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Auteur Ivan Illich
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Affiner la rechercheLa convivialité / Ivan Illich (1973)
Titre : La convivialité Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivan Illich, Auteur ; Luce Giard (19..-...), Traducteur ; Vincent Bardet, Traducteur Editeur : Paris [France] : Seuil Année de publication : 1973 Importance : 157 p. Format : 21 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Politique Tags : société industrielle (critique) Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : La convivialité
« Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. »
Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. (Seuil)
L'analyse critique de la société industrielle doit beaucoup à Ivan Illich. Il est l'un des premiers à avoir dénoncé le productivisme, le culte de la croissance, l'apologie de la consommation et toutes les formes d'aliénation nées du mode de production capitaliste. "La Convivialité" montre comment l'organisation de la société tend à produire des consommateurs passifs, qui ont délégué aux institutions le pouvoir de décider et renoncé à assumer la responsabilité des orientations de leur société. Cette analyse critique se transforme en un manifeste. Il s'agit de réveiller politiquement les citoyens endormis, afin qu'ils se réapproprient leur destin.
Toutefois, cette reconquête suppose que les individus se détournent des seules possessions matérielles au profit de la redécouverte d'autrui et de la pratique du dialogue social. Seul l'apprentissage de la convivialité permettra, par la rencontre et l'échange, de renouer les fils de la communauté et de lui redonner la maîtrise de son avenir et de ses choix. (Babelio)La convivialité [texte imprimé] / Ivan Illich, Auteur ; Luce Giard (19..-...), Traducteur ; Vincent Bardet, Traducteur . - Paris (France) : Seuil, 1973 . - 157 p. ; 21 cm.
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : Politique Tags : société industrielle (critique) Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : La convivialité
« Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. »
Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. (Seuil)
L'analyse critique de la société industrielle doit beaucoup à Ivan Illich. Il est l'un des premiers à avoir dénoncé le productivisme, le culte de la croissance, l'apologie de la consommation et toutes les formes d'aliénation nées du mode de production capitaliste. "La Convivialité" montre comment l'organisation de la société tend à produire des consommateurs passifs, qui ont délégué aux institutions le pouvoir de décider et renoncé à assumer la responsabilité des orientations de leur société. Cette analyse critique se transforme en un manifeste. Il s'agit de réveiller politiquement les citoyens endormis, afin qu'ils se réapproprient leur destin.
Toutefois, cette reconquête suppose que les individus se détournent des seules possessions matérielles au profit de la redécouverte d'autrui et de la pratique du dialogue social. Seul l'apprentissage de la convivialité permettra, par la rencontre et l'échange, de renouer les fils de la communauté et de lui redonner la maîtrise de son avenir et de ses choix. (Babelio)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016280 ! Livre Politique Disponible La convivialité / Ivan Illich (1973)
Titre : La convivialité Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivan Illich, Auteur Editeur : Paris [France] : Seuil Année de publication : 1973 Collection : Points num. 65 Importance : 158 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Politique Tags : société industrielle (critique) Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : La convivialité
« Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. »
Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. (Seuil)
L'analyse critique de la société industrielle doit beaucoup à Ivan Illich. Il est l'un des premiers à avoir dénoncé le productivisme, le culte de la croissance, l'apologie de la consommation et toutes les formes d'aliénation nées du mode de production capitaliste. "La Convivialité" montre comment l'organisation de la société tend à produire des consommateurs passifs, qui ont délégué aux institutions le pouvoir de décider et renoncé à assumer la responsabilité des orientations de leur société. Cette analyse critique se transforme en un manifeste. Il s'agit de réveiller politiquement les citoyens endormis, afin qu'ils se réapproprient leur destin.
Toutefois, cette reconquête suppose que les individus se détournent des seules possessions matérielles au profit de la redécouverte d'autrui et de la pratique du dialogue social. Seul l'apprentissage de la convivialité permettra, par la rencontre et l'échange, de renouer les fils de la communauté et de lui redonner la maîtrise de son avenir et de ses choix. (Babelio)La convivialité [texte imprimé] / Ivan Illich, Auteur . - Seuil, 1973 . - 158 p. ; 18 cm. - (Points; 65) .
