des lieux
Les villes foisonnent d’histoires pour qui sait les déceler. Parfois, les bâtiments sont une fenêtre sur un passé que JR entend dévoiler…
Dans l’atelier à ciel ouvert de JR
Des portraits gigantesques, installés dans des lieux parfois difficiles d’accès, aux quatre coins du monde… Découvrez comment JR et son équipe travaillent, pas à pas.
Abracadabra ! Le magicien des rues
JR récemment métamorphosé en Doctor Strange à coups de trompe-l’œil et d’anamorphoses. Ajustez vos mirettes !
La bande à JR
JR aime s’entourer de gens pour ses projets, et multiplie également les collaborations avec de grands noms du cinéma, de la danse… La preuve par cinq. (Dada)Note de contenu : C’est l’histoire d’un photograffeur
Ses immenses portraits en noir et blanc s’affichent sur les murs du monde entier. Ni graffiti ni bombe de peinture : dans l’univers du street art, JR s’est inventé un style bien à lui…
La plus grande galerie d’art au monde
JR capture et affiche les visages de milliers d’anonymes sur toute la planète, en format XXL ! Son terrain de jeu ? La rue, qu’il a transformée en une gigantesque galerie d’art.
Sortir des clichés
Des bidonvilles aux banlieues, de la Palestine à la frontière américano-mexicaine, JR, le chevalier en noir et blanc, passe la société au révélateur. Son but ? Tordre le cou aux clichés.
La mémoire des lieux
Les villes foisonnent d’histoires pour qui sait les déceler. Parfois, les bâtiments sont une fenêtre sur un passé que JR entend dévoiler…
Dans l’atelier à ciel ouvert de JR
Des portraits gigantesques, installés dans des lieux parfois difficiles d’accès, aux quatre coins du monde… Découvrez comment JR et son équipe travaillent, pas à pas.
Abracadabra ! Le magicien des rues
JR récemment métamorphosé en Doctor Strange à coups de trompe-l’œil et d’anamorphoses. Ajustez vos mirettes !
La bande à JR
JR aime s’entourer de gens pour ses projets, et multiplie également les collaborations avec de grands noms du cinéma, de la danse… La preuve par cinq.
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°268 - Novembre 2022 - JR [texte imprimé] . - 2022 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : JR Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : ;Je possède la plus grande galerie d’art : les murs du monde entier;» Depuis le début des années 2000, les œuvres de JR s’affichent en effet partout. Ni pochoir, ni peinture aérosol : ce street artiste a développé un style unique, reconnaissable à ces photos en noir et blanc collées dans des formats XXL en pleine rue. Des portraits d’inconnus, qu’il immortalise et placarde de Paris à New York, en passant par Rio de Janeiro, Bethléem, Istanbul ou Hong Kong. Nous invitant à dépasser a priori et clichés, JR révèle l’humanité qui vibre en chacun et chacune d’entre nous.
Au sommaire
C’est l’histoire d’un photograffeur
Ses immenses portraits en noir et blanc s’affichent sur les murs du monde entier. Ni graffiti ni bombe de peinture : dans l’univers du street art, JR s’est inventé un style bien à lui…
La plus grande galerie d’art au monde
JR capture et affiche les visages de milliers d’anonymes sur toute la planète, en format XXL ! Son terrain de jeu ? La rue, qu’il a transformée en une gigantesque galerie d’art.
Sortir des clichés
Des bidonvilles aux banlieues, de la Palestine à la frontière américano-mexicaine, JR, le chevalier en noir et blanc, passe la société au révélateur. Son but ? Tordre le cou aux clichés.
La mémoire des lieux
Les villes foisonnent d’histoires pour qui sait les déceler. Parfois, les bâtiments sont une fenêtre sur un passé que JR entend dévoiler…
Dans l’atelier à ciel ouvert de JR
Des portraits gigantesques, installés dans des lieux parfois difficiles d’accès, aux quatre coins du monde… Découvrez comment JR et son équipe travaillent, pas à pas.
Abracadabra ! Le magicien des rues
JR récemment métamorphosé en Doctor Strange à coups de trompe-l’œil et d’anamorphoses. Ajustez vos mirettes !
La bande à JR
JR aime s’entourer de gens pour ses projets, et multiplie également les collaborations avec de grands noms du cinéma, de la danse… La preuve par cinq. (Dada)Note de contenu : C’est l’histoire d’un photograffeur
Ses immenses portraits en noir et blanc s’affichent sur les murs du monde entier. Ni graffiti ni bombe de peinture : dans l’univers du street art, JR s’est inventé un style bien à lui…
La plus grande galerie d’art au monde
JR capture et affiche les visages de milliers d’anonymes sur toute la planète, en format XXL ! Son terrain de jeu ? La rue, qu’il a transformée en une gigantesque galerie d’art.
Sortir des clichés
Des bidonvilles aux banlieues, de la Palestine à la frontière américano-mexicaine, JR, le chevalier en noir et blanc, passe la société au révélateur. Son but ? Tordre le cou aux clichés.
La mémoire des lieux
Les villes foisonnent d’histoires pour qui sait les déceler. Parfois, les bâtiments sont une fenêtre sur un passé que JR entend dévoiler…
Dans l’atelier à ciel ouvert de JR
Des portraits gigantesques, installés dans des lieux parfois difficiles d’accès, aux quatre coins du monde… Découvrez comment JR et son équipe travaillent, pas à pas.
Abracadabra ! Le magicien des rues
JR récemment métamorphosé en Doctor Strange à coups de trompe-l’œil et d’anamorphoses. Ajustez vos mirettes !
La bande à JR
JR aime s’entourer de gens pour ses projets, et multiplie également les collaborations avec de grands noms du cinéma, de la danse… La preuve par cinq.
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600016515 $Périodique Revues Exclu du prêt N°269 - Janvier 2023 - Hyperréalisme (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°269 - Janvier 2023 - Hyperréalisme Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : hyperréalisme Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : À bas l’abstraction ! Dans les années 1960, alors que l’art abstrait est en vogue, un petit groupe d’artistes américains en prend le contrepied et invente l’hyperréalisme. Ils cherchent à représenter le monde le plus fidèlement possible. Des peintures et des sculptures d’une telle maîtrise technique qu’on en vient à se demander où est le vrai, où est le faux… Mais ils ne se contentent pas de façonner de simples copies conformes de la réalité. En jouant sur les détails et les formats, leurs œuvres sont tantôt amusantes, tantôt angoissantes… mais toujours à couper le souffle. Depuis plus de 60 ans, l’hyperréalisme ne cesse ainsi de se réinventer et de nous interroger sur notre société, et notre humanité.
(Dada)Note de contenu : Trop beau pour être vrai !
Depuis l’Antiquité, les artistes tentent de créer des œuvres reproduisant fidèlement la réalité. Une quête qui trouve son aboutissement dans les années 1960…
Sage comme une image ?
Les artistes hyperréalistes se contentent-ils seulement d’imiter ce qui les entoure ? Pas sûr… Découvrons de plus près ce qui se cache derrière ces œuvres au réalisme photographique.
Plus vrai que nature
Plonger dans un paysage ? C’est l’un des exercices favoris des hyperréalistes. L’occasion de travailler leur technique dans les moindres détails, et de nous emmener loin, très loin.
Miroir, mon beau miroir…
Les peintres hyperréalistes aiment tout ce qui brille ! Métaux polis, vitres, miroirs ou liquides transparents… Pourquoi leurs œuvres jouent-elles ainsi les palais des glaces ?
Mais comment font-ils ?!
Troublantes de précision, les œuvres hyperréalistes sont-elles fabriquées par des hommes… ou des machines ? Petit tour d’horizon de leur boîte à outils.
Aux frontières du réel
Un personnage trop grand, une drôle de mise en scène, une bestiole inquiétante… Dans cette vallée de l’étrange, les artistes intriguent, bousculent et interrogent la réalité.
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°269 - Janvier 2023 - Hyperréalisme [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : hyperréalisme Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : À bas l’abstraction ! Dans les années 1960, alors que l’art abstrait est en vogue, un petit groupe d’artistes américains en prend le contrepied et invente l’hyperréalisme. Ils cherchent à représenter le monde le plus fidèlement possible. Des peintures et des sculptures d’une telle maîtrise technique qu’on en vient à se demander où est le vrai, où est le faux… Mais ils ne se contentent pas de façonner de simples copies conformes de la réalité. En jouant sur les détails et les formats, leurs œuvres sont tantôt amusantes, tantôt angoissantes… mais toujours à couper le souffle. Depuis plus de 60 ans, l’hyperréalisme ne cesse ainsi de se réinventer et de nous interroger sur notre société, et notre humanité.
(Dada)Note de contenu : Trop beau pour être vrai !
Depuis l’Antiquité, les artistes tentent de créer des œuvres reproduisant fidèlement la réalité. Une quête qui trouve son aboutissement dans les années 1960…
Sage comme une image ?
Les artistes hyperréalistes se contentent-ils seulement d’imiter ce qui les entoure ? Pas sûr… Découvrons de plus près ce qui se cache derrière ces œuvres au réalisme photographique.
Plus vrai que nature
Plonger dans un paysage ? C’est l’un des exercices favoris des hyperréalistes. L’occasion de travailler leur technique dans les moindres détails, et de nous emmener loin, très loin.
Miroir, mon beau miroir…
Les peintres hyperréalistes aiment tout ce qui brille ! Métaux polis, vitres, miroirs ou liquides transparents… Pourquoi leurs œuvres jouent-elles ainsi les palais des glaces ?
Mais comment font-ils ?!
Troublantes de précision, les œuvres hyperréalistes sont-elles fabriquées par des hommes… ou des machines ? Petit tour d’horizon de leur boîte à outils.
Aux frontières du réel
Un personnage trop grand, une drôle de mise en scène, une bestiole inquiétante… Dans cette vallée de l’étrange, les artistes intriguent, bousculent et interrogent la réalité.
