Fermeture de la bibliothèque du 23 décembre au 3 janvier inclus.
Pour vous connecter à votre compte :
Étudiant-e-s
Identifiant : numéro de matricule (17735)
Mot de passe : le même que pour extranet
Enseignant-e-s (s'inscrire au préalable à la bibliothèque)
Identifiant : id prof (pnom)
Mot de passe : code donné à l'inscription (à changer)
Horaire de la bibliothèque :
Lundi et jeudi : ouverte de 9h à 18h
Mardi : ouverte de 8h à 17h
Mercredi : ouverte de 8h à 16h
Vendredi : ouverte de 9h à 16h
TOUS LES JOURS : fermée de 11h30 à 12h30
La bibliothèque sera fermée à 16h ce jeudi 12 décembre et à 11h30 ce vendredi 13 décembre
Règlement de la bibliothèque
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... | Votre compte | Aide |
Détail de l'auteur
Auteur Béatrice Didier (1935-....)
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la rechercheDelphine I / Germaine, de Staël (2000)
Titre : Delphine I Type de document : texte imprimé Auteurs : Germaine, de Staël, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Flammarion Année de publication : 2000 Collection : GF num. 1099 Importance : 534 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-071099-4 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Dans le monde aristocratique que la Révolution s’apprête à balayer, un principe de conduite l’emporte sur tous les autres : le respect des convenances. Pour avoir voulu sauver l’honneur d’une de ses amies, Delphine commet une imprudence qui la perd de réputation auprès de Léonce, l’homme qu’ elle aime et dont elle est aimée. Sous le prétexte d’intercéder en sa faveur, sa tante, Sophie de Vernon, achève de compromettre Delphine, et convainc Léonce d’épouser sa propre fille… Roman épistolaire, publié en 1802, Delphine dépeint tous les mouvements de l’âme amoureuse et préfigure le ton et la manière des Romantiques. (Flammarion) Delphine I [texte imprimé] / Germaine, de Staël, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Préfacier, etc. . - Flammarion, 2000 . - 534 p. ; 18 cm. - (GF; 1099) .
ISBN : 978-2-08-071099-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Dans le monde aristocratique que la Révolution s’apprête à balayer, un principe de conduite l’emporte sur tous les autres : le respect des convenances. Pour avoir voulu sauver l’honneur d’une de ses amies, Delphine commet une imprudence qui la perd de réputation auprès de Léonce, l’homme qu’ elle aime et dont elle est aimée. Sous le prétexte d’intercéder en sa faveur, sa tante, Sophie de Vernon, achève de compromettre Delphine, et convainc Léonce d’épouser sa propre fille… Roman épistolaire, publié en 1802, Delphine dépeint tous les mouvements de l’âme amoureuse et préfigure le ton et la manière des Romantiques. (Flammarion) Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600015481 # Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Delphine II / Germaine, de Staël (2000)
Titre : Delphine II Type de document : texte imprimé Auteurs : Germaine, de Staël, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Flammarion Année de publication : 2000 Collection : GF num. 1100 Importance : 416 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-071100-7 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Dans le monde aristocratique que la Révolution s’apprête à balayer, un principe de conduite l’emporte sur tous les autres : le respect des convenances. Pour avoir voulu sauver l’honneur d’une de ses amies, Delphine commet une imprudence qui la perd de réputation auprès de Léonce, l’homme qu’ elle aime et dont elle est aimée. Sous le prétexte d’intercéder en sa faveur, sa tante, Sophie de Vernon, achève de compromettre Delphine, et convainc Léonce d’épouser sa propre fille… Roman épistolaire, publié en 1802, Delphine dépeint tous les mouvements de l’âme amoureuse et préfigure le ton et la manière des Romantiques. (Flammarion) Delphine II [texte imprimé] / Germaine, de Staël, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Préfacier, etc. . - Flammarion, 2000 . - 416 p. ; 18 cm. - (GF; 1100) .
