Titre : | Mademoiselle Julie ; Le pélican | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | August Strindberg (1849-1912), Auteur ; Régis Boyer, Traducteur | Editeur : | Paris [France] : Flammarion | Année de publication : | 1997 | Collection : | GF num. 970 | Importance : | 244 p. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-08-070970-7 | Prix : | 43 F | Langues : | Français (fre) Langues originales : Suédois (swe) | Catégories : | Littérature suédoise
| Index. décimale : | 821.113.6 Littérature suédoise | Résumé : | August Strindberg
Mademoiselle Julie – Le Pélican
Édition : Régis Boyer
Traduction (Suédois) : Régis Boyer
Une nuit de fête, alors que le Comte est absent, Mademoiselle Julie, sa femme, invite Jean, son valet, à danser avec elle. Exaltée, elle finit par se donner à lui. Mais Jean, dont le rêve est de posséder un grand hôtel, entend bien profiter de la situation pour entamer son ascension sociale. Tiraillée entre le désir, le mépris et la honte, Julie ne sait pas si elle doit fuir avec son amant…
Mademoiselle Julie (1888), drame dont la popularité ne se dément plus en Suède ni dans le reste du monde, et Le Pélican (1907), « pièce de chambre » à la tonalité plus intimiste, témoignent de la même ambition : créer des personnages et non des archétypes, une avare qui n’incarne pas seulement l’avarice, un intrigant qui ne se réduise pas à l’ambition. Le théâtre, selon Strindberg, peut et doit montrer les contradictions et les équivoques qui habitent l’âme humaine. En dramaturge véritablement moderne, il orchestre ainsi des huis clos frénétiques et crus, à l’audace corrosive. |
Mademoiselle Julie ; Le pélican [texte imprimé] / August Strindberg (1849-1912), Auteur ; Régis Boyer, Traducteur . - Flammarion, 1997 . - 244 p. ; 18 cm. - ( GF; 970) . ISBN : 978-2-08-070970-7 : 43 F Langues : Français ( fre) Langues originales : Suédois ( swe) Catégories : | Littérature suédoise
| Index. décimale : | 821.113.6 Littérature suédoise | Résumé : | August Strindberg
Mademoiselle Julie – Le Pélican
Édition : Régis Boyer
Traduction (Suédois) : Régis Boyer
Une nuit de fête, alors que le Comte est absent, Mademoiselle Julie, sa femme, invite Jean, son valet, à danser avec elle. Exaltée, elle finit par se donner à lui. Mais Jean, dont le rêve est de posséder un grand hôtel, entend bien profiter de la situation pour entamer son ascension sociale. Tiraillée entre le désir, le mépris et la honte, Julie ne sait pas si elle doit fuir avec son amant…
Mademoiselle Julie (1888), drame dont la popularité ne se dément plus en Suède ni dans le reste du monde, et Le Pélican (1907), « pièce de chambre » à la tonalité plus intimiste, témoignent de la même ambition : créer des personnages et non des archétypes, une avare qui n’incarne pas seulement l’avarice, un intrigant qui ne se réduise pas à l’ambition. Le théâtre, selon Strindberg, peut et doit montrer les contradictions et les équivoques qui habitent l’âme humaine. En dramaturge véritablement moderne, il orchestre ainsi des huis clos frénétiques et crus, à l’audace corrosive. |
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