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018635 $Périodique Revues Exclu du prêt N°270 - Février 2023 - L'art du Manga (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°270 - Février 2023 - L'art du Manga Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 57 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Mangas Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Le manga est la star des rayons de librairie, avec des dizaines de millions d’exemplaires vendus chaque année. Mais c’est aussi un art, avec ses codes, ses genres et son histoire. Suivez le guide ! Récit intimiste ou grande épopée, histoires réalistes ou univers les plus fantastiques, il y en a pour tous les goûts. D’Astro Boy à One Piece, en passant par Akira, Sailor Moon, Nausicaä ou Hunter x Hunter et bien d’autres, vous découvrirez un art à part entière forgé depuis plus de 70 ans par tant de créateurs et de créatrices, et qui ne cesse de se réinventer.
(Dada)Note de contenu : Le manga en 5 questions
Vous ne comprenez pas les raisons de sa popularité ? Vous êtes curieux de connaître ses racines et son évolution ? Réponses en 5 questions.
Le panthéon des héros
Plus que de simples personnages, certains héros de manga sont devenus de véritables légendes, voire des ambassadeurs de la culture japonaise. Petit tour d’horizon…
Le manga, comment ça marche ?
En plus d’être lus de droite à gauche, les mangas possèdent leurs propres codes pour raconter leurs histoires en images.
Yokoso Japan !
De l’autre côté du globe, le Japon est une terre mystérieuse et fascinante. Le manga nous ouvre une porte sur cette société qui semble très différente de la nôtre…
Qui suis-je ? Manga et quête de soi
Les personnages des mangas rêvent, se découvrent et se dépassent… L’action et les épreuves sont l’occasion de passer de l’enfance à l’âge adulte.
Mauvais genres ?
Divisés par âge et par genre, les mangas offrent souvent, en surface, une vision très stéréotypée du masculin et du féminin. Petite plongée dans les profondeurs d’un art qui sait aussi jouer avec les codes.
Monstres & Cie
L’univers des morts, des esprits ou des monstres entrent en collision avec le quotidien, et des héros et héroïnes luttent pour conserver l’équilibre entre ces dimensions.
Apocalypse now ?
Parfois, le manga nous fait plonger dans les heures les plus sombres de l’humanité, où catastrophes naturelles, humaines ou mystiques annoncent une fin terrible. Y a-t-il un moyen de survivre ?
Dans l’atelier des mangakas
Dessiner des mangas est loin d’être de tout repos. Pour qu’un titre voie le jour, il faut de nombreuses heures de travail et, souvent, beaucoup de monde !
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°270 - Février 2023 - L'art du Manga [texte imprimé] . - 2023 . - 57 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Mangas Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Le manga est la star des rayons de librairie, avec des dizaines de millions d’exemplaires vendus chaque année. Mais c’est aussi un art, avec ses codes, ses genres et son histoire. Suivez le guide ! Récit intimiste ou grande épopée, histoires réalistes ou univers les plus fantastiques, il y en a pour tous les goûts. D’Astro Boy à One Piece, en passant par Akira, Sailor Moon, Nausicaä ou Hunter x Hunter et bien d’autres, vous découvrirez un art à part entière forgé depuis plus de 70 ans par tant de créateurs et de créatrices, et qui ne cesse de se réinventer.
(Dada)Note de contenu : Le manga en 5 questions
Vous ne comprenez pas les raisons de sa popularité ? Vous êtes curieux de connaître ses racines et son évolution ? Réponses en 5 questions.
Le panthéon des héros
Plus que de simples personnages, certains héros de manga sont devenus de véritables légendes, voire des ambassadeurs de la culture japonaise. Petit tour d’horizon…
Le manga, comment ça marche ?
En plus d’être lus de droite à gauche, les mangas possèdent leurs propres codes pour raconter leurs histoires en images.
Yokoso Japan !
De l’autre côté du globe, le Japon est une terre mystérieuse et fascinante. Le manga nous ouvre une porte sur cette société qui semble très différente de la nôtre…
Qui suis-je ? Manga et quête de soi
Les personnages des mangas rêvent, se découvrent et se dépassent… L’action et les épreuves sont l’occasion de passer de l’enfance à l’âge adulte.
Mauvais genres ?
Divisés par âge et par genre, les mangas offrent souvent, en surface, une vision très stéréotypée du masculin et du féminin. Petite plongée dans les profondeurs d’un art qui sait aussi jouer avec les codes.
Monstres & Cie
L’univers des morts, des esprits ou des monstres entrent en collision avec le quotidien, et des héros et héroïnes luttent pour conserver l’équilibre entre ces dimensions.
Apocalypse now ?
Parfois, le manga nous fait plonger dans les heures les plus sombres de l’humanité, où catastrophes naturelles, humaines ou mystiques annoncent une fin terrible. Y a-t-il un moyen de survivre ?
Dans l’atelier des mangakas
Dessiner des mangas est loin d’être de tout repos. Pour qu’un titre voie le jour, il faut de nombreuses heures de travail et, souvent, beaucoup de monde !
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018668 $Périodique Revues Exclu du prêt N°271 - Mars 2023 - Vert (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°271 - Mars 2023 - Vert Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : vert couleur verte (art) Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Le vert, c’est la vie bien sûr ! Les bourgeons qui deviennent feuilles, les forêts qui reverdissent au printemps, la nature dans son ensemble qui est le poumon vert de notre planète… C’est pourtant une couleur bien plus ambivalente qu’il n’y paraît au premier regard. Longtemps toxique et difficile à produire, elle incarne aussi le danger, le malheur et la mort, à l’instar de toutes ces créatures maléfiques qui peuplent les œuvres d’art à travers les siècles. Le vert, instable, a donc de multiples facettes, et c’est peut-être pour cela qu’on l’aime autant qu’on le déteste ! Après le rouge et le bleu, voici un nouveau volume dans notre petit musée des couleurs.
(Dada)Note de contenu : À l’endroit, à l’en-vert
Contrairement à d’autres couleurs, le vert a toujours été instable et ambivalent. Teinte secondaire, elle souffle le chaud et le froid. Un côté double-face fascinant…
Vert de peur !
À partir du Moyen Âge, le vert est comme victime d’un mauvais sort. Le voilà régulièrement associé au diable et à de nombreuses créatures démoniaques ou surnaturelles.
Recettes vertes
À base de pierres ou de plantes, la fabrication du vert a longtemps été plus compliquée que pour d’autres couleurs. Des difficultés qui n’ont pas été sans conséquences sur sa symbolique…
Le retour du printemps
S’il est parfois difficile à cerner, le vert est aussi la couleur des choses positives : de l’espoir, du renouveau, des beaux jours… de la vie, tout simplement.
Quand l’art se met au vert
Les écolos le savent : le vert, c’est la couleur de la nature. De l’Antiquité à nos jours, les artistes ont cherché à représenter le monde végétal… jusqu’à l’utiliser dans leurs œuvres !
En vert… et contre tout !
Au début du 20e siècle, nombreux sont les artistes – en particulier au sein des avant-gardes – à l’exclure de leur palette. Heureusement, certains entrent en résistance…
En quelques mots
Après le rouge et le bleu, voici un nouveau volume dans notre histoire de l’art et des couleurs., Tout autour de nous, le vert reprend sa place avec le retour du printemps. C’est la couleur qu’on associe aujourd’hui spontanément à la vie et à la nature. On parle même du « poumon vert » de la planète ! Celles et ceux qui s’engagent pour la protéger et nous inciter à être plus soucieux de l’environnement se réunissent d’ailleurs sous des bannières vertes, et ce jusque dans le nom de leur mouvement, qu’il s’agisse de partis politiques (les Verts) ou d’associations (comme Greenpeace). Tout cela, les artistes l’ont bien compris, et leurs œuvres n’hésitent pas beaucoup sur la couleur à choisir quand ils veulent aborder des questions écologiques.
Le vert n’est pourtant pas une couleur à sens unique, loin de là. Son histoire a même été moins linéaire que celle de ses consœurs. Comme Michel Pastoureau l’a montré dans ses recherches, qu’il approfondit depuis plus de 20 ans, « le vert est une couleur ambivalente, sinon ambiguë : symbole de vie, de sève, de chance et d’espérance d’un côté, il est de l’autre associé au poison, au malheur, au diable et à ses créatures. » Nous vous proposons ici une approche plus thématique, centrée sur les arts, pour découvrir ce vert qui peut étonnamment symboliser tout et son contraire ! Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, cette couleur a beaucoup de choses à nous raconter… Peinture, sculpture, architecture mais aussi cinéma, arts décoratifs ou street art : nous avons réuni un ensemble d’œuvres variées dans ce petit musée imaginaire du vert, qui en illustrent toutes les facettes. Bonne visite !(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°271 - Mars 2023 - Vert [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : vert couleur verte (art) Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Le vert, c’est la vie bien sûr ! Les bourgeons qui deviennent feuilles, les forêts qui reverdissent au printemps, la nature dans son ensemble qui est le poumon vert de notre planète… C’est pourtant une couleur bien plus ambivalente qu’il n’y paraît au premier regard. Longtemps toxique et difficile à produire, elle incarne aussi le danger, le malheur et la mort, à l’instar de toutes ces créatures maléfiques qui peuplent les œuvres d’art à travers les siècles. Le vert, instable, a donc de multiples facettes, et c’est peut-être pour cela qu’on l’aime autant qu’on le déteste ! Après le rouge et le bleu, voici un nouveau volume dans notre petit musée des couleurs.
(Dada)Note de contenu : À l’endroit, à l’en-vert
Contrairement à d’autres couleurs, le vert a toujours été instable et ambivalent. Teinte secondaire, elle souffle le chaud et le froid. Un côté double-face fascinant…
Vert de peur !
