Titre : | Lettres | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (1626-1696), Auteur ; Bernard Raffali, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris [France] : Garnier-Flammarion | Année de publication : | 1976 | Collection : | GF num. 282 | Importance : | 448 p. | Format : | 18 cm | Prix : | 2 EUR | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature française
| Index. décimale : | 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française | Résumé : |
Madame de Sévigné
Lettres
En 1671, le départ pour la Provence de sa fille - la comtesse de Grignan - met Mme de Sévigné au désespoir. Alors, pour combler l'absence, elle entre avec elle en correspondance comme on entre en religion. Elle lui raconte tout, les plus hauts faits comme les plus anecdotiques, les plus graves comme les plus légers : la guerre de Hollande, le procès de Foucquet, le suicide de Vatel, l'incendie chez un voisin ou encore la dernière coiffure en vogue à Paris. Chroniques d'une époque dont la marquise fut un témoin privilégié, les lettres sont aussi, et avant tout, une écriture de l'intime, le journal d'une conscience qui se raconte au jour le jour. La postérité ne s'y est pas trompée, qui a institué cette correspondance en modèle du genre. (Flammarion) |
Lettres [texte imprimé] / Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (1626-1696), Auteur ; Bernard Raffali, Préfacier, etc. . - Garnier-Flammarion, 1976 . - 448 p. ; 18 cm. - ( GF; 282) . 2 EUR Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature française
| Index. décimale : | 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française | Résumé : |
Madame de Sévigné
Lettres
En 1671, le départ pour la Provence de sa fille - la comtesse de Grignan - met Mme de Sévigné au désespoir. Alors, pour combler l'absence, elle entre avec elle en correspondance comme on entre en religion. Elle lui raconte tout, les plus hauts faits comme les plus anecdotiques, les plus graves comme les plus légers : la guerre de Hollande, le procès de Foucquet, le suicide de Vatel, l'incendie chez un voisin ou encore la dernière coiffure en vogue à Paris. Chroniques d'une époque dont la marquise fut un témoin privilégié, les lettres sont aussi, et avant tout, une écriture de l'intime, le journal d'une conscience qui se raconte au jour le jour. La postérité ne s'y est pas trompée, qui a institué cette correspondance en modèle du genre. (Flammarion) |
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