ISBN : 978-2-08-071100-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Dans le monde aristocratique que la Révolution s’apprête à balayer, un principe de conduite l’emporte sur tous les autres : le respect des convenances. Pour avoir voulu sauver l’honneur d’une de ses amies, Delphine commet une imprudence qui la perd de réputation auprès de Léonce, l’homme qu’ elle aime et dont elle est aimée. Sous le prétexte d’intercéder en sa faveur, sa tante, Sophie de Vernon, achève de compromettre Delphine, et convainc Léonce d’épouser sa propre fille… Roman épistolaire, publié en 1802, Delphine dépeint tous les mouvements de l’âme amoureuse et préfigure le ton et la manière des Romantiques. (Flammarion) Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600015482 # Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Les filles du feu. La Pandora / Gérard Nerval de (1972)
Titre : Les filles du feu. La Pandora : Aurelia Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Nerval de, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1972 Collection : Folio num. 179 Importance : 439 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée (Babelio) Les filles du feu. La Pandora : Aurelia [texte imprimé] / Gérard Nerval de, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Préfacier, etc. . - Gallimard, 1972 . - 439 p. ; 18 cm. - (Folio; 179) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Nerval lui-même qualifiait ce recueil de "descente aux enfers". Texte aux accents ésotériques souvent obscurs, Aurélia ressuscite le mythe d'Orphée en une succession de rêves prophétiques et de délires visuels dont les surréalistes devaient faire leur miel. Dans "son petit habit brun de toiles d'araignées", Nerval côtoie sans cesse la folie et, cas unique en littérature, s'y abandonne humblement, en toute lucidité. Même Rimbaud n'ira guère plus loin. Écrivant comme sous la dictée de forces surnaturelles, dans un style haletant, précipité (il se suicidera peu de temps après), le poète se dépouille sans regrets de tous les artifices du réel. Le rêve seul peut répondre à ses questions hallucinées. Images apocalyptiques, cris déchirants ("L'univers est dans la nuit"), Nerval, au fil d'errances sans soleil, cherche à la fois les fantômes de sa mère et de son amour disparus. Il crée pour finir un chef-d'oeuvre unique, une étoile solitaire, et trouve là l'immortalité tant désirée (Babelio) Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013671 # Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Madame Putiphar / Petrus Borel (1972)
Titre : Madame Putiphar Autre titre : Précédée de "Madame Putiphar", roman sadien ? ; Et suivi de "Les Malheurs du récit" Type de document : texte imprimé Auteurs : Petrus Borel, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Auteur ; Jean-Luc Steinmetz, Auteur ; Jules Claretie (1840-1913), Préfacier, etc. Editeur : Régine Deforges Année de publication : 1972 Collection : Bibliothèque noire num. 1 Importance : XXX-445 p.-[1] p. de pl. Format : 22 cm Note générale : En appendice, choix de textes de divers auteurs Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : De Pétrus Borel (1809-1959), romantique " frénétique " ami de Nerval, admiré par André Breton et par les surréalistes, deux grands livres demeurent, l'un et l'autre longtemps introuvables : les Contes immoraux (Champavert) et Madame Putiphar (1839) - éreinté à l'époque par la critique parce que l'auteur osait s'y proclamer disciple de Sade. Bizarrement rares sont les lecteurs qui ont eu, en un grand siècle et demi de temps, la bonne fortune de tenir entre leurs mains ce texte qui en sidéra plus d'un : Madame Putiphar, rééditée de loin en loin, fut longtemps un livre à éclipses. Pourtant ce récit météorique, qu'on dirait taillé dans un bloc de nuit, figure bel et bien LE roman noir de la littérature française - le seul en tout cas à pouvoir rivaliser avec les trois chefs-d'œuvre du genre : Le Moine de Lewis, Melmoth de Maturin, Les Elixirs du Diable d'Hoffmann. Borel prétend être parti, pour imaginer sa folle histoire, des aveux d'un prisonnier de la Bastille, délivré le 14 juillet 1789 après une interminable incarcération. Sa fiancée avait été attirée dans un piège par la marquise de Pompadour (Madame Putiphar), grande pourvoyeuse des orgies royales du Parc-aux-Cerfs... A partir de cet argument, Borel propose la traversée aventureuse d'un siècle - le XVIIIe - qui n'est plus celui des Lumières mais celui de toutes les noirceurs. Dès lors s'explique-t-on l'intérêt passionné que vouèrent à ce texte un Aragon (fasciné par Borel le " colosse "), un Eluard (qui le situe " admirablement entre Sade et Lautréamont "), lors même que ce récit se place sans tricher dans le droit fil de la littérature populaire de l'époque - ce dont Paul Féval saura se souvenir en lançant son Bossu dans le même sillage d'ombre maléfique. (Decitre) Madame Putiphar ; Précédée de "Madame Putiphar", roman sadien ? ; Et suivi de "Les Malheurs du récit" [texte imprimé] / Petrus Borel, Auteur ; Béatrice Didier (1935-....), Auteur ; Jean-Luc Steinmetz, Auteur ; Jules Claretie (1840-1913), Préfacier, etc. . - Régine Deforges, 1972 . - XXX-445 p.-[1] p. de pl. ; 22 cm. - (Bibliothèque noire; 1) .
En appendice, choix de textes de divers auteurs
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : De Pétrus Borel (1809-1959), romantique " frénétique " ami de Nerval, admiré par André Breton et par les surréalistes, deux grands livres demeurent, l'un et l'autre longtemps introuvables : les Contes immoraux (Champavert) et Madame Putiphar (1839) - éreinté à l'époque par la critique parce que l'auteur osait s'y proclamer disciple de Sade. Bizarrement rares sont les lecteurs qui ont eu, en un grand siècle et demi de temps, la bonne fortune de tenir entre leurs mains ce texte qui en sidéra plus d'un : Madame Putiphar, rééditée de loin en loin, fut longtemps un livre à éclipses. Pourtant ce récit météorique, qu'on dirait taillé dans un bloc de nuit, figure bel et bien LE roman noir de la littérature française - le seul en tout cas à pouvoir rivaliser avec les trois chefs-d'œuvre du genre : Le Moine de Lewis, Melmoth de Maturin, Les Elixirs du Diable d'Hoffmann. Borel prétend être parti, pour imaginer sa folle histoire, des aveux d'un prisonnier de la Bastille, délivré le 14 juillet 1789 après une interminable incarcération. Sa fiancée avait été attirée dans un piège par la marquise de Pompadour (Madame Putiphar), grande pourvoyeuse des orgies royales du Parc-aux-Cerfs... A partir de cet argument, Borel propose la traversée aventureuse d'un siècle - le XVIIIe - qui n'est plus celui des Lumières mais celui de toutes les noirceurs. Dès lors s'explique-t-on l'intérêt passionné que vouèrent à ce texte un Aragon (fasciné par Borel le " colosse "), un Eluard (qui le situe " admirablement entre Sade et Lautréamont "), lors même que ce récit se place sans tricher dans le droit fil de la littérature populaire de l'époque - ce dont Paul Féval saura se souvenir en lançant son Bossu dans le même sillage d'ombre maléfique. (Decitre) Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600011949 # Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible