/!\ Fermeture de la bibliothèque durant les vacances de printemps (du 29 avril au 10 mai) /!\
Pour vous connecter à votre compte :
Étudiant-e-s
Identifiant : numéro de matricule (17735)
Mot de passe : le même que pour extranet
Enseignant-e-s (s'inscrire au préalable à la bibliothèque)
Identifiant : id prof (pnom)
Mot de passe : code donné à l'inscription (à changer)
Horaire de la bibliothèque :
Lundi et jeudi : ouverte de 9h à 18h
Mardi : ouverte de 8h à 17h
Mercredi : ouverte de 8h à 16h
Vendredi : ouverte de 9h à 16h
TOUS LES JOURS : fermée de 11h30 à 12h30
Règlement de la bibliothèque
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... | Votre compte | Aide |
Catégories
> 3 Culture > 3.05 Culture
Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le bas
N°341 - juillet 2018 - Négritude et postcolonialisme (Bulletin de Agenda interculturel)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
Titre : N°341 - juillet 2018 - Négritude et postcolonialisme Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 31 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : Culture Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture [n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
N°341 - juillet 2018 - Négritude et postcolonialisme [texte imprimé] . - 2018 . - 31 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Culture Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600009665 $Périodique Revues Disponible N°342 - septembre 2018 - Pacte pour un enseignement d'excellence. Un pacte mal nommé ? (Bulletin de Agenda interculturel)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
Titre : N°342 - septembre 2018 - Pacte pour un enseignement d'excellence. Un pacte mal nommé ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 31 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : 3 Culture Tags : pacte d'excellence enseignement Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture [n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
N°342 - septembre 2018 - Pacte pour un enseignement d'excellence. Un pacte mal nommé ? [texte imprimé] . - 2018 . - 31 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : 3 Culture Tags : pacte d'excellence enseignement Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600008895 $Périodique Revues Disponible N°343 - Novembre 2018 - Les Albanais de Belgique 60 ans d'une immigration diversifiée (Bulletin de Agenda interculturel)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
Titre : N°343 - Novembre 2018 - Les Albanais de Belgique 60 ans d'une immigration diversifiée Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 27 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : Culture Tags : Albanais de Belgique Albelges histoire de l'Albanie République du Kosovo histoire du Kosovo guerre du Kosovo (1998-1999) violences sexuelles viol comme arme de guerre Zenel Laci Fran Kukaj Faïk Konitza Sakip Skepi Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture [n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
N°343 - Novembre 2018 - Les Albanais de Belgique 60 ans d'une immigration diversifiée [texte imprimé] . - 2018 . - 27 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Culture Tags : Albanais de Belgique Albelges histoire de l'Albanie République du Kosovo histoire du Kosovo guerre du Kosovo (1998-1999) violences sexuelles viol comme arme de guerre Zenel Laci Fran Kukaj Faïk Konitza Sakip Skepi Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600010481 $Périodique Revues Disponible N°344 - Décembre 2018 - Tout le monde à table ! Nourriture qui rassemble, nourriture qui sépare (Bulletin de Agenda interculturel)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
Titre : N°344 - Décembre 2018 - Tout le monde à table ! Nourriture qui rassemble, nourriture qui sépare Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Importance : 31 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : Culture Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Résumé : Les prescrits alimentaires d’une communauté servent entre autres à renforcer sa cohésion, à affirmer une identité, à se distinguer. Le manger ensemble peut donc rassembler et séparer tout à la fois. Alors, comment manger ensemble dans notre société multiculturelle ?
(cbai)Note de contenu : Sommaire
[Édito] Nourriture qui rassemble, nourriture qui sépare
François Braem
Les prescrits alimentaires d’une communauté servent entre autres à renforcer sa cohésion, à affirmer une identité, à se distinguer. Le manger ensemble peut donc rassembler et séparer tout à la fois. Alors, comment manger ensemble dans notre société multiculturelle ?
► lire l'article
Tabous alimentaires et identités
Xavière Remacle
Les prescrits alimentaires d’une communauté servent entre autres à renforcer la cohésion d’un groupe, à affirmer son identité, à se distinguer. Dans nos sociétés multiculturelles, le rapport de force qu’ils peuvent générer provoque parfois des malaises : en effet, quel groupe devra céder face aux prescrits des autres ? Une question qui en entraîne une autre : la convivialité ne passe-t-elle que par la bouche ?
► lire l'article
Une question de dignité
Entretien avec Thomas Gergely
Thomas Gergely, directeur de l’Institut d’études du judaïsme à l’ULB, où il enseigne l’histoire et la culture juives, décode la portée éthique et pédagogique des prescrits alimentaires dans le judaïsme. Des prescrits issus de la Thora et du Talmud, permanents et pourtant adaptables.
► lire l'article
L’invention de la cuisine casher créole
Anny Bloch
Rien ne permettait de penser que serait élaborée une cuisine casher créole à la Nouvelle Orléans, ville dans laquelle la cuisine créole, issue de métissages culinaires inventée à la fin du XIXe siècle, est un enjeu constant d’échanges sociaux et de réaffirmations identitaires. Et pourtant…
► lire l'article
Christianisme et alimentation Un homme-Dieu, Agneau du sacrifice
François Braem
S’agissant des prescrits alimentaires en vigueur dans le christianisme, examinons en quoi cette religion inaugure une rupture par rapport à la notion traditionnelle de sacrifice. Mais sans perdre de vue pour autant l’évolution de ces normes prescrites par l’Eglise de ses origines jusqu’à nos jours où les prescrits alimentaires chrétiens ont largement perdu de leur caractère contraignant. Quelles sont les raisons de cet estompement des normes ?
► lire l'article
Le Coran: une voie de sortie de l’hypertrophie du halal ? Michaël Privot
Michaël Privot
A la fin des années 1930, après plus d’une décennie de chevauchées dans la péninsule Arabique, l’explorateur anglais W. Thesiger (1910-2003) remarquait avec son implacable sens de l’observation que « la définition du licite et de l’interdit varie selon les lieux et n’obéit généralement pas aux lois de la raison ».
► lire l'article
Cantines scolaires : l’option de la transparence
François Braem
Prendre pleinement en compte les normes et prescrits religieux en matière alimentaire ainsi que le respect des choix individuels des élèves suppose une révision de la manière de concevoir les menus scolaires. Mais uniquement en admettant d’emblée que la liberté des uns ne pourra en aucune manière brider celle des autres.
► lire l'article
[+] Christianisme et alimentation. Un homme-Dieu, Agneau du sacrifice
François Braem
Supplément au dossier
S’agissant des prescrits alimentaires en vigueur dans le christianisme, nous allons tenter d’examiner en quoi cette religion inaugure une rupture par rapport à la notion traditionnelle de sacrifice. Mais sans perdre de vue pour autant l’évolution de ces normes prescrites par l’Eglise de ses origines jusqu’à nos jours. Au temps présent, les prescrits alimentaires chrétiens ont largement perdu de leur caractère contraignant, et nous essayerons également de mieux comprendre les raisons de cet estompement des normes.
► lire l'article
Ça ne va pas de soi
Nathalie Caprioli
Le partage d’un repas, s’il ne suffit pas pour approfondir un dialogue interculturel, nous apprend autant sur l’autre que sur nous – un besoin jamais rassasié dans notre société multiculturelle. Illustration à travers divers événements menés à Molenbeek, Bruxelles et Saint-Gilles, qui démontrent combien la demande existe, et combien le moindre faux pas peut bloquer les bonnes intentions. Terrain sensible.
► lire l'article
Fédérateur ou communautarisant ?
Sarah De Grootte
A l'heure de la multiculturalité et du vivre ensemble, judaïsme, christianisme, et islam sont invités à la même table afin de mieux appréhender le rapport entretenu par chacun des grands cultes monothéistes à l'alimentation et analyser la manière dont le contexte néolibéral actuel accueille ces prescrits religieux.
► lire l'article
[sur le terrain] « On est gentils »
Nathalie Caprioli
Qui ne connaît pas Herbesthal ? Ce village en Communauté germanophone, à équidistance entre Verviers et Aix-la-Chapelle, ne défraie jamais les médias. Nous avons fait un détour par sa Maison de jeunes où les éducateurs accueillent une majorité de primo arrivants qui peuvent y trouver conseils, respect, ou simplement un lieu où se poser. Ambiance, entre chamaillerie et provoc, parmi des post adolescents en quête d’échange et de reconnaissance.
► lire l'article
[incontournable] Les métiers du social en expo
La rédaction
Un thème prometteur pour la prochaine exposition de la Fonderie qui s’ouvrira cet hiver : travailleurs de rue, tisseurs de liens. Elle nous invite à suivre un fil rouge original en questionnant qui sont les travailleurs sociaux, comment ils se sont formés et professionnalisés à travers l’histoire. www.lafonderie.be
► lire l'article
[Bon tuyau] Appel à témoignages et à prêt d’objets
La rédaction
Votre histoire, vos objets, archives, documents… nous intéressent ! L’Association des Démocrates Tunisiens au Benelux (ADTB), en collaboration avec CBAI et le Centre culturel tunisien à Bruxelles, prépare une exposition sur l’immigration tunisienne d’hier et d’aujourd’hui en Belgique.
► lire l'article
(cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Agenda interculturel / Céline Remy
N°344 - Décembre 2018 - Tout le monde à table ! Nourriture qui rassemble, nourriture qui sépare [texte imprimé] . - 2019 . - 31 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Culture Index. décimale : 316.7 Sociologie de la culture Résumé : Les prescrits alimentaires d’une communauté servent entre autres à renforcer sa cohésion, à affirmer une identité, à se distinguer. Le manger ensemble peut donc rassembler et séparer tout à la fois. Alors, comment manger ensemble dans notre société multiculturelle ?
(cbai)Note de contenu : Sommaire
[Édito] Nourriture qui rassemble, nourriture qui sépare
François Braem
Les prescrits alimentaires d’une communauté servent entre autres à renforcer sa cohésion, à affirmer une identité, à se distinguer. Le manger ensemble peut donc rassembler et séparer tout à la fois. Alors, comment manger ensemble dans notre société multiculturelle ?
► lire l'article
Tabous alimentaires et identités
Xavière Remacle
Les prescrits alimentaires d’une communauté servent entre autres à renforcer la cohésion d’un groupe, à affirmer son identité, à se distinguer. Dans nos sociétés multiculturelles, le rapport de force qu’ils peuvent générer provoque parfois des malaises : en effet, quel groupe devra céder face aux prescrits des autres ? Une question qui en entraîne une autre : la convivialité ne passe-t-elle que par la bouche ?
► lire l'article
Une question de dignité
Entretien avec Thomas Gergely
Thomas Gergely, directeur de l’Institut d’études du judaïsme à l’ULB, où il enseigne l’histoire et la culture juives, décode la portée éthique et pédagogique des prescrits alimentaires dans le judaïsme. Des prescrits issus de la Thora et du Talmud, permanents et pourtant adaptables.
► lire l'article
L’invention de la cuisine casher créole
Anny Bloch
Rien ne permettait de penser que serait élaborée une cuisine casher créole à la Nouvelle Orléans, ville dans laquelle la cuisine créole, issue de métissages culinaires inventée à la fin du XIXe siècle, est un enjeu constant d’échanges sociaux et de réaffirmations identitaires. Et pourtant…
► lire l'article
Christianisme et alimentation Un homme-Dieu, Agneau du sacrifice
François Braem
S’agissant des prescrits alimentaires en vigueur dans le christianisme, examinons en quoi cette religion inaugure une rupture par rapport à la notion traditionnelle de sacrifice. Mais sans perdre de vue pour autant l’évolution de ces normes prescrites par l’Eglise de ses origines jusqu’à nos jours où les prescrits alimentaires chrétiens ont largement perdu de leur caractère contraignant. Quelles sont les raisons de cet estompement des normes ?
► lire l'article
Le Coran: une voie de sortie de l’hypertrophie du halal ? Michaël Privot
Michaël Privot
A la fin des années 1930, après plus d’une décennie de chevauchées dans la péninsule Arabique, l’explorateur anglais W. Thesiger (1910-2003) remarquait avec son implacable sens de l’observation que « la définition du licite et de l’interdit varie selon les lieux et n’obéit généralement pas aux lois de la raison ».
► lire l'article
Cantines scolaires : l’option de la transparence
François Braem
Prendre pleinement en compte les normes et prescrits religieux en matière alimentaire ainsi que le respect des choix individuels des élèves suppose une révision de la manière de concevoir les menus scolaires. Mais uniquement en admettant d’emblée que la liberté des uns ne pourra en aucune manière brider celle des autres.
► lire l'article
[+] Christianisme et alimentation. Un homme-Dieu, Agneau du sacrifice
François Braem
Supplément au dossier
S’agissant des prescrits alimentaires en vigueur dans le christianisme, nous allons tenter d’examiner en quoi cette religion inaugure une rupture par rapport à la notion traditionnelle de sacrifice. Mais sans perdre de vue pour autant l’évolution de ces normes prescrites par l’Eglise de ses origines jusqu’à nos jours. Au temps présent, les prescrits alimentaires chrétiens ont largement perdu de leur caractère contraignant, et nous essayerons également de mieux comprendre les raisons de cet estompement des normes.
► lire l'article
Ça ne va pas de soi
Nathalie Caprioli
Le partage d’un repas, s’il ne suffit pas pour approfondir un dialogue interculturel, nous apprend autant sur l’autre que sur nous – un besoin jamais rassasié dans notre société multiculturelle. Illustration à travers divers événements menés à Molenbeek, Bruxelles et Saint-Gilles, qui démontrent combien la demande existe, et combien le moindre faux pas peut bloquer les bonnes intentions. Terrain sensible.
► lire l'article
Fédérateur ou communautarisant ?
Sarah De Grootte
A l'heure de la multiculturalité et du vivre ensemble, judaïsme, christianisme, et islam sont invités à la même table afin de mieux appréhender le rapport entretenu par chacun des grands cultes monothéistes à l'alimentation et analyser la manière dont le contexte néolibéral actuel accueille ces prescrits religieux.
► lire l'article
[sur le terrain] « On est gentils »
Nathalie Caprioli
Qui ne connaît pas Herbesthal ? Ce village en Communauté germanophone, à équidistance entre Verviers et Aix-la-Chapelle, ne défraie jamais les médias. Nous avons fait un détour par sa Maison de jeunes où les éducateurs accueillent une majorité de primo arrivants qui peuvent y trouver conseils, respect, ou simplement un lieu où se poser. Ambiance, entre chamaillerie et provoc, parmi des post adolescents en quête d’échange et de reconnaissance.
► lire l'article
[incontournable] Les métiers du social en expo
La rédaction
Un thème prometteur pour la prochaine exposition de la Fonderie qui s’ouvrira cet hiver : travailleurs de rue, tisseurs de liens. Elle nous invite à suivre un fil rouge original en questionnant qui sont les travailleurs sociaux, comment ils se sont formés et professionnalisés à travers l’histoire. www.lafonderie.be
► lire l'article
[Bon tuyau] Appel à témoignages et à prêt d’objets
La rédaction
Votre histoire, vos objets, archives, documents… nous intéressent ! L’Association des Démocrates Tunisiens au Benelux (ADTB), en collaboration avec CBAI et le Centre culturel tunisien à Bruxelles, prépare une exposition sur l’immigration tunisienne d’hier et d’aujourd’hui en Belgique.
► lire l'article
(cbai)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600011031 $Périodique Revues Exclu du prêt n° 348 - septembre 2019 - 23.5000 syriens en Belgique. 5 ,6 millions réfugiés à l'étranger (Bulletin de Imag) / Nathalie Caprioli
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : n° 348 - septembre 2019 - 23.5000 syriens en Belgique. 5 ,6 millions réfugiés à l'étranger Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Caprioli, Auteur Année de publication : 2019 Importance : 42 p. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : « Le peuple syrien ne se laissera pas humilier » était l’un des slogans scandé lors du soulèvement populaire au printemps 2011. La réponse du clan Assad ? La guerre totale est entrée dans sa 9e année, provoquant des centaines de milliers de morts et de disparus, provoquant le déplacement de la moitié de sa population, dont 5,6 millions à l’étranger, selon les chiffres de l’UNHCR (arrêtés à avril 2018).
La plupart des déplacés ont trouvé refuge dans les pays voisins, surtout en Turquie et au Liban, et dans une très moindre mesure en Europe. En Belgique, ils représentent 1 % de la population étrangère.
Comme tous réfugiés, ils ont besoin d’assistance, sans apitoiement, dans le respect de leur dignité. La dignité, c’est être traité comme un être humain, sur un pied d’égalité.
(Cbai)Note de contenu :
[EDITO] La banalisation de l’infâme
Alexandre ANSAY
Il y a quelques jours, méditant sur un banc, non loin des eaux calmes des Etangs d’Ixelles, je me suis rendu compte qu’une femme, silencieusement, s’était assise à côté de moi. Elle avait le visage de tous les humains.
► lire l'article
La thanatocratie syrienne
Jonathan Piron
« Bachar al Assad a un slogan : "Assad, ou nous brûlons le pays !" Pour moi, cela veut tout dire ! » Lorsqu’il témoigne début 2016, cela fait déjà 2 ans que Mohamed Soleiman Almadfaa, professeur de français à Raqqa, a quitté son pays et est devenu réfugié en Belgique. L’État islamique règne alors sur sa ville d’origine, mais son propos est clair quant à celui qui porte la responsabilité du conflit civil : « Si Bachar al Assad ne s’accrochait pas à son "trône" comme il le fait depuis la révolution pacifique de 2011, Daesh n’aurait jamais eu l’importance qu’il a aujourd’hui».
► lire l'article
Le piège de l’approche ethnico religieuse
Benjamin Peltier
Le conflit syrien s’est compliqué au fil des années jusqu’à ressembler pour beaucoup à une pelote de fils emmêlés, difficile voire impossible à comprendre. Face à cette complexité, il est tentant de chercher à remettre de la clarté dans ce champ de bataille en délimitant des cases et des camps simples et clairement identifiables. Or, invisibiliser les questions politiques en se focalisant sur les enjeux ethniques et convictionnels empêche de comprendre le conflit syrien. Décodage.
► lire l'article
Entre hospitalité et hostilité
Hazem Yabroudi
L’exil syrien est devenu une fatalité pour moi… Regardons de plus près ce qui en résulte dans ce Plat Pays devenu mien. Témoignage sur l'exil et l'accueil. Ou peut-on devenir un réfugié épanoui ?
► lire l'article
Une migration d’asile
Entretien avec Sophie Vause
La présence syrienne en Belgique n’est pas une longue histoire vu que sa cause principale remonte à la guerre déclenchée en 2011. Parmi les rares études en la matière, on trouve la recherche quantitative de Sophie Vause, démographe à Myria (Centre fédéral Migration), basée sur les chiffres du Registre national. Quelques courbes et graphiques pour mieux connaître une population qui a plus que quadruplé en six ans.
► lire l'article
À Cureghem, secousses et décryptage
Nathalie Caprioli
Parmi les Syriens qui arrivent à Anderlecht à partir de 2015, il y a les Doms, une minorité inconnue, qui va bousculer des habitudes de quartier et certaines pratiques classiques des travailleurs de rue. C’est l’histoire d’incompréhensions et de chocs culturels, puis de décisions politiques communales éclairées par de bons diagnostics du terrain. Une expérience qui profite aujourd’hui à d’autres communes et acteurs sociaux… Même si le vivre ensemble reste à parfaire.