À partir du Moyen Âge, le vert est comme victime d’un mauvais sort. Le voilà régulièrement associé au diable et à de nombreuses créatures démoniaques ou surnaturelles.
Recettes vertes
À base de pierres ou de plantes, la fabrication du vert a longtemps été plus compliquée que pour d’autres couleurs. Des difficultés qui n’ont pas été sans conséquences sur sa symbolique…
Le retour du printemps
S’il est parfois difficile à cerner, le vert est aussi la couleur des choses positives : de l’espoir, du renouveau, des beaux jours… de la vie, tout simplement.
Quand l’art se met au vert
Les écolos le savent : le vert, c’est la couleur de la nature. De l’Antiquité à nos jours, les artistes ont cherché à représenter le monde végétal… jusqu’à l’utiliser dans leurs œuvres !
En vert… et contre tout !
Au début du 20e siècle, nombreux sont les artistes – en particulier au sein des avant-gardes – à l’exclure de leur palette. Heureusement, certains entrent en résistance…
En quelques mots
Après le rouge et le bleu, voici un nouveau volume dans notre histoire de l’art et des couleurs., Tout autour de nous, le vert reprend sa place avec le retour du printemps. C’est la couleur qu’on associe aujourd’hui spontanément à la vie et à la nature. On parle même du « poumon vert » de la planète ! Celles et ceux qui s’engagent pour la protéger et nous inciter à être plus soucieux de l’environnement se réunissent d’ailleurs sous des bannières vertes, et ce jusque dans le nom de leur mouvement, qu’il s’agisse de partis politiques (les Verts) ou d’associations (comme Greenpeace). Tout cela, les artistes l’ont bien compris, et leurs œuvres n’hésitent pas beaucoup sur la couleur à choisir quand ils veulent aborder des questions écologiques.
Le vert n’est pourtant pas une couleur à sens unique, loin de là. Son histoire a même été moins linéaire que celle de ses consœurs. Comme Michel Pastoureau l’a montré dans ses recherches, qu’il approfondit depuis plus de 20 ans, « le vert est une couleur ambivalente, sinon ambiguë : symbole de vie, de sève, de chance et d’espérance d’un côté, il est de l’autre associé au poison, au malheur, au diable et à ses créatures. » Nous vous proposons ici une approche plus thématique, centrée sur les arts, pour découvrir ce vert qui peut étonnamment symboliser tout et son contraire ! Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, cette couleur a beaucoup de choses à nous raconter… Peinture, sculpture, architecture mais aussi cinéma, arts décoratifs ou street art : nous avons réuni un ensemble d’œuvres variées dans ce petit musée imaginaire du vert, qui en illustrent toutes les facettes. Bonne visite !(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018693 $Périodique Revues Exclu du prêt N°272 - Avril 2023 - Suzanne Valandon (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°272 - Avril 2023 - Suzanne Valandon Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Suzanne Valandon Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Son nom résonne le plus souvent comme celui de l’un des modèles favoris des artistes au tournant du 20e siècle, tels Renoir ou Toulouse-Lautrec… Ou alors comme celui de la mère du peintre Maurice Utrillo… Mais Suzanne Valadon (1865-1938) est à l’origine d’une œuvre à part entière, et quelle œuvre ! Autodidacte, inspirée par les artistes pour qui elle a posé, elle s’est peu à peu forgé un style original, en marge des mouvements de son époque.
De nombreux portraits aux lignes marquées, quelques natures mortes et paysages aussi, mais surtout des nus criants de vérité, bien rares alors sous les pinceaux d’une femme. Une œuvre à l’image de sa vie, menée sous le signe de la liberté.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Quand le modèle sort du tableau
Suzanne Valadon est à la fois modèle et peintre, une position unique dans le monde de l’art à la fin du 19e siècle. Mais comment est-elle passée de l’autre côté du chevalet ?
En quelques mots
Dans le petit monde de l’art au tournant du 20e siècle, Suzanne Valadon a conquis sa place, à la force de ses pinceaux. Si elle dessine depuis l’enfance, elle n’a jamais bénéficié d’une formation, et a tout appris en observant les peintres pour qui elle pose depuis l’âge de 15 ans. Repérée par Toulouse-Lautrec, son voisin, son talent séduit ensuite Degas, qui l’encourage. À Montmartre, quartier du nord de Paris qu’elle ne quittera quasiment jamais, elle vit dans ce formidable tourbillon artistique : la capitale est alors le cœur mondial des arts, et des créateurs de toute l’Europe viennent y tenter leur chance. C’est l’époque de toutes les innovations : à l’impressionnisme succèdent le fauvisme, le cubisme, le surréalisme… Autodidacte, Suzanne Valadon côtoie tous ces artistes. Mais farouchement indépendante, elle n’adhère à aucun courant.
Dans un corps à corps avec la peinture et avec elle-même, elle façonne peu à peu son propre style. Un univers original, inclassable, que les livres d’histoire n’ont pas pu rattacher à tel ou tel mouvement, et qui l’ont donc un peu oubliée au fil du 20e siècle. Mais c’est précisément pour cela que l’on a tant de plaisir à redécouvrir aujourd’hui cette grande artiste, qui aura réussi à créer une œuvre unique, à une époque où il était encore difficile pour une femme de vivre de son art. Une œuvre pleine de liberté, à regarder aujourd’hui bien en face.
Pour aller plus loin :
Exposition « Suzanne Valadon, un monde à soi »
Bienvenue à Montmartre !
Récemment rattaché à la capitale, cet ancien village accueille de nombreux lieux de divertissement. C’est là que Suzanne Valadon grandit et devient une artiste.
Passion portraits
Amis, famille, travailleurs… l’artiste se plaît à capter tous les instants de vie autour d’elle. Des œuvres très modernes, dans lesquelles elle révèle la beauté du quotidien.
Mise à nu(s)
Dessins, gravures, peinture : les nus sont partout chez Suzanne Valadon ! Elle y déploie une vision qui s’affranchit des diktats masculins, et se décline à tous les âges, et tous les genres.
Artistes, de mère en fils !
Suzanne Valadon devient mère très jeune, à l’âge de 18 ans. Comme elle, son fils Maurice naît de père inconnu. Comme elle, aussi, il sera peintre. Tous deux resteront proches toute leur vie, mais leurs caractères demeureront aussi différents que leur peinture…
Tout Valadon en une œuvre
En 1923, l’artiste signe une toile qui renverse totalement les codes et les conventions. Retour sur La Chambre bleue, une œuvre aussi puissante qu’engagée.
Valadon, et après ?
De son vivant, la « reine de Montmartre » connaît un grand succès. Elle est même la première femme à exposer au Salon de la Société nationale des beaux-arts. Mais à sa mort, tout change… Que laisse-t-elle à la postérité ?
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°272 - Avril 2023 - Suzanne Valandon [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Suzanne Valandon Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Son nom résonne le plus souvent comme celui de l’un des modèles favoris des artistes au tournant du 20e siècle, tels Renoir ou Toulouse-Lautrec… Ou alors comme celui de la mère du peintre Maurice Utrillo… Mais Suzanne Valadon (1865-1938) est à l’origine d’une œuvre à part entière, et quelle œuvre ! Autodidacte, inspirée par les artistes pour qui elle a posé, elle s’est peu à peu forgé un style original, en marge des mouvements de son époque.
De nombreux portraits aux lignes marquées, quelques natures mortes et paysages aussi, mais surtout des nus criants de vérité, bien rares alors sous les pinceaux d’une femme. Une œuvre à l’image de sa vie, menée sous le signe de la liberté.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Quand le modèle sort du tableau
Suzanne Valadon est à la fois modèle et peintre, une position unique dans le monde de l’art à la fin du 19e siècle. Mais comment est-elle passée de l’autre côté du chevalet ?
En quelques mots
Dans le petit monde de l’art au tournant du 20e siècle, Suzanne Valadon a conquis sa place, à la force de ses pinceaux. Si elle dessine depuis l’enfance, elle n’a jamais bénéficié d’une formation, et a tout appris en observant les peintres pour qui elle pose depuis l’âge de 15 ans. Repérée par Toulouse-Lautrec, son voisin, son talent séduit ensuite Degas, qui l’encourage. À Montmartre, quartier du nord de Paris qu’elle ne quittera quasiment jamais, elle vit dans ce formidable tourbillon artistique : la capitale est alors le cœur mondial des arts, et des créateurs de toute l’Europe viennent y tenter leur chance. C’est l’époque de toutes les innovations : à l’impressionnisme succèdent le fauvisme, le cubisme, le surréalisme… Autodidacte, Suzanne Valadon côtoie tous ces artistes. Mais farouchement indépendante, elle n’adhère à aucun courant.
Dans un corps à corps avec la peinture et avec elle-même, elle façonne peu à peu son propre style. Un univers original, inclassable, que les livres d’histoire n’ont pas pu rattacher à tel ou tel mouvement, et qui l’ont donc un peu oubliée au fil du 20e siècle. Mais c’est précisément pour cela que l’on a tant de plaisir à redécouvrir aujourd’hui cette grande artiste, qui aura réussi à créer une œuvre unique, à une époque où il était encore difficile pour une femme de vivre de son art. Une œuvre pleine de liberté, à regarder aujourd’hui bien en face.
Pour aller plus loin :
Exposition « Suzanne Valadon, un monde à soi »
Bienvenue à Montmartre !
Récemment rattaché à la capitale, cet ancien village accueille de nombreux lieux de divertissement. C’est là que Suzanne Valadon grandit et devient une artiste.
Passion portraits
Amis, famille, travailleurs… l’artiste se plaît à capter tous les instants de vie autour d’elle. Des œuvres très modernes, dans lesquelles elle révèle la beauté du quotidien.
Mise à nu(s)
Dessins, gravures, peinture : les nus sont partout chez Suzanne Valadon ! Elle y déploie une vision qui s’affranchit des diktats masculins, et se décline à tous les âges, et tous les genres.
