Titre : | Au-dessous du volcan | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Malcolm Lowry (1909-1957), Auteur ; Stephen Spriel, Traducteur ; Clarisse Francillon, Traducteur ; Maurice Nadeau (1911-2013), Préfacier, etc. ; Max-Pol Fouchet (1913-1980), Postfacier, auteur du colophon, etc. | Editeur : | Paris : Gallimard | Collection : | Folio num. 351 | Importance : | 636 p. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-036351-3 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) | Catégories : | Littérature anglaise
| Index. décimale : | 821.111 Littérature anglaise. Littérature de langue anglaise | Résumé : | «Aussi quand tu partis, Yvonne, j'allai à Oaxaca. Pas de plus triste mot. Te dirai-je, Yvonne, le terrible voyage à travers le désert, dans le chemin de fer à voie étroite, sur le chevalet de torture d'une banquette de troisième classe, l'enfant dont nous avons sauvé la vie, sa mère et moi, en lui frottant le ventre de la tequila de ma bouteille, ou comment, m'en allant dans ma chambre en l'hôtel où nous fûmes heureux, le bruit d'égorgement en bas dans la cuisine me chassa dans l'éblouissement de la rue, et plus tard, cette nuit-là, le vautour accroupi dans la cuvette du lavabo ? Horreur à la mesure de nerfs de géant !» (Gallimard) |
Au-dessous du volcan [texte imprimé] / Malcolm Lowry (1909-1957), Auteur ; Stephen Spriel, Traducteur ; Clarisse Francillon, Traducteur ; Maurice Nadeau (1911-2013), Préfacier, etc. ; Max-Pol Fouchet (1913-1980), Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Gallimard, [s.d.] . - 636 p. ; 18 cm. - ( Folio; 351) . ISBN : 978-2-07-036351-3 Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) Catégories : | Littérature anglaise
| Index. décimale : | 821.111 Littérature anglaise. Littérature de langue anglaise | Résumé : | «Aussi quand tu partis, Yvonne, j'allai à Oaxaca. Pas de plus triste mot. Te dirai-je, Yvonne, le terrible voyage à travers le désert, dans le chemin de fer à voie étroite, sur le chevalet de torture d'une banquette de troisième classe, l'enfant dont nous avons sauvé la vie, sa mère et moi, en lui frottant le ventre de la tequila de ma bouteille, ou comment, m'en allant dans ma chambre en l'hôtel où nous fûmes heureux, le bruit d'égorgement en bas dans la cuisine me chassa dans l'éblouissement de la rue, et plus tard, cette nuit-là, le vautour accroupi dans la cuvette du lavabo ? Horreur à la mesure de nerfs de géant !» (Gallimard) |
| |