► lire l'article
Une minorité à la marge
Bruno Herin
Qui sont les Doms ? On les appelle les Gitans du Moyen-Orient. De cette petite minorité installée notamment en Syrie où elle est estimée à 70.000 personnes, la plupart s’est enfuie sur les routes de l’exil. Certaines familles ont rejoint l’Europe après un long détour, traversant le Maghreb jusqu’au Maroc.
► lire l'article
Qu'est-ce que l'astrophysique a à voir avec les réfugiés ?
Basel Adoum
Malgré l’ampleur de la «crise» des réfugiés syriens en Belgique et l’attention médiatique qu’elle a reçue, peu de recherches et peu de faits sont connus sur leurs contributions dans leur pays d’adoption1. Essai de présentation de quelques facettes de leur profil culturel à travers deux associations : RANA et Lagrange Points.
► lire l'article
Bienvenus à la commune d’Anderlecht
Sarah Bellet
15 juillet 2019, 13h30, salle du conseil communal d’Anderlecht. Je les entends arriver dans le hall d’entrée. Discrètement, avec ma collègue photographe, je m’intègre dans le groupe pour suivre leur formation à la citoyenneté. Le sujet : comprendre le fonctionnement de la commune. Le défi du jour pour ces primo arrivants… comme pour moi.
► lire l'article
Sofiane de Tanger ou de Damas
Nathalie Caprioli avec Mohamed Samadi
Concurrence territoriale au Parc de la Rosée à Anderlecht où des habitants du quartier se sont sentis « envahis » par l’arrivée massive de familles Doms de Syrie. Entre 2014 et aujourd’hui, comment les conflits ont-ils évolué, vers quelle résolution ? Promenade commentée par Karim Laabas, gardien de ce parc depuis 6 ans.
► lire l'article
(Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
n° 348 - septembre 2019 - 23.5000 syriens en Belgique. 5 ,6 millions réfugiés à l'étranger [texte imprimé] / Nathalie Caprioli, Auteur . - 2019 . - 42 p. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : « Le peuple syrien ne se laissera pas humilier » était l’un des slogans scandé lors du soulèvement populaire au printemps 2011. La réponse du clan Assad ? La guerre totale est entrée dans sa 9e année, provoquant des centaines de milliers de morts et de disparus, provoquant le déplacement de la moitié de sa population, dont 5,6 millions à l’étranger, selon les chiffres de l’UNHCR (arrêtés à avril 2018).
La plupart des déplacés ont trouvé refuge dans les pays voisins, surtout en Turquie et au Liban, et dans une très moindre mesure en Europe. En Belgique, ils représentent 1 % de la population étrangère.
Comme tous réfugiés, ils ont besoin d’assistance, sans apitoiement, dans le respect de leur dignité. La dignité, c’est être traité comme un être humain, sur un pied d’égalité.
(Cbai)Note de contenu :
[EDITO] La banalisation de l’infâme
Alexandre ANSAY
Il y a quelques jours, méditant sur un banc, non loin des eaux calmes des Etangs d’Ixelles, je me suis rendu compte qu’une femme, silencieusement, s’était assise à côté de moi. Elle avait le visage de tous les humains.
► lire l'article
La thanatocratie syrienne
Jonathan Piron
« Bachar al Assad a un slogan : "Assad, ou nous brûlons le pays !" Pour moi, cela veut tout dire ! » Lorsqu’il témoigne début 2016, cela fait déjà 2 ans que Mohamed Soleiman Almadfaa, professeur de français à Raqqa, a quitté son pays et est devenu réfugié en Belgique. L’État islamique règne alors sur sa ville d’origine, mais son propos est clair quant à celui qui porte la responsabilité du conflit civil : « Si Bachar al Assad ne s’accrochait pas à son "trône" comme il le fait depuis la révolution pacifique de 2011, Daesh n’aurait jamais eu l’importance qu’il a aujourd’hui».
► lire l'article
Le piège de l’approche ethnico religieuse
Benjamin Peltier
Le conflit syrien s’est compliqué au fil des années jusqu’à ressembler pour beaucoup à une pelote de fils emmêlés, difficile voire impossible à comprendre. Face à cette complexité, il est tentant de chercher à remettre de la clarté dans ce champ de bataille en délimitant des cases et des camps simples et clairement identifiables. Or, invisibiliser les questions politiques en se focalisant sur les enjeux ethniques et convictionnels empêche de comprendre le conflit syrien. Décodage.
► lire l'article
Entre hospitalité et hostilité
Hazem Yabroudi
L’exil syrien est devenu une fatalité pour moi… Regardons de plus près ce qui en résulte dans ce Plat Pays devenu mien. Témoignage sur l'exil et l'accueil. Ou peut-on devenir un réfugié épanoui ?
► lire l'article
Une migration d’asile
Entretien avec Sophie Vause
La présence syrienne en Belgique n’est pas une longue histoire vu que sa cause principale remonte à la guerre déclenchée en 2011. Parmi les rares études en la matière, on trouve la recherche quantitative de Sophie Vause, démographe à Myria (Centre fédéral Migration), basée sur les chiffres du Registre national. Quelques courbes et graphiques pour mieux connaître une population qui a plus que quadruplé en six ans.
► lire l'article
À Cureghem, secousses et décryptage
Nathalie Caprioli
Parmi les Syriens qui arrivent à Anderlecht à partir de 2015, il y a les Doms, une minorité inconnue, qui va bousculer des habitudes de quartier et certaines pratiques classiques des travailleurs de rue. C’est l’histoire d’incompréhensions et de chocs culturels, puis de décisions politiques communales éclairées par de bons diagnostics du terrain. Une expérience qui profite aujourd’hui à d’autres communes et acteurs sociaux… Même si le vivre ensemble reste à parfaire.
► lire l'article
Une minorité à la marge
Bruno Herin
Qui sont les Doms ? On les appelle les Gitans du Moyen-Orient. De cette petite minorité installée notamment en Syrie où elle est estimée à 70.000 personnes, la plupart s’est enfuie sur les routes de l’exil. Certaines familles ont rejoint l’Europe après un long détour, traversant le Maghreb jusqu’au Maroc.
► lire l'article
Qu'est-ce que l'astrophysique a à voir avec les réfugiés ?
Basel Adoum
Malgré l’ampleur de la «crise» des réfugiés syriens en Belgique et l’attention médiatique qu’elle a reçue, peu de recherches et peu de faits sont connus sur leurs contributions dans leur pays d’adoption1. Essai de présentation de quelques facettes de leur profil culturel à travers deux associations : RANA et Lagrange Points.
► lire l'article
Bienvenus à la commune d’Anderlecht
Sarah Bellet
15 juillet 2019, 13h30, salle du conseil communal d’Anderlecht. Je les entends arriver dans le hall d’entrée. Discrètement, avec ma collègue photographe, je m’intègre dans le groupe pour suivre leur formation à la citoyenneté. Le sujet : comprendre le fonctionnement de la commune. Le défi du jour pour ces primo arrivants… comme pour moi.
► lire l'article
Sofiane de Tanger ou de Damas
Nathalie Caprioli avec Mohamed Samadi
Concurrence territoriale au Parc de la Rosée à Anderlecht où des habitants du quartier se sont sentis « envahis » par l’arrivée massive de familles Doms de Syrie. Entre 2014 et aujourd’hui, comment les conflits ont-ils évolué, vers quelle résolution ? Promenade commentée par Karim Laabas, gardien de ce parc depuis 6 ans.
► lire l'article
(Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600012514 $Périodique Revues Disponible N°349 - Novembre 2019 - Super Hérauts. BD et politique (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°349 - Novembre 2019 - Super Hérauts. BD et politique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Importance : 42 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : tunisien (Belgique), musée juif de Belgique bandes dessinées super héros colonisation Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Les super héros ne meurent jamais. Tant mieux parce qu’il semble que nos sociétés, de tout temps, aient éprouvé le besoin de s’y raccrocher, en quête de modèles, d’espoir, de paix, de justice – particulièrement quand vient la crise.
En partenariat avec le Musée Juif de Belgique qui présente l’exposition "Super Heroes Never Die. Comics and Jewish Memories" du 8 novembre 2019 au 26 avril 2020, nous sommes partis du même thème pour continuer ensuite sur nos chemins de traverse habituels. La BD pour parler de politique autrement, ou comment des récits cartoonesques abordent des histoires d’exil ou des revendications identitaires. (Cbai)Note de contenu :
[Édito] Le cinéma, cet art subtil du rendez vous
Pascal PEERBOOM
Le Festival Cinéma Méditerranéen se déroulera du 28 novembre au 7 décembre, à Bozar, au cinéma l’Aventure et, pour la première fois, au cinéma Palace pour cause de travaux au Botanique qui avait accueilli toutes les éditions précédentes.
► lire l'article
[Panoramique] Bandes dessinées et mémoires juives
Bruno Benvindo, Sophie Collette et Karim Tall - Musée juif de Belgique
Du 8 novembre 2019 au 26 avril 2020, l’exposition Superheroes Never Die. Comics and Jewish Memories retrace au Musée Juif de Belgique un siècle de bande dessinée américaine. Elle raconte comment tant les comics populaires que la production undergound se sont, depuis leurs débuts et jusqu’à aujourd’hui, entremêlés aux tumultes de l’Histoire.
► lire l'article
Pourquoi ce besoin de super héros ?