Artistes, de mère en fils !
Suzanne Valadon devient mère très jeune, à l’âge de 18 ans. Comme elle, son fils Maurice naît de père inconnu. Comme elle, aussi, il sera peintre. Tous deux resteront proches toute leur vie, mais leurs caractères demeureront aussi différents que leur peinture…
Tout Valadon en une œuvre
En 1923, l’artiste signe une toile qui renverse totalement les codes et les conventions. Retour sur La Chambre bleue, une œuvre aussi puissante qu’engagée.
Valadon, et après ?
De son vivant, la « reine de Montmartre » connaît un grand succès. Elle est même la première femme à exposer au Salon de la Société nationale des beaux-arts. Mais à sa mort, tout change… Que laisse-t-elle à la postérité ?
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018725 $Périodique Revues Exclu du prêt N°273 - Mai 2023 - Méduse (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°273 - Mai 2023 - Méduse Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Méduse Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Attention à ne pas croiser son regard ! Si on n’y prenait garde, ces deux billes brillantes nous hypnotiseraient bien vite. Depuis plus de 2 000 ans, c’est d’ailleurs leur rôle… Dans la mythologie antique, Méduse a été frappée d’une malédiction : sa tête transformée en nid de serpents, ses yeux pétrifiant littéralement quiconque la regarde. Mais au fil des siècles, son personnage évolue, reflétant les préoccupations de chaque époque. Créature terrifiante, beauté séductrice, figure mélancolique, symbole de révolte et d’insoumission… Méduse ne cesse de se métamorphoser. Suivez-la à travers 2 500 ans d’histoire de l’art ! (Dada) Note de contenu : Au sommaire
Il était une fois Méduse
Cette gorgone est certainement une des créatures mythiques les plus connues, capable de nous pétrifier d’un simple coup d’œil. Voici son histoire…
Fais-moi peur !
À travers les siècles, les artistes ont créé des Méduses plus effrayantes les unes que les autres. Frissons garantis.
Une femme puissante
Méduse n’est pas un simple monstre. C’est une femme puissante, une figure aux super-pouvoirs, capable du pire… comme du meilleur !
Méduse VS Persée
À la source du mythe, ce combat épique entre la créature hybride et l’un des rejetons de Zeus a été rejoué tout au long de l’histoire de l’art.
Qui cédera à la tentation ?
Dangereuse, séductrice, mortelle… Symbole du mal et du péché, Méduse est devenue à travers les âges l’incarnation de la femme fatale.
Héroïne mélancolique
De bourreau monstrueuse, la figure de Méduse est peu à peu devenue une beauté rêveuse, victime des dieux et des hommes. Impuissante face à son destin, elle incarne la mélancolie.
Méduse l’insoumise
Méduse a traversé les siècles pour devenir aujourd’hui un étendard des combats sociaux : féministes, mais aussi antiracistes et écologiques. Serpents et poings levés !
En quelques mots
Comme vous le découvrirez dans les pages de ce numéro, Méduse ne semblait pas avoir fait grand-chose pour mériter une telle malédiction… Ambiguë, son histoire la présente tantôt comme la belle, tantôt comme la bête. Victime des dieux ou bourreau monstrueux ?
Au fil des siècles, son statut ne cesse d’évoluer. Elle va même refléter les préoccupations de chaque époque. Dans l’Antiquité, Méduse est ainsi le plus souvent figurée sous les traits d’une créature abominable au visage boursouflé, aux dents acérées, à la langue tirée : à moitié animale, elle incarne le mal que les héros vont s’acharner à combattre. Si elle prend au Moyen Âge puis à la Renaissance surtout une apparence plus humaine, elle n’en demeure pas moins maléfique : c’est une beauté tentatrice dont il faut se méfier ou, décapitée par Persée qui l’affronte alors dans nombre de tableaux, une figure qui demeure puissante par-delà la mort. Effroyable ! Au 19e siècle, Méduse prendra des airs plus mélancoliques, comme bon nombre d’artistes romantiques qui n’adhèrent pas à la société industrielle alors en plein essor. Elle semble rêveuse, parfois accablée, et son statut de victime réapparaît. Si son apparence terrifiante refait ensuite régulièrement surface, elle semble aujourd’hui mise au service des luttes, féministes notamment. Méduse, l’insoumise, devient un puissant symbole de révolte.
Toujours ambiguë, elle va donc de métamorphose en métamorphose. C’est même un cas unique de figure mythologique antique qui ne cesse de réapparaître jusqu’à aujourd’hui, dans toutes les formes d’art et jusque dans les films et les jeux vidéo. Fidèle à son pouvoir, elle nous fascine encore et encore… dès le premier regard. (Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°273 - Mai 2023 - Méduse [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Méduse Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Attention à ne pas croiser son regard ! Si on n’y prenait garde, ces deux billes brillantes nous hypnotiseraient bien vite. Depuis plus de 2 000 ans, c’est d’ailleurs leur rôle… Dans la mythologie antique, Méduse a été frappée d’une malédiction : sa tête transformée en nid de serpents, ses yeux pétrifiant littéralement quiconque la regarde. Mais au fil des siècles, son personnage évolue, reflétant les préoccupations de chaque époque. Créature terrifiante, beauté séductrice, figure mélancolique, symbole de révolte et d’insoumission… Méduse ne cesse de se métamorphoser. Suivez-la à travers 2 500 ans d’histoire de l’art ! (Dada) Note de contenu : Au sommaire
Il était une fois Méduse
Cette gorgone est certainement une des créatures mythiques les plus connues, capable de nous pétrifier d’un simple coup d’œil. Voici son histoire…
Fais-moi peur !
À travers les siècles, les artistes ont créé des Méduses plus effrayantes les unes que les autres. Frissons garantis.
Une femme puissante
Méduse n’est pas un simple monstre. C’est une femme puissante, une figure aux super-pouvoirs, capable du pire… comme du meilleur !
Méduse VS Persée
À la source du mythe, ce combat épique entre la créature hybride et l’un des rejetons de Zeus a été rejoué tout au long de l’histoire de l’art.
Qui cédera à la tentation ?
Dangereuse, séductrice, mortelle… Symbole du mal et du péché, Méduse est devenue à travers les âges l’incarnation de la femme fatale.
Héroïne mélancolique
De bourreau monstrueuse, la figure de Méduse est peu à peu devenue une beauté rêveuse, victime des dieux et des hommes. Impuissante face à son destin, elle incarne la mélancolie.
Méduse l’insoumise
Méduse a traversé les siècles pour devenir aujourd’hui un étendard des combats sociaux : féministes, mais aussi antiracistes et écologiques. Serpents et poings levés !
En quelques mots
Comme vous le découvrirez dans les pages de ce numéro, Méduse ne semblait pas avoir fait grand-chose pour mériter une telle malédiction… Ambiguë, son histoire la présente tantôt comme la belle, tantôt comme la bête. Victime des dieux ou bourreau monstrueux ?
Au fil des siècles, son statut ne cesse d’évoluer. Elle va même refléter les préoccupations de chaque époque. Dans l’Antiquité, Méduse est ainsi le plus souvent figurée sous les traits d’une créature abominable au visage boursouflé, aux dents acérées, à la langue tirée : à moitié animale, elle incarne le mal que les héros vont s’acharner à combattre. Si elle prend au Moyen Âge puis à la Renaissance surtout une apparence plus humaine, elle n’en demeure pas moins maléfique : c’est une beauté tentatrice dont il faut se méfier ou, décapitée par Persée qui l’affronte alors dans nombre de tableaux, une figure qui demeure puissante par-delà la mort. Effroyable ! Au 19e siècle, Méduse prendra des airs plus mélancoliques, comme bon nombre d’artistes romantiques qui n’adhèrent pas à la société industrielle alors en plein essor. Elle semble rêveuse, parfois accablée, et son statut de victime réapparaît. Si son apparence terrifiante refait ensuite régulièrement surface, elle semble aujourd’hui mise au service des luttes, féministes notamment. Méduse, l’insoumise, devient un puissant symbole de révolte.
Toujours ambiguë, elle va donc de métamorphose en métamorphose. C’est même un cas unique de figure mythologique antique qui ne cesse de réapparaître jusqu’à aujourd’hui, dans toutes les formes d’art et jusque dans les films et les jeux vidéo. Fidèle à son pouvoir, elle nous fascine encore et encore… dès le premier regard. (Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018799 $Périodique Revues Exclu du prêt N°274 - Juin 2023 - Bourdelle (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°274 - Juin 2023 - Bourdelle Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Bourdelle Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Cet imposant archer en pleine action, exposé dans des musées du monde entier, c’est lui ! La façade du Théâtre des Champs-Élysées, lui aussi ! Tant de sculptures et monuments publics à travers la France, toujours lui… Originaire de Montauban, formé aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris, Antoine Bourdelle (1861-1929) est l’un des plus grands sculpteurs du tournant du XXe siècle. Avec ses œuvres dotées d’une incroyable force expressive, il a contribué à faire entrer la sculpture dans l’art moderne.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un artiste complet
Si on le connaît pour son travail de sculpteur, Bourdelle s’est aussi illustré en dessin, peinture, photographie… Un artiste aux multiples talents qu’il aura mis à profit tout au long de sa vie.
Beethoven et moi
Bourdelle est fasciné par le compositeur allemand, dont il réalise plus de 80 sculptures ! Mais que cherche-t-il dans toutes ces têtes de Beethoven ?
Dis Bourdelle, raconte-moi un mythe…
Ces récits mythologiques ont traversé les siècles, et Bourdelle ne cesse de se les réapproprier. En affirmant sa modernité !