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : Politique Tags : société industrielle (critique) Index. décimale : 32 Politique. Science politique Résumé : La convivialité
« Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. »
Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. (Seuil)
L'analyse critique de la société industrielle doit beaucoup à Ivan Illich. Il est l'un des premiers à avoir dénoncé le productivisme, le culte de la croissance, l'apologie de la consommation et toutes les formes d'aliénation nées du mode de production capitaliste. "La Convivialité" montre comment l'organisation de la société tend à produire des consommateurs passifs, qui ont délégué aux institutions le pouvoir de décider et renoncé à assumer la responsabilité des orientations de leur société. Cette analyse critique se transforme en un manifeste. Il s'agit de réveiller politiquement les citoyens endormis, afin qu'ils se réapproprient leur destin.
Toutefois, cette reconquête suppose que les individus se détournent des seules possessions matérielles au profit de la redécouverte d'autrui et de la pratique du dialogue social. Seul l'apprentissage de la convivialité permettra, par la rencontre et l'échange, de renouer les fils de la communauté et de lui redonner la maîtrise de son avenir et de ses choix. (Babelio)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600016279 ! Livre Politique Disponible Une société sans école / Ivan Illich (1971)
Titre : Une société sans école Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivan Illich, Auteur ; Gérard-Henri Durand (1933-....), Traducteur Editeur : Paris [France] : Seuil Année de publication : 1971 Collection : Points Sous-collection : Essais num. 117 Importance : 219 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-005551-2 Prix : 6,95 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Éducation Tags : Ecole (société) Index. décimale : 37 Éducation. Enseignement. Formation. Loisirs Résumé : Une société sans école L'école obligatoire, la scolarité prolongée, la course aux diplômes, autant de faux progrès qui consistent à produire des élèves dociles, prêts à consommer des programmes tout à fait préparés par les " autorités " et à obéir aux institutions. A cela il faut substituer des échanges entre " égaux " et une véritable éducation qui prépare à la vie dans la vie, qui donne le goût d'inventer et d'expérimenter. L'auteur de Libérer l'avenir poursuit ici sa recherche, pour les nations riches ou pauvres, d'un autre mode de vie : or l'école est le principal lieu d'une rupture avec le conformisme. (Decitre) Note de contenu : Pourquoi il faut en finir avec l'institution scolaire
Phénoménologie de l'école
Le rite du progrès
Analyse spectrale des institutions
Logique de l'absurde
Les réseaux du savoir
Renaissance de l'homme épiméthéen.
(Decitre)Une société sans école [texte imprimé] / Ivan Illich, Auteur ; Gérard-Henri Durand (1933-....), Traducteur . - Seuil, 1971 . - 219 p. ; 18 cm. - (Points. Essais; 117) .
ISBN : 978-2-02-005551-2 : 6,95 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Éducation Tags : Ecole (société) Index. décimale : 37 Éducation. Enseignement. Formation. Loisirs Résumé : Une société sans école L'école obligatoire, la scolarité prolongée, la course aux diplômes, autant de faux progrès qui consistent à produire des élèves dociles, prêts à consommer des programmes tout à fait préparés par les " autorités " et à obéir aux institutions. A cela il faut substituer des échanges entre " égaux " et une véritable éducation qui prépare à la vie dans la vie, qui donne le goût d'inventer et d'expérimenter. L'auteur de Libérer l'avenir poursuit ici sa recherche, pour les nations riches ou pauvres, d'un autre mode de vie : or l'école est le principal lieu d'une rupture avec le conformisme. (Decitre) Note de contenu : Pourquoi il faut en finir avec l'institution scolaire
Phénoménologie de l'école
Le rite du progrès
Analyse spectrale des institutions
Logique de l'absurde
Les réseaux du savoir
Renaissance de l'homme épiméthéen.
(Decitre)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600017418 ! Livre Pédagogie Disponible