Entretien avec William Blanc, Historien médiévaliste spécialiste des cultures populaires
Notre société a toujours eu besoin de personnages super humains pour projeter en eux ses aspirations, ses peurs. William Blanc, médiévaliste (spécialiste qui étudie la perception contemporaine du Moyen Age) passionné de comics, s’est emparé de l’histoire politique des super héros (voir l’encadré). Quels liens entre Superman né en 1933 et les chevaliers terrassant les dragons ? Et surtout, quelle évolution entre les super héros d’hier à aujourd’hui ?
► lire l'article
Exil et voyage intérieur
Entretien avec Erwin Dejasse
Paru à partir de 1982,Sudor Sudaca, Sueur de métèques est un cycle d’histoires qui se ramifient autour du thème de l’exil, où les questions identitaires sont omniprésentes, dépourvues de tout faux semblants. Lecture rapide avec Erwin Dejasse, historien de la bande dessinée et chercheur au FNRS, attaché à l’Université Libre de Bruxelles. Sa thèse portait sur les émotions esthétiques dans l’œuvre de José Muñoz et Carlos Sampayo.
► lire l'article
Dropsie Avenue ou les anti héros du quotidien
François Braem, Anthropologue bédéphile
Douce-amère ou impitoyable, la chronique graphique Dropsie Avenue couvre, sous forme de brèves vignettes, un siècle de la vie d’un quartier du Bronx et de ses habitants.
► lire l'article
La BD (se) joue du réel
Nathalie Caprioli
La BD se moque de la réalité. Et pourtant, dans ce mode narratif où tout peut exister, certains auteurs mêlent mémoire, fragments de vie, journalisme, imaginaire. Signe des temps, l’information dessinée est devenue très à la mode dans les médias – même Imag n’y échappe pas. En quoi ces récits graphiques transmettent autrement, avec quelle portée ? Et en cas de conflit de genre, qui de l’illustration ou de l’information cèdera ? Rencontre avec Paula Bulling, Manu Scordia et Barrack Rima.
► lire l'article
Anamnèses décoloniales
Véronique Bragard, Professeure l’UCL Sabrina Parent Professeure à l’ULB
Les statues de Léopold II, qui continuent de s’exhiber çà et là dans l’espace public belge, traduisent à quel point le système d’exploitation colonial – symbolisé par le « Roi-bâtisseur » – demeure un impensé de la majeure partie de notre société1. Ces dernières années, la bande dessinée et le roman graphique ont semblé plus à même d’adopter des nouveaux regards, interrogateurs et critiques, par rapport à l’histoire coloniale de notre pays, peu ou mal connue du quidam, passée sous silence ou déniée par un discours officiel qui en minimise les atrocités, voire en promeut les « aspects positifs ». Nous aborderons ici brièvement la représentation du système léopoldien, de l’implication du Congo dans la Première Guerre mondiale et de la période d’indépendance.
► lire l'article
Moi Vanille, toi Chocolat
Anne Wetsi Mpoma, Militante Bamko-Cran
Un jour lorsque mon fils était en seconde maternelle, il est rentré de l’école triste. Il s’est confié à moi et m’a expliqué qu’il était triste parce que lui et son camarade Bienvenue étaient chocolat mais que tous les autres de la classe, dont son grand ami Diego, étaient vanille. Il était triste de ne pas être comme tous les autres, et en particulier comme son ami Diego avec qui il avait l’habitude de faire les 400 coups.
► lire l'article
[Focus Tunisien.ne.s de Belgique] Peu nombreux, peu connus
Mejed Hamzaoui
Moins connue parce que moins importante numériquement, la migration tunisienne en Belgique mérite notre intérêt. Elle révèle une histoire de trois générations, traversées par ses spécificités, paradoxes, contradictions. En cette 50e année de l’accord bilatéral belgo tunisien pour l’envoi de travailleurs, nous vous proposons une analyse sociologique émaillée de témoignages recueillis à Gand, Renaix, Bruxelles, Liège.
► lire l'article
[Bons tuyaux] Passeurs interculturels
La rédaction
Le CBAI travaille avec des collaborateurs extérieurs remarquables.
Témoins, acteurs, actrices des dynamiques interculturelles bruxelloises, ils portent en eux des ressources précieuses.
Ce qu’ils ont à partager avec nos publics en formation, ce ne sont pas seulement des savoirs théoriques ou techniques, mais bien la synthèse de leur expérience et de leur engagement personnel dans les questions interculturelles.
Les voici rassemblés dans un répertoire prêt-à-porter.
► lire l'article
(Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°349 - Novembre 2019 - Super Hérauts. BD et politique [texte imprimé] . - 2019 . - 42 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : tunisien (Belgique), musée juif de Belgique bandes dessinées super héros colonisation Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Les super héros ne meurent jamais. Tant mieux parce qu’il semble que nos sociétés, de tout temps, aient éprouvé le besoin de s’y raccrocher, en quête de modèles, d’espoir, de paix, de justice – particulièrement quand vient la crise.
En partenariat avec le Musée Juif de Belgique qui présente l’exposition "Super Heroes Never Die. Comics and Jewish Memories" du 8 novembre 2019 au 26 avril 2020, nous sommes partis du même thème pour continuer ensuite sur nos chemins de traverse habituels. La BD pour parler de politique autrement, ou comment des récits cartoonesques abordent des histoires d’exil ou des revendications identitaires. (Cbai)Note de contenu :
[Édito] Le cinéma, cet art subtil du rendez vous
Pascal PEERBOOM
Le Festival Cinéma Méditerranéen se déroulera du 28 novembre au 7 décembre, à Bozar, au cinéma l’Aventure et, pour la première fois, au cinéma Palace pour cause de travaux au Botanique qui avait accueilli toutes les éditions précédentes.
► lire l'article
[Panoramique] Bandes dessinées et mémoires juives
Bruno Benvindo, Sophie Collette et Karim Tall - Musée juif de Belgique
Du 8 novembre 2019 au 26 avril 2020, l’exposition Superheroes Never Die. Comics and Jewish Memories retrace au Musée Juif de Belgique un siècle de bande dessinée américaine. Elle raconte comment tant les comics populaires que la production undergound se sont, depuis leurs débuts et jusqu’à aujourd’hui, entremêlés aux tumultes de l’Histoire.
► lire l'article
Pourquoi ce besoin de super héros ?
Entretien avec William Blanc, Historien médiévaliste spécialiste des cultures populaires
Notre société a toujours eu besoin de personnages super humains pour projeter en eux ses aspirations, ses peurs. William Blanc, médiévaliste (spécialiste qui étudie la perception contemporaine du Moyen Age) passionné de comics, s’est emparé de l’histoire politique des super héros (voir l’encadré). Quels liens entre Superman né en 1933 et les chevaliers terrassant les dragons ? Et surtout, quelle évolution entre les super héros d’hier à aujourd’hui ?
► lire l'article
Exil et voyage intérieur
Entretien avec Erwin Dejasse
Paru à partir de 1982,Sudor Sudaca, Sueur de métèques est un cycle d’histoires qui se ramifient autour du thème de l’exil, où les questions identitaires sont omniprésentes, dépourvues de tout faux semblants. Lecture rapide avec Erwin Dejasse, historien de la bande dessinée et chercheur au FNRS, attaché à l’Université Libre de Bruxelles. Sa thèse portait sur les émotions esthétiques dans l’œuvre de José Muñoz et Carlos Sampayo.
► lire l'article
Dropsie Avenue ou les anti héros du quotidien
François Braem, Anthropologue bédéphile
Douce-amère ou impitoyable, la chronique graphique Dropsie Avenue couvre, sous forme de brèves vignettes, un siècle de la vie d’un quartier du Bronx et de ses habitants.
► lire l'article
La BD (se) joue du réel
Nathalie Caprioli
La BD se moque de la réalité. Et pourtant, dans ce mode narratif où tout peut exister, certains auteurs mêlent mémoire, fragments de vie, journalisme, imaginaire. Signe des temps, l’information dessinée est devenue très à la mode dans les médias – même Imag n’y échappe pas. En quoi ces récits graphiques transmettent autrement, avec quelle portée ? Et en cas de conflit de genre, qui de l’illustration ou de l’information cèdera ? Rencontre avec Paula Bulling, Manu Scordia et Barrack Rima.
► lire l'article
Anamnèses décoloniales
Véronique Bragard, Professeure l’UCL Sabrina Parent Professeure à l’ULB
Les statues de Léopold II, qui continuent de s’exhiber çà et là dans l’espace public belge, traduisent à quel point le système d’exploitation colonial – symbolisé par le « Roi-bâtisseur » – demeure un impensé de la majeure partie de notre société1. Ces dernières années, la bande dessinée et le roman graphique ont semblé plus à même d’adopter des nouveaux regards, interrogateurs et critiques, par rapport à l’histoire coloniale de notre pays, peu ou mal connue du quidam, passée sous silence ou déniée par un discours officiel qui en minimise les atrocités, voire en promeut les « aspects positifs ». Nous aborderons ici brièvement la représentation du système léopoldien, de l’implication du Congo dans la Première Guerre mondiale et de la période d’indépendance.
► lire l'article
Moi Vanille, toi Chocolat
Anne Wetsi Mpoma, Militante Bamko-Cran
Un jour lorsque mon fils était en seconde maternelle, il est rentré de l’école triste. Il s’est confié à moi et m’a expliqué qu’il était triste parce que lui et son camarade Bienvenue étaient chocolat mais que tous les autres de la classe, dont son grand ami Diego, étaient vanille. Il était triste de ne pas être comme tous les autres, et en particulier comme son ami Diego avec qui il avait l’habitude de faire les 400 coups.