Danse avec Bourdelle
En 1909, l’artiste entre dans la danse, presque par hasard, en voyant Isadora Duncan sur scène au théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris…
Dans l’atelier de sculpture
L’atelier de Bourdelle est resté intact, au cœur de son musée à Paris. Des croquis préparatoires aux études en plâtre, découvrez comment se fabrique une sculpture…
Tout Bourdelle en une œuvre
En 1910, Bourdelle présente Héraklès archer, « l’une des œuvres les plus hardies que l’on ait vues depuis longtemps ». Succès immédiat qui marquera sa carrière.
Bourdelle XXL
Une sculpture de plusieurs mètres de haut, un décor à hauteur d’architecture, des monuments spectaculaires… Les très grands formats ne lui font pas peur !
Adieu, monsieur le professeur
On se presse de partout pour recevoir l’enseignement de Bourdelle : il forme tout au long de sa vie près de 500 élèves, de 42 nationalités différentes.
En quelques mots
Il est là, en équilibre. Fléchi sur son pied droit derrière lui, mais agrippé du gauche au rocher qui lui fait face. Une partie de son corps tendue en arrière. L’autre qui se projette vers l’avant, à l’image de cette flèche imaginaire qu’il s’apprête à tirer. Cet Héraklès archer est la sculpture la plus connue de Bourdelle. Un chef-d’œuvre tout en tension, pour nous raconter l’instant décisif d’un célèbre mythe antique : celui où le héros accomplit l’un de ses douze travaux, en combattant de terribles oiseaux cannibales.
Comme son archer, Bourdelle est lui-même entre deux mondes. Ou plutôt un passeur, entre l’art académique encore dominant au 19e siècle et toutes les innovations de l’art moderne au tournant du 20e siècle. Bien appuyé d’un côté sur une solide formation classique, faite de cours aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris et d’études d’après des sculptures antiques, son élan le porte vers de nouveaux horizons. À 25 ans, il quitte d’ailleurs la célèbre école de la capitale : « J’en ai assez ! Je ne comprends rien à tous ces systèmes de prix, de concours. »
Bourdelle se lance, travaille quelques années comme praticien pour Rodin, et s’attelle à développer son propre style. Il y parvient avec ses œuvres aux allures monumentales, construites comme des architectures. Et, surtout, incroyablement expressives : voyez par exemple les mains et les pieds de son Héraklès, d’une force exacerbée qui sied bien à ce demi-dieu ! Par ses créations audacieuses, Bourdelle a tiré une flèche qui aura traversé les années, touché le cœur de bien des artistes modernes, et jusqu’aux nôtres aujourd’hui.
Pour aller plus loin :
À la rencontre de Bourdelle, de Montauban à Paris
Livret jeu “Bourdelle, la mémoire des objets”
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°274 - Juin 2023 - Bourdelle [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Bourdelle Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Cet imposant archer en pleine action, exposé dans des musées du monde entier, c’est lui ! La façade du Théâtre des Champs-Élysées, lui aussi ! Tant de sculptures et monuments publics à travers la France, toujours lui… Originaire de Montauban, formé aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris, Antoine Bourdelle (1861-1929) est l’un des plus grands sculpteurs du tournant du XXe siècle. Avec ses œuvres dotées d’une incroyable force expressive, il a contribué à faire entrer la sculpture dans l’art moderne.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un artiste complet
Si on le connaît pour son travail de sculpteur, Bourdelle s’est aussi illustré en dessin, peinture, photographie… Un artiste aux multiples talents qu’il aura mis à profit tout au long de sa vie.
Beethoven et moi
Bourdelle est fasciné par le compositeur allemand, dont il réalise plus de 80 sculptures ! Mais que cherche-t-il dans toutes ces têtes de Beethoven ?
Dis Bourdelle, raconte-moi un mythe…
Ces récits mythologiques ont traversé les siècles, et Bourdelle ne cesse de se les réapproprier. En affirmant sa modernité !
Danse avec Bourdelle
En 1909, l’artiste entre dans la danse, presque par hasard, en voyant Isadora Duncan sur scène au théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris…
Dans l’atelier de sculpture
L’atelier de Bourdelle est resté intact, au cœur de son musée à Paris. Des croquis préparatoires aux études en plâtre, découvrez comment se fabrique une sculpture…
Tout Bourdelle en une œuvre
En 1910, Bourdelle présente Héraklès archer, « l’une des œuvres les plus hardies que l’on ait vues depuis longtemps ». Succès immédiat qui marquera sa carrière.
Bourdelle XXL
Une sculpture de plusieurs mètres de haut, un décor à hauteur d’architecture, des monuments spectaculaires… Les très grands formats ne lui font pas peur !
Adieu, monsieur le professeur
On se presse de partout pour recevoir l’enseignement de Bourdelle : il forme tout au long de sa vie près de 500 élèves, de 42 nationalités différentes.
En quelques mots
Il est là, en équilibre. Fléchi sur son pied droit derrière lui, mais agrippé du gauche au rocher qui lui fait face. Une partie de son corps tendue en arrière. L’autre qui se projette vers l’avant, à l’image de cette flèche imaginaire qu’il s’apprête à tirer. Cet Héraklès archer est la sculpture la plus connue de Bourdelle. Un chef-d’œuvre tout en tension, pour nous raconter l’instant décisif d’un célèbre mythe antique : celui où le héros accomplit l’un de ses douze travaux, en combattant de terribles oiseaux cannibales.
Comme son archer, Bourdelle est lui-même entre deux mondes. Ou plutôt un passeur, entre l’art académique encore dominant au 19e siècle et toutes les innovations de l’art moderne au tournant du 20e siècle. Bien appuyé d’un côté sur une solide formation classique, faite de cours aux Beaux-Arts de Toulouse puis de Paris et d’études d’après des sculptures antiques, son élan le porte vers de nouveaux horizons. À 25 ans, il quitte d’ailleurs la célèbre école de la capitale : « J’en ai assez ! Je ne comprends rien à tous ces systèmes de prix, de concours. »
Bourdelle se lance, travaille quelques années comme praticien pour Rodin, et s’attelle à développer son propre style. Il y parvient avec ses œuvres aux allures monumentales, construites comme des architectures. Et, surtout, incroyablement expressives : voyez par exemple les mains et les pieds de son Héraklès, d’une force exacerbée qui sied bien à ce demi-dieu ! Par ses créations audacieuses, Bourdelle a tiré une flèche qui aura traversé les années, touché le cœur de bien des artistes modernes, et jusqu’aux nôtres aujourd’hui.
Pour aller plus loin :
À la rencontre de Bourdelle, de Montauban à Paris
Livret jeu “Bourdelle, la mémoire des objets”
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600018780 $Périodique Revues Exclu du prêt N°275 - Septembre 2023 - Nicolas de Staël (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°275 - Septembre 2023 - Nicolas de Staël Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Nicolas de Staël Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Abstraction ? Figuration ? Et pourquoi pas les deux ! Nicolas de Staël (1914-1955) est le créateur d’une œuvre unique en son genre. Derrière les lignes épurées et les formes colorées de ses tableaux, se cachent bien souvent les traces d’un paysage, d’une nature morte, d’un portrait… Cet artiste d’origine russe, marqué par les drames de la guerre et de l’exil, se forge en une quinzaine d’années seulement un style à part, qui est aujourd’hui devenu un maillon essentiel dans l’art du 20e siècle.
(Dada)Note de contenu : À la recherche du Nicolas de Staël perdu
Une jeunesse mouvementée, passionné, ballottée aux 4 coins du monde. Au gré de ses voyages, il crée autant qu’il détruit ! Que reste-t-il de ces premières années ?
« Tout casser ! »
Pendant sa période abstraite au début de sa carrière, il expérimente sans cesse. Sa peinture est à son image : toujours en mouvement, jamais là où on l’attend !
Pas si abstrait…
Nicolas de Staël puise dans la figuration la référence au réel, et dans l’abstraction la liberté absolue de couleurs et de composition… Sur un fil, il invente son propre style.
Musique, maestro !
Concerts et compositeurs constituent une grande source d’inspiration pour Nicolas de Staël. Comme un chef d’orchestre, il mène ses œuvres à la baguette.
Mini / Maxi
Nicolas de Staël est un explorateur de l’art : il joue inlassablement avec les matières, les couleurs, les outils mais aussi les formats… du petit tableau aux compositions XXL !
La quête du paysage
Croquis ou œuvre finie, sur le vif ou en atelier, au nord ou au sud, ses œuvres vont lui permettre d’aller toujours plus loin dans l’observation de la nature, et de la lumière.
En quelques mots
De grands aplats de couleurs, pourpres, jaunes, orange, roses. Quel calme apparent… Et pourtant, avec ces quelques coups de pinceaux vifs et entremêlés là, au centre, ça bouillonne ! Cette toile en couverture est à l’image de Nicolas de Staël, qui en l’espace d’une quinzaine d’années seulement aura créé plus de 1 100 tableaux – sans compter tous ceux qu’il a détruits –, se renouvelant en permanence. Il vous suffit de feuilleter rapidement les pages qui suivent pour le constater : des tableaux denses et sombres de ses débuts, l’artiste évolue ensuite vers des formes plus amples, plus colorées aussi. Mais cette évolution est très progressive, et de formes enchevêtrées en fragments juxtaposés, on suit Nicolas de Staël dans ses recherches. « Ce que j’essaie, c’est un renouvellement continu, vraiment continu, et ce n’est pas facile » écrit-il encore quelques mois seulement avant sa mort.
Cela est d’autant moins facile que le peintre est farouchement indépendant, refusant de rejoindre tel ou tel mouvement artistique. Mais ses œuvres sont abstraites, non ? Dans ses premières années oui, mais Nicolas de Staël s’écarte rapidement de cette tendance dominante dans l’art de son époque. À bien les observer, on distingue souvent dans ses tableaux les traces d’un paysage, d’un portrait, d’une nature morte… Au début des années 1950, il salue d’ailleurs par ces mots le Musée national d’art moderne de Paris pour avoir bien voulu accrocher son œuvre à part : « Merci de m’avoir écarté du gang de l’abstraction » ! Nicolas de Staël n’est pas pour autant un artiste figuratif bien sûr.