► lire l'article
[Focus Tunisien.ne.s de Belgique] Peu nombreux, peu connus
Mejed Hamzaoui
Moins connue parce que moins importante numériquement, la migration tunisienne en Belgique mérite notre intérêt. Elle révèle une histoire de trois générations, traversées par ses spécificités, paradoxes, contradictions. En cette 50e année de l’accord bilatéral belgo tunisien pour l’envoi de travailleurs, nous vous proposons une analyse sociologique émaillée de témoignages recueillis à Gand, Renaix, Bruxelles, Liège.
► lire l'article
[Bons tuyaux] Passeurs interculturels
La rédaction
Le CBAI travaille avec des collaborateurs extérieurs remarquables.
Témoins, acteurs, actrices des dynamiques interculturelles bruxelloises, ils portent en eux des ressources précieuses.
Ce qu’ils ont à partager avec nos publics en formation, ce ne sont pas seulement des savoirs théoriques ou techniques, mais bien la synthèse de leur expérience et de leur engagement personnel dans les questions interculturelles.
Les voici rassemblés dans un répertoire prêt-à-porter.
► lire l'article
(Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600012690 $Périodique Revues Disponible N°350 - Janvier 2020 - Le cerveau aux commandes (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°350 - Janvier 2020 - Le cerveau aux commandes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Importance : 42 p. Présentation : ill. en coul. Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : stéréotype préjugés discrimination médiation culturelle (formation) migrant hospitalité Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : D’où proviennent les stéréotypes ? Ils ne surgissent pas de nulle part, ni par hasard. Tout concourt à ce qu’ils existent : l’éducation, la culture, les médias, les institutions, et aussi les machines de guerre qui alimentent la haine de l’autre et banalisent les discours racistes (on pense aux tweets de Trump and C°).
On construit les SDF, les migrants ou les toxicomanes comme des groupes dont il faut se méfier. Si on parvient à faire bouger ces constructions mentales dans notre cerveau, nécessairement les stéréotypes changeront. Par où commencer ? Eléments de réponse à travers la neurobiologie, la psychologie cognitive et diverses pratiques interculturelles qui nous rendent positivement interdépendants. (Cbai)Note de contenu : [Panoramique] Stéréotypes, préjugés, discriminations. Le cerveau aux commandes
Christine Kulakowski
D’où proviennent les stéréotypes ? Ils ne surgissent pas de nulle part, ni par hasard. Tout concourt à ce qu’ils existent : l’éducation, la culture, les médias, les institutions, et aussi les machines de guerre qui alimentent la haine de l’autre et banalisent les discours racistes (on pense aux tweets de Trump and C°).
On construit les SDF, les migrants ou les toxicomanes comme des groupes dont il faut se méfier. Si on parvient à faire bouger ces constructions mentales dans notre cerveau, nécessairement les stéréotypes changeront. Par où commencer ? Eléments de réponse à travers la neurobiologie, la psychologie cognitive et diverses pratiques interculturelles qui nous rendent positivement interdépendants.
► lire l'article
Quand on croit savoir
Julie Terache, Doctorante en psychologie sociale à l’UCLouvain
On utilise souvent les termes de stéréotypes et de préjugés de façon interchangeable, alors que ces deux notions renvoient bien à des facettes différentes de notre rapport aux autres. En plus d’orienter nos comportements, les stéréotypes et les préjugés sont de véritables leurres produits par notre cerveau. Pourtant, à travers eux, nous avons l’illusion de comprendre notre monde et d’appréhender l’essence de ceux qui le constituent. Comment fonctionne cette tromperie ? Et surtout, comment pouvons-nous la maîtriser ?
► lire l'article
[Préjugés…] Et si on regardait dans le cerveau ?
Pierre Vandenheede, Directeur pédagogique de l’Institut of Neurocognitivism
Pourquoi ? Pourquoi malgré nos convictions humanistes avons-nous fâcheusement tendance à trouver normal que les femmes s’occupent des enfants ? Pourquoi avons peur quand on croise un immigré mal habillé dans une ruelle sombre ? Pourquoi, au contraire, avons-nous plus facilement confiance en quelqu’un qui nous ressemble physiquement ? Mille réponses sont possibles, se pencher sur le cerveau et la psychologie cognitive apportera sont lots de réponses.
► lire l'article
Des théories à la pratique
Mohamed Samadi, Formateur CBAI
La formation d’Agent de développement et de médiation interculturelle (ADMI) du CBAI existe depuis 1983. Elle participe à former des coordinateurs de projets socioculturels dans le contexte bruxellois. En quoi contribue-t-elle à lutter contre l’influence des stéréotypes (cognitifs), des préjugés (affectifs) et de la discrimination ?
► lire l'article
Dans les chaussures de l’autre
Stéphanie Lecesne, Coordinatrice de formation au CEJI
Il serait plus facile de dire : « On a toutes et tous des stéréotypes, on ne peut rien y faire, alors ne faisons rien pour que ça change ! ». Pourtant, comment faire pour déconstruire nos stéréotypes ?
► lire l'article
Comment concilier les mondes ?
Entretien avec Dieudonné Wamu Oyatambwe
Tous les Noirs se sentent-ils blessés par Zwarte Piet ? Tous les Blancs sont-ils racistes dès lors qu’ils convoquent leur culture pour justifier la raison d’être du Père Fouettard ? Comment faire pour empêcher de filer un mauvais coton identitaire ? Une mise en perspective avec Dieudonné Wamu Oyatambwe, docteur en Science politique.
► lire l'article
[Recherche] Décodages de la réalité migratoire
Dora Vilner, Juriste en droit international public (protection des réfugiés)
Au printemps 2015, l’Europe assistait à ses portes à un afflux sans précédent de migrants empruntant les voies irrégulières et meurtrières de l’exil. La mort, cette année-là, de près de 4.000 d’entre eux en mer Méditerranée bouleverse l'opinion publique et le terme de « crise des migrants » fait son entrée dans le discours dominant, autant que dans l’agenda public européen. Quatre ans après le déclenchement de cette dite « crise », une équipe pluridisciplinaire de dix-huit chercheurs académiques européens, experts des questions relatives aux migrations, publie l’ouvrage La crise de l’accueil - Frontières, droits, résistances, sous la direction de Annalisa Lendaro, Claire Rodier et Youri Lou Vertongen, respectivement sociologue, juriste et politiste.
► lire l'article
Faire de l’hospitalité un droit, pas seulement une faveur
Entretien avec Michel Agier
Le 11 octobre 2019, Michel Agier était de passage à Bruxelles à l’invitation de Culture et Démocratie. Pour l’anthropologue français, les nouvelles formes d’accueil des migrants par les citoyens renouent avec l’hospitalité privée, cette pratique sociale qui traverse toutes les cultures, mais elles sont aussi un acte militant contre des Etats qui ont abandonné l’hospitalité publique pour une politique de contrôle migratoire. (Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°350 - Janvier 2020 - Le cerveau aux commandes [texte imprimé] . - 2019 . - 42 p. : ill. en coul.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : stéréotype préjugés discrimination médiation culturelle (formation) migrant hospitalité Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : D’où proviennent les stéréotypes ? Ils ne surgissent pas de nulle part, ni par hasard. Tout concourt à ce qu’ils existent : l’éducation, la culture, les médias, les institutions, et aussi les machines de guerre qui alimentent la haine de l’autre et banalisent les discours racistes (on pense aux tweets de Trump and C°).
On construit les SDF, les migrants ou les toxicomanes comme des groupes dont il faut se méfier. Si on parvient à faire bouger ces constructions mentales dans notre cerveau, nécessairement les stéréotypes changeront. Par où commencer ? Eléments de réponse à travers la neurobiologie, la psychologie cognitive et diverses pratiques interculturelles qui nous rendent positivement interdépendants. (Cbai)Note de contenu : [Panoramique] Stéréotypes, préjugés, discriminations. Le cerveau aux commandes
Christine Kulakowski
D’où proviennent les stéréotypes ? Ils ne surgissent pas de nulle part, ni par hasard. Tout concourt à ce qu’ils existent : l’éducation, la culture, les médias, les institutions, et aussi les machines de guerre qui alimentent la haine de l’autre et banalisent les discours racistes (on pense aux tweets de Trump and C°).
On construit les SDF, les migrants ou les toxicomanes comme des groupes dont il faut se méfier. Si on parvient à faire bouger ces constructions mentales dans notre cerveau, nécessairement les stéréotypes changeront. Par où commencer ? Eléments de réponse à travers la neurobiologie, la psychologie cognitive et diverses pratiques interculturelles qui nous rendent positivement interdépendants.
► lire l'article
Quand on croit savoir
Julie Terache, Doctorante en psychologie sociale à l’UCLouvain
On utilise souvent les termes de stéréotypes et de préjugés de façon interchangeable, alors que ces deux notions renvoient bien à des facettes différentes de notre rapport aux autres. En plus d’orienter nos comportements, les stéréotypes et les préjugés sont de véritables leurres produits par notre cerveau. Pourtant, à travers eux, nous avons l’illusion de comprendre notre monde et d’appréhender l’essence de ceux qui le constituent. Comment fonctionne cette tromperie ? Et surtout, comment pouvons-nous la maîtriser ?
► lire l'article
[Préjugés…] Et si on regardait dans le cerveau ?
Pierre Vandenheede, Directeur pédagogique de l’Institut of Neurocognitivism
Pourquoi ? Pourquoi malgré nos convictions humanistes avons-nous fâcheusement tendance à trouver normal que les femmes s’occupent des enfants ? Pourquoi avons peur quand on croise un immigré mal habillé dans une ruelle sombre ? Pourquoi, au contraire, avons-nous plus facilement confiance en quelqu’un qui nous ressemble physiquement ? Mille réponses sont possibles, se pencher sur le cerveau et la psychologie cognitive apportera sont lots de réponses.