Il dépasse simplement cette querelle, et se fie surtout à sa grande sensibilité. Il observe bien le monde, même s’il n’en retient sur ses tableaux que quelques lignes épurées, quelques impressions colorées, quelques éclats de lumière… « C’est simplement un rapport d’un peintre à ce qu’il voit, tout le sujet est là. »
Pour aller plus loin :
Exposition « Nicolas de Staël »
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°275 - Septembre 2023 - Nicolas de Staël [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Nicolas de Staël Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Abstraction ? Figuration ? Et pourquoi pas les deux ! Nicolas de Staël (1914-1955) est le créateur d’une œuvre unique en son genre. Derrière les lignes épurées et les formes colorées de ses tableaux, se cachent bien souvent les traces d’un paysage, d’une nature morte, d’un portrait… Cet artiste d’origine russe, marqué par les drames de la guerre et de l’exil, se forge en une quinzaine d’années seulement un style à part, qui est aujourd’hui devenu un maillon essentiel dans l’art du 20e siècle.
(Dada)Note de contenu : À la recherche du Nicolas de Staël perdu
Une jeunesse mouvementée, passionné, ballottée aux 4 coins du monde. Au gré de ses voyages, il crée autant qu’il détruit ! Que reste-t-il de ces premières années ?
« Tout casser ! »
Pendant sa période abstraite au début de sa carrière, il expérimente sans cesse. Sa peinture est à son image : toujours en mouvement, jamais là où on l’attend !
Pas si abstrait…
Nicolas de Staël puise dans la figuration la référence au réel, et dans l’abstraction la liberté absolue de couleurs et de composition… Sur un fil, il invente son propre style.
Musique, maestro !
Concerts et compositeurs constituent une grande source d’inspiration pour Nicolas de Staël. Comme un chef d’orchestre, il mène ses œuvres à la baguette.
Mini / Maxi
Nicolas de Staël est un explorateur de l’art : il joue inlassablement avec les matières, les couleurs, les outils mais aussi les formats… du petit tableau aux compositions XXL !
La quête du paysage
Croquis ou œuvre finie, sur le vif ou en atelier, au nord ou au sud, ses œuvres vont lui permettre d’aller toujours plus loin dans l’observation de la nature, et de la lumière.
En quelques mots
De grands aplats de couleurs, pourpres, jaunes, orange, roses. Quel calme apparent… Et pourtant, avec ces quelques coups de pinceaux vifs et entremêlés là, au centre, ça bouillonne ! Cette toile en couverture est à l’image de Nicolas de Staël, qui en l’espace d’une quinzaine d’années seulement aura créé plus de 1 100 tableaux – sans compter tous ceux qu’il a détruits –, se renouvelant en permanence. Il vous suffit de feuilleter rapidement les pages qui suivent pour le constater : des tableaux denses et sombres de ses débuts, l’artiste évolue ensuite vers des formes plus amples, plus colorées aussi. Mais cette évolution est très progressive, et de formes enchevêtrées en fragments juxtaposés, on suit Nicolas de Staël dans ses recherches. « Ce que j’essaie, c’est un renouvellement continu, vraiment continu, et ce n’est pas facile » écrit-il encore quelques mois seulement avant sa mort.
Cela est d’autant moins facile que le peintre est farouchement indépendant, refusant de rejoindre tel ou tel mouvement artistique. Mais ses œuvres sont abstraites, non ? Dans ses premières années oui, mais Nicolas de Staël s’écarte rapidement de cette tendance dominante dans l’art de son époque. À bien les observer, on distingue souvent dans ses tableaux les traces d’un paysage, d’un portrait, d’une nature morte… Au début des années 1950, il salue d’ailleurs par ces mots le Musée national d’art moderne de Paris pour avoir bien voulu accrocher son œuvre à part : « Merci de m’avoir écarté du gang de l’abstraction » ! Nicolas de Staël n’est pas pour autant un artiste figuratif bien sûr.
Il dépasse simplement cette querelle, et se fie surtout à sa grande sensibilité. Il observe bien le monde, même s’il n’en retient sur ses tableaux que quelques lignes épurées, quelques impressions colorées, quelques éclats de lumière… « C’est simplement un rapport d’un peintre à ce qu’il voit, tout le sujet est là. »
Pour aller plus loin :
Exposition « Nicolas de Staël »
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019234 $Périodique Revues Exclu du prêt N°276 - Octobre 2023 - Animaux fantastiques (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°276 - Octobre 2023 - Animaux fantastiques Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Animaux fantastiques (art) bestiaire dragon sirène sphinx Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Dragons, sphynx, licornes, phénix, sirènes, griffons… Les animaux fantastiques ont beau avoir une histoire ancienne, ils continuent de peupler notre imaginaire contemporain. Dans des sagas comme Harry Potter, des séries telles que Game of Thrones, ils tiennent des rôles de premier plan. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Que symbolisent-ils ? Vous découvrirez qu’au fil des siècles, ils n’ont cessé de se métamorphoser, incarnant la sauvagerie comme la sagesse, la terreur ou la protection, les forces de la nature aussi bien que nos propres angoisses… Un formidable voyage à travers plus de 4 000 ans d’histoire de l’art !
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un fantastique bestiaire
On a tous déjà vu des images de ces drôles d’animaux, effrayants ou majestueux. Mais qui sont vraiment ces créatures, et pourquoi nous fascinent-elles depuis la nuit des temps !
Griffon, l’oiseau rare
Une tête d’aigle sur un corps de lion, une force prodigieuse, des griffes grosses comme des cornes de taureau, des oreilles de cheval, un bec acéré et des ailes gigantesques…
Dragon, tout feu tout flamme
Créature de chaos en Occident ou de félicité en Orient, le dragon est un animal ambivalent, capable du pire comme du meilleur.
Phénix, l’immortel
Prestance et plumage somptueux, le phénix serait le plus beau des oiseaux ! Mais c’est loin d’être un animal banal : il est aussi doté de fabuleux pouvoirs…
C’est la bagarre !
Au fil des siècles, les animaux fantastiques ont régulièrement été les opposants favoris de héros et d’héroïnes en tout genre… Pourquoi tant de haine !
Sphynx, mystère mystère
Un visage humain, un corps animal et un air mystérieux… Une créature à l’air paisible mais bien énigmatique, qui passionne les humains depuis des millénaires.
Licorne, créature en majesté
Sa longue corne aurait la vertu d’éloigner le mal… Portrait d’un animal singulier, auquel on a souvent cru jusqu’au 16e siècle et qui a fait son chemin jusqu’à l’art contemporain.
Sirène, sous l’océan…
Avec leur longue chevelure et leur queue de poisson, les sirènes sont de redoutables séductrices et de terrible monstres marins. Le danger est-il au tournant du rocher ?
Les art’nimaux fantastiques
Si les mythologies du monde entier n’ont cessé d’accoucher de centaines de créatures fabuleuses, ce n’est jamais assez pour les artistes… Qui se mettent, à leur tour, à créer leurs propres bestioles, avec encore et toujours plus d’inventivité !
En quelques mots
Le voilà qui approche ! La gueule entrouverte, ce dragon nous regarde en biais, d’un air menaçant. Avec ses écailles, ses cornes et ses griffes, il fait réellement peur… À tel point qu’on en oublierait presque qu’il est ici réduit à un squelette. Un squelette de dragon ! Vraiment ! Oui, et on peut observer cet étonnant spécimen au Muséum national d’histoire naturelle, à Paris, dans la grande galerie d’anatomie comparée. Y cohabitent des restes de baleine, de rhinocéros, d’éléphant mais aussi de nombreux oiseaux, poissons et reptiles. Et parmi eux, donc, ce dragon.
Le cartel indique en réalité Multispecies incroyabilis, que l’on peut traduire par « incroyable multi-espèces ». Car aussi réaliste que soit ce squelette, on sait bien que les dragons n’existent pas. C’est donc une chimère, une création de toutes pièces, et le nom qui lui a été donné par le Muséum nous le révèle sans ambiguïté. Conçu en 1998 par un préparateur en ostéologie, Éric Pellé, ce squelette est donc composé d’une tête de lézard, d’une colonne vertébrale d’iguane, d’une queue de varan, des côtes d’un python, de pattes de tortue et de cormoran, et de griffes de renard. Un assemblage d’une dizaine d’espèces différentes !
Cette création hybride est typique de tous les animaux fantastiques que les êtres humains n’ont cessé d’imaginer depuis la nuit des temps. Griffons, licornes, sphynx, phénix, sirènes… peuplent notre imaginaire. On les retrouve dans nos récits les plus anciens, on les associe à des croyances magiques ou terrifiantes, on invoque leur protection autant qu’on les craint. Ils sont aussi une formidable source d’inspiration pour les artistes, qui n’ont cessé de façonner leurs métamorphoses au fil des siècles. Suivez ces guides ! Ils vous accompagnent à travers plus de 4 000 ans d’une histoire de l’art fantastique…
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°276 - Octobre 2023 - Animaux fantastiques [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Animaux fantastiques (art) bestiaire dragon sirène sphinx Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Dragons, sphynx, licornes, phénix, sirènes, griffons… Les animaux fantastiques ont beau avoir une histoire ancienne, ils continuent de peupler notre imaginaire contemporain. Dans des sagas comme Harry Potter, des séries telles que Game of Thrones, ils tiennent des rôles de premier plan. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Que symbolisent-ils ? Vous découvrirez qu’au fil des siècles, ils n’ont cessé de se métamorphoser, incarnant la sauvagerie comme la sagesse, la terreur ou la protection, les forces de la nature aussi bien que nos propres angoisses… Un formidable voyage à travers plus de 4 000 ans d’histoire de l’art !