► lire l'article
Des théories à la pratique
Mohamed Samadi, Formateur CBAI
La formation d’Agent de développement et de médiation interculturelle (ADMI) du CBAI existe depuis 1983. Elle participe à former des coordinateurs de projets socioculturels dans le contexte bruxellois. En quoi contribue-t-elle à lutter contre l’influence des stéréotypes (cognitifs), des préjugés (affectifs) et de la discrimination ?
► lire l'article
Dans les chaussures de l’autre
Stéphanie Lecesne, Coordinatrice de formation au CEJI
Il serait plus facile de dire : « On a toutes et tous des stéréotypes, on ne peut rien y faire, alors ne faisons rien pour que ça change ! ». Pourtant, comment faire pour déconstruire nos stéréotypes ?
► lire l'article
Comment concilier les mondes ?
Entretien avec Dieudonné Wamu Oyatambwe
Tous les Noirs se sentent-ils blessés par Zwarte Piet ? Tous les Blancs sont-ils racistes dès lors qu’ils convoquent leur culture pour justifier la raison d’être du Père Fouettard ? Comment faire pour empêcher de filer un mauvais coton identitaire ? Une mise en perspective avec Dieudonné Wamu Oyatambwe, docteur en Science politique.
► lire l'article
[Recherche] Décodages de la réalité migratoire
Dora Vilner, Juriste en droit international public (protection des réfugiés)
Au printemps 2015, l’Europe assistait à ses portes à un afflux sans précédent de migrants empruntant les voies irrégulières et meurtrières de l’exil. La mort, cette année-là, de près de 4.000 d’entre eux en mer Méditerranée bouleverse l'opinion publique et le terme de « crise des migrants » fait son entrée dans le discours dominant, autant que dans l’agenda public européen. Quatre ans après le déclenchement de cette dite « crise », une équipe pluridisciplinaire de dix-huit chercheurs académiques européens, experts des questions relatives aux migrations, publie l’ouvrage La crise de l’accueil - Frontières, droits, résistances, sous la direction de Annalisa Lendaro, Claire Rodier et Youri Lou Vertongen, respectivement sociologue, juriste et politiste.
► lire l'article
Faire de l’hospitalité un droit, pas seulement une faveur
Entretien avec Michel Agier
Le 11 octobre 2019, Michel Agier était de passage à Bruxelles à l’invitation de Culture et Démocratie. Pour l’anthropologue français, les nouvelles formes d’accueil des migrants par les citoyens renouent avec l’hospitalité privée, cette pratique sociale qui traverse toutes les cultures, mais elles sont aussi un acte militant contre des Etats qui ont abandonné l’hospitalité publique pour une politique de contrôle migratoire. (Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600012800 $Périodique Sociologie Disponible N°351 - Mars 2020 - L'islam des jeunes. Made in Bxl (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°351 - Mars 2020 - L'islam des jeunes. Made in Bxl Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 46 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : islam (Bruxelles) intersectionnalité. islam (jeunes) générations rigorisme radicalisation Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Les jeunes musulmans – ou supposés musulmans – de Bruxelles sont autant d’individus porteurs d’une histoire au singulier. Autant de citoyennes et de citoyens qui s’expriment en leur nom propre. Faire partie d’une communauté ne signifie pas “être assigné à résidence”, les stratégies d’appartenance étant aussi diverses que les individus.
Fort de ces nuances, ce dossier prolonge l’expression de jeunes de culture urbaine, citoyens à part entière et non à part (1): quel est leur islam croisé avec les questions que tout jeune se pose? Qu’appellent-ils conflit de loyauté? Comment abordent-ils leur islamité et comment se positionnent-ils par rapport à un islam rigoriste et moralisateur? En quoi les pratiques religieuses rencontrent-elles les pratiques de quartier? (Cbai)Note de contenu : Edito
Des voisins qui voisinent
Christine Schaut
Témoignages autour du projet “Voisins solidaires” initié par Convivial et la Ligue des Familles.
Top & flop
Panoramique
L’islam des jeunes Made in BXL
Morgane Devries
La parole à des jeunes Bruxellois pour connaître leur islam croisé avec les questions que tous jeunes se posent. Face à un islam rigoriste et moralisateur, face aux conflits de loyauté: comment se positionnent-ils?
Musulmans, non musulmans. Nos quotidiens croisés
Morgane Devries
Echos de forums citoyens tenus au sein de l’exposition “L’islam, c’est aussi notre histoire”.
Générations, modes d’emploi
Morgane Devries
Les forums citoyens au cœur de “L’islam c’est aussi notre histoire” ont brassé des vécus aussi variés que la parentalité, la transmission intergénérationnelle, leur insécurité face au marché du travail.
La reconnaissance de l’islam en Belgique. Les grandes étapes
Jean-François HUSSON
Historique de la reconnaissance du culte musulman en Belgique et analyse des questions qui font encore débat.
Des jeunes sous la charme du rigorisme ?
Radouane Attiya
Interview décapante de Radouane Attiya, islamologue et directeur de l’Institut de promotion des formations sur l’islam
T’es QLF ?
Maryam Kolly et Farid El Asri
“Que la famille” ou QLF pour les rappeurs… L’expression fait référence à des interactions et solidarités socio-religieuses dans l’environnement urbains de jeunes.
Une jeunesse à l’épreuve de la radicalisation
Mohamed El Ghalbzouri
La radicalisation est très mal comprise. Mais une prise de conscience sur le terrain commence à émerger suite aux dérives liées à une certaine gestion de cette problématique.
Si c’était à refaire…
Morgane Devries
Deux ans après les forums citoyens sur “L’islam est aussi notre histoire”, nous reprenons contact avec des participants pour savoir ce qu’ils en ont retiré concrètement.
Info dessinée
D’une malle sort une maison
Nathalie Caprioli et monsieur iou
Inscrit dans le programme La Culture a de la classe (COCOF), Beit Project est un projet de pédagogie active basé sur les rencontres, la découverte des altérités et de l’espace public. Ça déménage!
Humeur
Alost, le défilé du mépris
Jean-Philippe Schreiber
Au carnaval d’Alost, on a rendez-vous avec des stéréotypes racistes et antisémites au nom de la défense d’un patrimoine. La liberté d’expression comme cache-sexe de la haine.
Rencontre
Intersectionnalité : de quoi parle-t-on ?
Entretien avec Emilia Roig
La réponse d’Emilia Roig, fondatrice et directrice du Centre pour la Justice intersectionnelle basé à Berlin.
Recherche
Participer ? Négocier ? Concerter ou consulter ?
Alexandre Ansay, Anaïs Carton et Beatriz Camargo
Analyse du CRAcs sur le processus de recueil d’avis autour du décret de Cohésion sociale et de son arrêté d’exécution.
Bon tuyau
Le rap est-il africain ?
Elisa Dassonville (Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°351 - Mars 2020 - L'islam des jeunes. Made in Bxl [texte imprimé] . - 2020 . - 46 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : islam (Bruxelles) intersectionnalité. islam (jeunes) générations rigorisme radicalisation Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Les jeunes musulmans – ou supposés musulmans – de Bruxelles sont autant d’individus porteurs d’une histoire au singulier. Autant de citoyennes et de citoyens qui s’expriment en leur nom propre. Faire partie d’une communauté ne signifie pas “être assigné à résidence”, les stratégies d’appartenance étant aussi diverses que les individus.
Fort de ces nuances, ce dossier prolonge l’expression de jeunes de culture urbaine, citoyens à part entière et non à part (1): quel est leur islam croisé avec les questions que tout jeune se pose? Qu’appellent-ils conflit de loyauté? Comment abordent-ils leur islamité et comment se positionnent-ils par rapport à un islam rigoriste et moralisateur? En quoi les pratiques religieuses rencontrent-elles les pratiques de quartier? (Cbai)Note de contenu : Edito
Des voisins qui voisinent
Christine Schaut
Témoignages autour du projet “Voisins solidaires” initié par Convivial et la Ligue des Familles.
Top & flop
Panoramique
L’islam des jeunes Made in BXL
Morgane Devries
La parole à des jeunes Bruxellois pour connaître leur islam croisé avec les questions que tous jeunes se posent. Face à un islam rigoriste et moralisateur, face aux conflits de loyauté: comment se positionnent-ils?
Musulmans, non musulmans. Nos quotidiens croisés
Morgane Devries
Echos de forums citoyens tenus au sein de l’exposition “L’islam, c’est aussi notre histoire”.
Générations, modes d’emploi
Morgane Devries
Les forums citoyens au cœur de “L’islam c’est aussi notre histoire” ont brassé des vécus aussi variés que la parentalité, la transmission intergénérationnelle, leur insécurité face au marché du travail.
La reconnaissance de l’islam en Belgique. Les grandes étapes
Jean-François HUSSON
Historique de la reconnaissance du culte musulman en Belgique et analyse des questions qui font encore débat.
Des jeunes sous la charme du rigorisme ?
Radouane Attiya
Interview décapante de Radouane Attiya, islamologue et directeur de l’Institut de promotion des formations sur l’islam
T’es QLF ?
Maryam Kolly et Farid El Asri
“Que la famille” ou QLF pour les rappeurs… L’expression fait référence à des interactions et solidarités socio-religieuses dans l’environnement urbains de jeunes.
Une jeunesse à l’épreuve de la radicalisation
Mohamed El Ghalbzouri
La radicalisation est très mal comprise. Mais une prise de conscience sur le terrain commence à émerger suite aux dérives liées à une certaine gestion de cette problématique.
Si c’était à refaire…
Morgane Devries
Deux ans après les forums citoyens sur “L’islam est aussi notre histoire”, nous reprenons contact avec des participants pour savoir ce qu’ils en ont retiré concrètement.
Info dessinée
D’une malle sort une maison
Nathalie Caprioli et monsieur iou
Inscrit dans le programme La Culture a de la classe (COCOF), Beit Project est un projet de pédagogie active basé sur les rencontres, la découverte des altérités et de l’espace public. Ça déménage!
Humeur
Alost, le défilé du mépris
Jean-Philippe Schreiber
Au carnaval d’Alost, on a rendez-vous avec des stéréotypes racistes et antisémites au nom de la défense d’un patrimoine. La liberté d’expression comme cache-sexe de la haine.
Rencontre
Intersectionnalité : de quoi parle-t-on ?
Entretien avec Emilia Roig
La réponse d’Emilia Roig, fondatrice et directrice du Centre pour la Justice intersectionnelle basé à Berlin.
Recherche
Participer ? Négocier ? Concerter ou consulter ?
Alexandre Ansay, Anaïs Carton et Beatriz Camargo
Analyse du CRAcs sur le processus de recueil d’avis autour du décret de Cohésion sociale et de son arrêté d’exécution.
Bon tuyau
Le rap est-il africain ?
Elisa Dassonville (Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013093 $Périodique Sociologie Disponible N°352 - Juin 2020 - L'asile en lambeaux. Aux frontières extérieures de l'UE (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°352 - Juin 2020 - L'asile en lambeaux. Aux frontières extérieures de l'UE Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 43 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : solidarité citoyenne droit d'asile réfugiés covid centres fermés Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : En 2019, dans les cinq camps des îles grecques de la mer Égée, 35 % des réfugiés sont des mineurs d’âge.
Les militants contre l’Europe forteresse qualifient souvent d’inhumaine la politique d’asile de l’UE. Et pourtant, quoi de plus humain que le “chacun chez soi, chacun pour soi”…? Dans ce Panoramique, d’autres adjectifs décrivent cette politique qui se durcit depuis plus de vingt ans : illégale, injuste, vaine.
L’UE a externalisé sa politique de contrôle des frontières et d’accueil, ce qui signifie qu’elle a délégué cette gestion auprès de pays tiers comme la Turquie, la Libye, le Maroc, le Soudan, en soutenant que c’est le bon choix, le seul possible. Ce faisant, elle produit l’existence de ce qu’elle énonce: en prétendant qu’il y a crise migratoire, elle justifie sa politique tout en se déresponsabilisant des conséquences humaines. Notre dossier prend cette logique à contre-pied. (Cbai)Note de contenu : Edito
Directrice du CBAI pendant 20 ans, Christine Kulakowski rejoint les rivages bien mérités de la pension, en laissant son empreinte dans l’asbl.
Top & flop
Panoramique
Aux frontières extérieures de l’UE. L’asile en lambeaux
Comment l’UE justifie sa politique d’externalisation du contrôle des frontières et de l’accueil, en se déresponsabilisant des conséquences humaines.
L’invention politique des frontières
Entretien avec Anne-Laure Amihat Szary
Qu’est-ce qu’une frontière aujourd’hui? Explications avec la géographe Anne-Laure Amilhat Szary.
Externalisation des politiques migratoires de l’UE. Sa mécanique, ses contreparties
Alain Morice
Sous couvert de coopération avec le Maroc, la Turquie, le Niger, le Soudan, l’UE négocie –dans un partenariat inégal- des accords où les candidats à la migration sont les enjeux de leurs marchandages.
Que reste-t-il du droit d’asile ?
Danièle Lochak
La route de l’Europe est plus sévèrement barrée que jamais à toutes celles et ceux qui sont en quête d’une terre d’asile.
A la recherche d’Etats solidaires
Nathalie Caprioli
L’UE a la capacité de répondre à la crise d’accueil. Pourtant, elle ne bouge pas. Analyse des blocages avec deux députées européennes, Saskia Bricmont (Groupe des Verts) et Marie Arena (Alliance des socialistes).
Hongrie. Politique nataliste et antimigrants
François Braem
Comment le gouvernement de Viktor Orban entend “protéger les familles chrétiennes contre le multiculturalisme”.
Hot Spot et covid : cocktail explosif
Rachel Husson
Violences policières, groupes fascistes et pandémie dans le camp des migrants de Moria, à Lesbos. Ne pas nous arrêter de le dénoncer.
Le coût de la sécurisation des frontières
Jean Ziegler
Les dépenses pour la “technologie des frontières” de l’UE devraient atteindre 29 milliards d’euros en 2022.
Mettre fin à l’externalisation
Arnaud Zacharie
Argumentaire serré contre la politique migratoire incohérente de l’UE.
Info dessinée
Le remède, le logement
Illustration Joanna Lorho. Texte Nathalie Caprioli avec Elisa Dassonville
Mettre fin au sans-abrisme à Bruxelles est possible. Démonstration avec l’asbl Infirmiers des rues.
Photoreportage
Citoyens rafistoleurs solidaires
Elio Germani
En attendant des réponses politiques structurelles, des Bruxellois se mobilisent pour soutenir les plus précarisés. Logement et sécurité alimentaire sont prioritaires.
Actu
Centres fermés et politique sanitaire à deux vitesses
Anaïs Carton
“Je suis dans le bloc 3 du centre fermé de Merksplas, c’est une situation critique et dangereuse, comme l’enfer. On est trois par chambre, on va aux mêmes toilettes et douches.” (Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°352 - Juin 2020 - L'asile en lambeaux. Aux frontières extérieures de l'UE [texte imprimé] . - 2020 . - 43 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : solidarité citoyenne droit d'asile réfugiés covid centres fermés Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : En 2019, dans les cinq camps des îles grecques de la mer Égée, 35 % des réfugiés sont des mineurs d’âge.
Les militants contre l’Europe forteresse qualifient souvent d’inhumaine la politique d’asile de l’UE. Et pourtant, quoi de plus humain que le “chacun chez soi, chacun pour soi”…? Dans ce Panoramique, d’autres adjectifs décrivent cette politique qui se durcit depuis plus de vingt ans : illégale, injuste, vaine.
L’UE a externalisé sa politique de contrôle des frontières et d’accueil, ce qui signifie qu’elle a délégué cette gestion auprès de pays tiers comme la Turquie, la Libye, le Maroc, le Soudan, en soutenant que c’est le bon choix, le seul possible. Ce faisant, elle produit l’existence de ce qu’elle énonce: en prétendant qu’il y a crise migratoire, elle justifie sa politique tout en se déresponsabilisant des conséquences humaines. Notre dossier prend cette logique à contre-pied. (Cbai)Note de contenu : Edito
Directrice du CBAI pendant 20 ans, Christine Kulakowski rejoint les rivages bien mérités de la pension, en laissant son empreinte dans l’asbl.
Top & flop
Panoramique
Aux frontières extérieures de l’UE. L’asile en lambeaux
Comment l’UE justifie sa politique d’externalisation du contrôle des frontières et de l’accueil, en se déresponsabilisant des conséquences humaines.
L’invention politique des frontières
Entretien avec Anne-Laure Amihat Szary
Qu’est-ce qu’une frontière aujourd’hui? Explications avec la géographe Anne-Laure Amilhat Szary.
Externalisation des politiques migratoires de l’UE. Sa mécanique, ses contreparties
Alain Morice
Sous couvert de coopération avec le Maroc, la Turquie, le Niger, le Soudan, l’UE négocie –dans un partenariat inégal- des accords où les candidats à la migration sont les enjeux de leurs marchandages.
Que reste-t-il du droit d’asile ?
Danièle Lochak
La route de l’Europe est plus sévèrement barrée que jamais à toutes celles et ceux qui sont en quête d’une terre d’asile.
A la recherche d’Etats solidaires
Nathalie Caprioli
L’UE a la capacité de répondre à la crise d’accueil. Pourtant, elle ne bouge pas. Analyse des blocages avec deux députées européennes, Saskia Bricmont (Groupe des Verts) et Marie Arena (Alliance des socialistes).
Hongrie. Politique nataliste et antimigrants
François Braem
Comment le gouvernement de Viktor Orban entend “protéger les familles chrétiennes contre le multiculturalisme”.
Hot Spot et covid : cocktail explosif
Rachel Husson
Violences policières, groupes fascistes et pandémie dans le camp des migrants de Moria, à Lesbos. Ne pas nous arrêter de le dénoncer.
Le coût de la sécurisation des frontières
Jean Ziegler
Les dépenses pour la “technologie des frontières” de l’UE devraient atteindre 29 milliards d’euros en 2022.
Mettre fin à l’externalisation
Arnaud Zacharie
Argumentaire serré contre la politique migratoire incohérente de l’UE.
Info dessinée
Le remède, le logement
Illustration Joanna Lorho. Texte Nathalie Caprioli avec Elisa Dassonville
Mettre fin au sans-abrisme à Bruxelles est possible. Démonstration avec l’asbl Infirmiers des rues.
Photoreportage
Citoyens rafistoleurs solidaires
Elio Germani
En attendant des réponses politiques structurelles, des Bruxellois se mobilisent pour soutenir les plus précarisés. Logement et sécurité alimentaire sont prioritaires.