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Un fantastique bestiaire
On a tous déjà vu des images de ces drôles d’animaux, effrayants ou majestueux. Mais qui sont vraiment ces créatures, et pourquoi nous fascinent-elles depuis la nuit des temps !
Griffon, l’oiseau rare
Une tête d’aigle sur un corps de lion, une force prodigieuse, des griffes grosses comme des cornes de taureau, des oreilles de cheval, un bec acéré et des ailes gigantesques…
Dragon, tout feu tout flamme
Créature de chaos en Occident ou de félicité en Orient, le dragon est un animal ambivalent, capable du pire comme du meilleur.
Phénix, l’immortel
Prestance et plumage somptueux, le phénix serait le plus beau des oiseaux ! Mais c’est loin d’être un animal banal : il est aussi doté de fabuleux pouvoirs…
C’est la bagarre !
Au fil des siècles, les animaux fantastiques ont régulièrement été les opposants favoris de héros et d’héroïnes en tout genre… Pourquoi tant de haine !
Sphynx, mystère mystère
Un visage humain, un corps animal et un air mystérieux… Une créature à l’air paisible mais bien énigmatique, qui passionne les humains depuis des millénaires.
Licorne, créature en majesté
Sa longue corne aurait la vertu d’éloigner le mal… Portrait d’un animal singulier, auquel on a souvent cru jusqu’au 16e siècle et qui a fait son chemin jusqu’à l’art contemporain.
Sirène, sous l’océan…
Avec leur longue chevelure et leur queue de poisson, les sirènes sont de redoutables séductrices et de terrible monstres marins. Le danger est-il au tournant du rocher ?
Les art’nimaux fantastiques
Si les mythologies du monde entier n’ont cessé d’accoucher de centaines de créatures fabuleuses, ce n’est jamais assez pour les artistes… Qui se mettent, à leur tour, à créer leurs propres bestioles, avec encore et toujours plus d’inventivité !
En quelques mots
Le voilà qui approche ! La gueule entrouverte, ce dragon nous regarde en biais, d’un air menaçant. Avec ses écailles, ses cornes et ses griffes, il fait réellement peur… À tel point qu’on en oublierait presque qu’il est ici réduit à un squelette. Un squelette de dragon ! Vraiment ! Oui, et on peut observer cet étonnant spécimen au Muséum national d’histoire naturelle, à Paris, dans la grande galerie d’anatomie comparée. Y cohabitent des restes de baleine, de rhinocéros, d’éléphant mais aussi de nombreux oiseaux, poissons et reptiles. Et parmi eux, donc, ce dragon.
Le cartel indique en réalité Multispecies incroyabilis, que l’on peut traduire par « incroyable multi-espèces ». Car aussi réaliste que soit ce squelette, on sait bien que les dragons n’existent pas. C’est donc une chimère, une création de toutes pièces, et le nom qui lui a été donné par le Muséum nous le révèle sans ambiguïté. Conçu en 1998 par un préparateur en ostéologie, Éric Pellé, ce squelette est donc composé d’une tête de lézard, d’une colonne vertébrale d’iguane, d’une queue de varan, des côtes d’un python, de pattes de tortue et de cormoran, et de griffes de renard. Un assemblage d’une dizaine d’espèces différentes !
Cette création hybride est typique de tous les animaux fantastiques que les êtres humains n’ont cessé d’imaginer depuis la nuit des temps. Griffons, licornes, sphynx, phénix, sirènes… peuplent notre imaginaire. On les retrouve dans nos récits les plus anciens, on les associe à des croyances magiques ou terrifiantes, on invoque leur protection autant qu’on les craint. Ils sont aussi une formidable source d’inspiration pour les artistes, qui n’ont cessé de façonner leurs métamorphoses au fil des siècles. Suivez ces guides ! Ils vous accompagnent à travers plus de 4 000 ans d’une histoire de l’art fantastique…
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019399 $Périodique Revues Exclu du prêt N°277 - Novembre 2023 - Disney (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°277 - Novembre 2023 - Disney Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Disney Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver ! » Walt Disney (1901-1966) pouvait-il imaginer que son rêve, lorsqu’il a créé son premier studio en 1923, allait devenir la plus grande fabrique à féerie du monde ? Sa vision et ses innovations ont contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière, sans cesse renouvelé depuis par ses équipes. De Blanche-Neige et les Sept Nains à La Reine des neiges et Vaiana, en passant par Le Livre de la jungle, La Petite Sirène et bien d’autres, plongez dans les coulisses des studios !
(Dada)Note de contenu : Il était une fois les studios Disney
À force de persévérance, d’audace et avec une pincée de poussière de fée, Walt Disney a transformé un petit studio d’animation en empire.
La recette du succès
Depuis des générations, les dessins animés Disney font toujours un carton auprès des petits, et des grands aussi ! Comment expliquer ce triomphe qui perdure depuis tant d’années ?
Princesses un jour, princesses toujours ?
Si les premières princesses Disney répondent à un schéma précis, elles évoluent avec le temps, et gagnent en indépendance. Jusqu’à la disparition de leur couronne…
Croquis, story-boards, effets spéciaux…Les coulisses des studios
Chaque seconde d’un film comprend 24 images : il faut près de 100 000 images pour un long-métrage de 90 minutes ! Et de nombreux spécialistes qui travaillent ensemble…
On connait la chanson !
Des musiques entraînantes, des paroles qu’on n’oublie pas… À travers quelques morceaux emblématiques, suivez la cadence.
Fantasia, un classique inclassable ?
Le troisième long-métrage du studio, sorti en 1940, réalise un des rêves de Walt Disney : concilier cinéma d’animation et musique classique.
Une nouvelle ère
Les studios Disney revisitent aujourd’hui ses classiques dans des films réalisés en prises de vues réelles. Que nous racontent ces adaptations ?
En quelques mots
D’un côté : une silhouette joviale et toute en rondeurs, reconnaissable à ses deux oreilles noires et son large sourire. Mickey Mouse, tel qu’il aurait pu être tracé au crayon quand il est sorti de l’esprit de ses créateurs pour la première fois en 1928. De l’autre, des personnages aussi variés que Pinocchio, Peter Pan, Simba ou encore Ariel… Au milieu, un même nom : Disney.
Cette diversité nous rappelle d’emblée que toutes ces créations, et les centaines d’autres qui ont été produites et diffusées sous ce nom, ne sont pas l’œuvre d’un seul et même homme. Dans le pays des merveilles qu’il a imaginé, Walt Disney (1901-1966) a été rejoint par de nombreux magiciens qui ont contribué à rendre tout cela possible. Tel un chef d’orchestre, Walt Disney fourmille d’idées et donne le rythme à toute une équipe de scénaristes, créateurs de personnages, peintres de décors, metteurs en scène, animateurs et musiciens, etc. Tous reconnaissent avoir été stimulés par l’exigence et le perfectionnisme de Walt, qui expliquent le succès que ses longs-métrages d’animation ne cessent de rencontrer auprès du public depuis Blanche-Neige et les Sept Nains en 1937.
D’ailleurs, après sa mort en 1966, les studios connaissent un moment de flottement : « Qu’aurait fait Walt ? », se demande-t-on en interne. Mais les dizaines de films qui auront été créés de son vivant ont permis de poser des bases solides. De nouvelles générations d’artistes prendront la suite, perpétuant ainsi la vision de cet étonnant artiste-entrepreneur, qui a contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière pouvant toucher tous les publics, lui qui avait compris, voilà 100 ans, que « les adultes ne sont que des enfants qui ont grandi »…
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°277 - Novembre 2023 - Disney [texte imprimé] . - 2023 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Disney Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : « Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver ! » Walt Disney (1901-1966) pouvait-il imaginer que son rêve, lorsqu’il a créé son premier studio en 1923, allait devenir la plus grande fabrique à féerie du monde ? Sa vision et ses innovations ont contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière, sans cesse renouvelé depuis par ses équipes. De Blanche-Neige et les Sept Nains à La Reine des neiges et Vaiana, en passant par Le Livre de la jungle, La Petite Sirène et bien d’autres, plongez dans les coulisses des studios !
(Dada)Note de contenu : Il était une fois les studios Disney
À force de persévérance, d’audace et avec une pincée de poussière de fée, Walt Disney a transformé un petit studio d’animation en empire.
La recette du succès
Depuis des générations, les dessins animés Disney font toujours un carton auprès des petits, et des grands aussi ! Comment expliquer ce triomphe qui perdure depuis tant d’années ?
Princesses un jour, princesses toujours ?
Si les premières princesses Disney répondent à un schéma précis, elles évoluent avec le temps, et gagnent en indépendance. Jusqu’à la disparition de leur couronne…
Croquis, story-boards, effets spéciaux…Les coulisses des studios
Chaque seconde d’un film comprend 24 images : il faut près de 100 000 images pour un long-métrage de 90 minutes ! Et de nombreux spécialistes qui travaillent ensemble…
On connait la chanson !
Des musiques entraînantes, des paroles qu’on n’oublie pas… À travers quelques morceaux emblématiques, suivez la cadence.
Fantasia, un classique inclassable ?
Le troisième long-métrage du studio, sorti en 1940, réalise un des rêves de Walt Disney : concilier cinéma d’animation et musique classique.
Une nouvelle ère
Les studios Disney revisitent aujourd’hui ses classiques dans des films réalisés en prises de vues réelles. Que nous racontent ces adaptations ?
En quelques mots
D’un côté : une silhouette joviale et toute en rondeurs, reconnaissable à ses deux oreilles noires et son large sourire. Mickey Mouse, tel qu’il aurait pu être tracé au crayon quand il est sorti de l’esprit de ses créateurs pour la première fois en 1928. De l’autre, des personnages aussi variés que Pinocchio, Peter Pan, Simba ou encore Ariel… Au milieu, un même nom : Disney.
Cette diversité nous rappelle d’emblée que toutes ces créations, et les centaines d’autres qui ont été produites et diffusées sous ce nom, ne sont pas l’œuvre d’un seul et même homme. Dans le pays des merveilles qu’il a imaginé, Walt Disney (1901-1966) a été rejoint par de nombreux magiciens qui ont contribué à rendre tout cela possible. Tel un chef d’orchestre, Walt Disney fourmille d’idées et donne le rythme à toute une équipe de scénaristes, créateurs de personnages, peintres de décors, metteurs en scène, animateurs et musiciens, etc. Tous reconnaissent avoir été stimulés par l’exigence et le perfectionnisme de Walt, qui expliquent le succès que ses longs-métrages d’animation ne cessent de rencontrer auprès du public depuis Blanche-Neige et les Sept Nains en 1937.
D’ailleurs, après sa mort en 1966, les studios connaissent un moment de flottement : « Qu’aurait fait Walt ? », se demande-t-on en interne. Mais les dizaines de films qui auront été créés de son vivant ont permis de poser des bases solides. De nouvelles générations d’artistes prendront la suite, perpétuant ainsi la vision de cet étonnant artiste-entrepreneur, qui a contribué à faire reconnaître le dessin d’animation comme un art à part entière pouvant toucher tous les publics, lui qui avait compris, voilà 100 ans, que « les adultes ne sont que des enfants qui ont grandi »…
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019469 $Périodique Revues Exclu du prêt N°278 - Janvier 2024 - Censurés ? Art et liberté d'expression (Bulletin de Dada)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
Titre : N°278 - Janvier 2024 - Censurés ? Art et liberté d'expression Type de document : texte imprimé Année de publication : 2024 Importance : 49 p. Présentation : ill. en coul. Format : 24 cm Prix : 7,9 € Langues : Français (fre) Catégories : 3.45 Arts Tags : Censure Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Quel est le point commun entre le peintre de la Renaissance Michel-Ange, le sculpteur moderne Constantin Brancusi, l’artiste contemporain Ai Weiwei, la réalisatrice Greta Gerwig, le maître du street art Banksy ou tant de dessinateurs et dessinatrices de presse… ? La censure !
De l’Antiquité à nos jours, vous allez découvrir comment tant de créateurs et créatrices ont dû faire face au pouvoir des rois, des gouvernements, des églises ou d’une certaine morale publique, qui n’ont cessé de s’en prendre à leurs œuvres. Mais créant en cachette, ou redoublant de créativité pour contourner les censeurs, les artistes ne baissent jamais les bras. Et nous rappellent à quel point la liberté d’expression est précieuse.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Vivre libre, comme un oiseau
Les artistes ont en effet souvent choisi l’oiseau comme le symbole de la liberté. Une liberté toujours menacée par les censeurs en tous genres.
Artistes en liberté… surveillée
Selon les époques, les pays, il ne fait pas bon représenter la sensualité, la violence, la laideur ou certaines idées politiques… Les artistes se heurtent régulièrement à la censure.
Sous le contrôle des dieux
Les grandes religions ont un point commun : toutes ont cherché à contrôler les artistes, et sont souvent allées jusqu’à censurer leurs œuvres. Par quels moyens, et pourquoi ?
Cachez ce sein que je ne saurais voir !
La nudité n’a cessé d’attirer les foudres des censeurs au fil des siècles. Mais pas toujours pour les mêmes raisons. Alors, qu’est-ce qui choque autant dans le nu ?
Garde-à-vous !
L’art est parfois un outil pour exprimer son opinion, dénoncer ou provoquer l’ordre établi. Mais les puissants ne l’entendent pas toujours de cette oreille…
Quand les artistes jouent avec la censure
Inévitable, la censure ? Bien sûr que non. Jamais à court d’idées, les artistes multiplient les astuces pour passer à travers les mailles du filet.
En quelques mots
Ils sont là, dos-à-dos, comme dans un western. S’il l’un est bien armé d’un pistolet, l’autre brandit un porte-voix. L’un cherche à se faire entendre, l’autre semble vouloir le faire taire. En un dessin, l’artiste cubain Ares résume la situation de bien des artistes face à la censure : que ce soit les institutions (politiques, religieuses) ou le peuple, nombreux sont ceux qui cherchent à encadrer leur liberté d’expression.
Cette censure prend des formes très variées : imposer des règles à respecter ; contrôler leurs œuvres en amont de leur diffusion et les faire corriger ; interdire de les exposer, de les vendre, voire les détruire, purement et simplement ; condamner les artistes à des amendes, des peines de prison, et même les menacer de mort et passer à l’acte… Le choix des armes est large, et la violence parfois bien réelle.
Or, dans une démocratie, permettre à chacun de s’exprimer – tant que ce n’est pas une incitation à la haine – est essentiel. Pourquoi ? Car les œuvres n’affirment pas des vérités absolues, elles portent simplement le point de vue de celles et ceux qui les ont créées. Ces points de vue sont des visions du monde, et si elles déplaisent à certains, il ne s’agit pas de les interdire, mais d’en débattre. En affirmant à son tour un autre point de vue, une autre vision du monde.
Tout un chacun doit pouvoir ainsi s’exprimer. Et ce n’est pas simplement la liberté des artistes qui est en jeu, mais la nôtre aussi, en tant que spectateurs. Car censurer une œuvre, c’est nier la liberté de ceux qui auraient pu la regarder, s’en faire une opinion, voir ce qu’elle aurait fait ressentir ou penser. Si les crayons et les pinceaux sont des armes, ce sont des armes non violentes, qui n’ont d’autre but que de nous inciter, toutes et tous, à penser par nous-même.
(Dada)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Dada / Antoine Ullmann
N°278 - Janvier 2024 - Censurés ? Art et liberté d'expression [texte imprimé] . - 2024 . - 49 p. : ill. en coul. ; 24 cm.
7,9 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 3.45 Arts Tags : Censure Index. décimale : 700 Arts et beaux arts. Divertissements. Musique. Jeux. Sports Résumé : Quel est le point commun entre le peintre de la Renaissance Michel-Ange, le sculpteur moderne Constantin Brancusi, l’artiste contemporain Ai Weiwei, la réalisatrice Greta Gerwig, le maître du street art Banksy ou tant de dessinateurs et dessinatrices de presse… ? La censure !
De l’Antiquité à nos jours, vous allez découvrir comment tant de créateurs et créatrices ont dû faire face au pouvoir des rois, des gouvernements, des églises ou d’une certaine morale publique, qui n’ont cessé de s’en prendre à leurs œuvres. Mais créant en cachette, ou redoublant de créativité pour contourner les censeurs, les artistes ne baissent jamais les bras. Et nous rappellent à quel point la liberté d’expression est précieuse.
(Dada)Note de contenu : Au sommaire
Vivre libre, comme un oiseau
Les artistes ont en effet souvent choisi l’oiseau comme le symbole de la liberté. Une liberté toujours menacée par les censeurs en tous genres.
Artistes en liberté… surveillée
Selon les époques, les pays, il ne fait pas bon représenter la sensualité, la violence, la laideur ou certaines idées politiques… Les artistes se heurtent régulièrement à la censure.
Sous le contrôle des dieux
Les grandes religions ont un point commun : toutes ont cherché à contrôler les artistes, et sont souvent allées jusqu’à censurer leurs œuvres. Par quels moyens, et pourquoi ?
Cachez ce sein que je ne saurais voir !
La nudité n’a cessé d’attirer les foudres des censeurs au fil des siècles. Mais pas toujours pour les mêmes raisons. Alors, qu’est-ce qui choque autant dans le nu ?
Garde-à-vous !
L’art est parfois un outil pour exprimer son opinion, dénoncer ou provoquer l’ordre établi. Mais les puissants ne l’entendent pas toujours de cette oreille…
Quand les artistes jouent avec la censure
Inévitable, la censure ? Bien sûr que non. Jamais à court d’idées, les artistes multiplient les astuces pour passer à travers les mailles du filet.
En quelques mots
Ils sont là, dos-à-dos, comme dans un western. S’il l’un est bien armé d’un pistolet, l’autre brandit un porte-voix. L’un cherche à se faire entendre, l’autre semble vouloir le faire taire. En un dessin, l’artiste cubain Ares résume la situation de bien des artistes face à la censure : que ce soit les institutions (politiques, religieuses) ou le peuple, nombreux sont ceux qui cherchent à encadrer leur liberté d’expression.
Cette censure prend des formes très variées : imposer des règles à respecter ; contrôler leurs œuvres en amont de leur diffusion et les faire corriger ; interdire de les exposer, de les vendre, voire les détruire, purement et simplement ; condamner les artistes à des amendes, des peines de prison, et même les menacer de mort et passer à l’acte… Le choix des armes est large, et la violence parfois bien réelle.
Or, dans une démocratie, permettre à chacun de s’exprimer – tant que ce n’est pas une incitation à la haine – est essentiel. Pourquoi ? Car les œuvres n’affirment pas des vérités absolues, elles portent simplement le point de vue de celles et ceux qui les ont créées. Ces points de vue sont des visions du monde, et si elles déplaisent à certains, il ne s’agit pas de les interdire, mais d’en débattre. En affirmant à son tour un autre point de vue, une autre vision du monde.
Tout un chacun doit pouvoir ainsi s’exprimer. Et ce n’est pas simplement la liberté des artistes qui est en jeu, mais la nôtre aussi, en tant que spectateurs. Car censurer une œuvre, c’est nier la liberté de ceux qui auraient pu la regarder, s’en faire une opinion, voir ce qu’elle aurait fait ressentir ou penser. Si les crayons et les pinceaux sont des armes, ce sont des armes non violentes, qui n’ont d’autre but que de nous inciter, toutes et tous, à penser par nous-même.
(Dada)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600019531 $Périodique Revues Exclu du prêt