Actu
Centres fermés et politique sanitaire à deux vitesses
Anaïs Carton
“Je suis dans le bloc 3 du centre fermé de Merksplas, c’est une situation critique et dangereuse, comme l’enfer. On est trois par chambre, on va aux mêmes toilettes et douches.” (Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013778 $Périodique Sociologie Disponible N°353 - Septembre 2020 - Crise sanitaire. Des lignes ont bougé (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°353 - Septembre 2020 - Crise sanitaire. Des lignes ont bougé Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 43 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : covid-19 crise sanitaire cohésion sociale confinement racisme enseignement et covid-19 enseignement à distance ninos migrants espagnols plurilinguisme Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : D’un côté, la pandémie a mis à l’épreuve la société dans son ensemble. Elle a agi comme révélateur de mécaniques politiques et économiques à l’œuvre, et des inégalités sociales (même devant la mort) méconnues ou qualifiées à tort d’invisibles – celles et ceux qui se retrouvent dans les angles morts des politiques sont pourtant de plus en plus visibles dans le grand dégradé des précarisés cocus. 49 jours de confinement asymétrique nous les ont montrés grandeur nature, à travers notamment la sur-occupation du logement, la peur de la fin du mois, la fracture numérique, ou encore le décrochage scolaire.De l’autre, la pandémie a permis des apprentissages nouveaux dans le chef d’associations et de citoyens, déterminés à répondre aux urgences, à faire preuve de solidarité. Le virus a aussi donné du relief à des priorités, parmi lesquelles nous sortir des systèmes de domination de classe, de race, de genre. Tout un programme!
A défaut de révolution en marche, et s’il faut se rendre à un principe de conséquence, des lignes ont belle et bien bougé. Méchamment ou pour un mieux. Ce dossier valorise la façon dont l’associatif et des collectifs ont su s’adapter, et se penche sur ce que les changements disent en creux de notre société vulnérable. Solidarité et vigilance. (Cbai)Note de contenu : Edito
On ne veut pas de nous
Mamadou Bah
Les catégories sociales les plus vulnérables, dont les contributions sont jugées inessentielles, sont repoussées de plus en plus dans l’ombre.
Top & flop
Panoramique
Crise sanitaire. Des lignes ont bougé
Ce que la crise socio-sanitaire dit en creux de notre société vulnérable. Solidarité et vigilance.
La société civile, victime mais aussi actrice de la crise sanitaire
Benjamin Biard et Vincent Lefebve
Dans quelle mesure peut-on considérer la crise comme le catalyseur d’une nouvelle configuration socio-politique?
Les limites de la politique de cohésion sociale
Muriel Sacco
Les causes et conséquences des (absences de) choix en matière de cohésion sociale sont à questionner.
Espaces de parole, espaces verts
Nathalie Caprioli
7 AMO et associations bruxelloises racontent comment elles se sont adaptées au contexte de la crise socio-sanitaire et ont répondu aux nouveaux défis… avec les moyens du bord.
Confinement et racisme
Anne-Claire Orban
Les populations de quartiers précarisés subissent particulièrement les effets de la pandémie mondiale. Une occasion de revenir sur les inégalités sociales qui engendrent des inégalitaires sanitaires.
En-s@igner en temps de Covid
Francine Bolle
L’enseignement virtuel soulève beaucoup de questions pédagogiques et sociales. Un débat démocratique s’impose.
Promenade d’un scrutateur
Massimo Bortolini
Dans Bruxelles confinée, les murs nous parlent, tels des dazibaos.
Histoire de
Le retour des niños devenus grands
Anne Morelli
La guerre civile espagnole (1936-1939) entraina une présence d’enfants réfugiés en Belgique. Après 1939, certains furent obligés de rentrer au pays, dans une misère absolue qu’ils fuiront à nouveau.
En pratique
Hospitalité langagière
Julie Bertone
Une remise en question de l’enseignement des langues en valorisant la diversité des apprenants. Analyse et parole d’étudiants étrangers.
Info dessinée
Chawni Shorab – Grez-Doiceau
monsieur iou, Pascaline Adamantidis, Nathalie Caprioli
Une remise en question de l’enseignement des langues en valorisant la diversité des apprenants. Analyse et parole d’étudiants étrangers. (Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°353 - Septembre 2020 - Crise sanitaire. Des lignes ont bougé [texte imprimé] . - 2020 . - 43 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : covid-19 crise sanitaire cohésion sociale confinement racisme enseignement et covid-19 enseignement à distance ninos migrants espagnols plurilinguisme Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : D’un côté, la pandémie a mis à l’épreuve la société dans son ensemble. Elle a agi comme révélateur de mécaniques politiques et économiques à l’œuvre, et des inégalités sociales (même devant la mort) méconnues ou qualifiées à tort d’invisibles – celles et ceux qui se retrouvent dans les angles morts des politiques sont pourtant de plus en plus visibles dans le grand dégradé des précarisés cocus. 49 jours de confinement asymétrique nous les ont montrés grandeur nature, à travers notamment la sur-occupation du logement, la peur de la fin du mois, la fracture numérique, ou encore le décrochage scolaire.De l’autre, la pandémie a permis des apprentissages nouveaux dans le chef d’associations et de citoyens, déterminés à répondre aux urgences, à faire preuve de solidarité. Le virus a aussi donné du relief à des priorités, parmi lesquelles nous sortir des systèmes de domination de classe, de race, de genre. Tout un programme!
A défaut de révolution en marche, et s’il faut se rendre à un principe de conséquence, des lignes ont belle et bien bougé. Méchamment ou pour un mieux. Ce dossier valorise la façon dont l’associatif et des collectifs ont su s’adapter, et se penche sur ce que les changements disent en creux de notre société vulnérable. Solidarité et vigilance. (Cbai)Note de contenu : Edito
On ne veut pas de nous
Mamadou Bah
Les catégories sociales les plus vulnérables, dont les contributions sont jugées inessentielles, sont repoussées de plus en plus dans l’ombre.
Top & flop
Panoramique
Crise sanitaire. Des lignes ont bougé
Ce que la crise socio-sanitaire dit en creux de notre société vulnérable. Solidarité et vigilance.
La société civile, victime mais aussi actrice de la crise sanitaire
Benjamin Biard et Vincent Lefebve
Dans quelle mesure peut-on considérer la crise comme le catalyseur d’une nouvelle configuration socio-politique?
Les limites de la politique de cohésion sociale
Muriel Sacco
Les causes et conséquences des (absences de) choix en matière de cohésion sociale sont à questionner.
Espaces de parole, espaces verts
Nathalie Caprioli
7 AMO et associations bruxelloises racontent comment elles se sont adaptées au contexte de la crise socio-sanitaire et ont répondu aux nouveaux défis… avec les moyens du bord.
Confinement et racisme
Anne-Claire Orban
Les populations de quartiers précarisés subissent particulièrement les effets de la pandémie mondiale. Une occasion de revenir sur les inégalités sociales qui engendrent des inégalitaires sanitaires.
En-s@igner en temps de Covid
Francine Bolle
L’enseignement virtuel soulève beaucoup de questions pédagogiques et sociales. Un débat démocratique s’impose.
Promenade d’un scrutateur
Massimo Bortolini
Dans Bruxelles confinée, les murs nous parlent, tels des dazibaos.
Histoire de
Le retour des niños devenus grands
Anne Morelli
La guerre civile espagnole (1936-1939) entraina une présence d’enfants réfugiés en Belgique. Après 1939, certains furent obligés de rentrer au pays, dans une misère absolue qu’ils fuiront à nouveau.
En pratique
Hospitalité langagière
Julie Bertone
Une remise en question de l’enseignement des langues en valorisant la diversité des apprenants. Analyse et parole d’étudiants étrangers.
Info dessinée
Chawni Shorab – Grez-Doiceau
monsieur iou, Pascaline Adamantidis, Nathalie Caprioli
Une remise en question de l’enseignement des langues en valorisant la diversité des apprenants. Analyse et parole d’étudiants étrangers. (Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013809 $Périodique Sociologie Disponible N°354 - Décembre 2020 - Antiracismes : comment faire front commun (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°354 - Décembre 2020 - Antiracismes : comment faire front commun Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 42 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : antiracisme racisme sans-papiers Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Par nature, les mouvements antiracistes partagent le même objectif: mettre le racisme à genoux. Toutefois, leurs discours et arguments, leurs ressorts et pratiques, leurs représentations et perceptions ont emprunté des chemins différents. Nous avons suivi quelques désaccords pour voir où ils nous mènent.
L’antiracisme universaliste a-t-il vécu? En tant que militant antiraciste, comment reconnaître la diversité des discriminations et oppressions tout en soutenant la convergence des luttes? Certains collectifs de racisés sont-ils devenus des clubs d’autodéfense d’une minorité ? Dans ces débats à prendre au sérieux, quelle est la capacité de chacun à inclure les points de vue minoritaires ou divergents?
Pour comprendre les polarisations en cours et les mutations du logiciel antiraciste, nous nous sommes basés sur la “marque de fabrique” du CBAI : l’interculturalité, en éclairant les points communs et différences avec l’intersectionnalité. (Cbai)Note de contenu : Edito
Du phantasme à la réalité
Alexandre Ansay
Passer du phantasme de l’autre à sa réalité… par la rencontre qui nous ouvre à l’altérité de l’autre et à sa complexité.
Top & flop
Panoramique
Antiracismes. Comment faire front commun
Lecture interculturelle des polarisations et mutations en cours dans les mouvements antiracistes, en éclairant les points communs et différences avec l’intersectionnalité.
75 ans d’antiracismes
Entretiens avec Anne Morelli, Jean-Marie Faux, Christine Kulakowski, Billy Kalonji, Geneviève Kaninda, Esther Kouablan
Les grands moments phare de l’antiracisme en Belgique commentés par des militants: de la création du MRAX à la manifestation Black Lives Matter en passant par la coalition NAPAR.
Plans d’action pour la lutte contre le racisme. Forces et faiblesses
Alessandro Mazzola
Analyse de contenu de 3 plans d’action contre le racisme à l’échelle européenne et belge.
Un combat pluriversel pour la justice sociale
Ghalia Djelloul
Le Mémorandum pour un Plan interfédéral d’actions contre le racisme est porté par la coalition NAPAR – expérience de “partage” de la lutte et non de “convergence”.
Sur la racialisation des relations sociales
Eric Buyssens et Paola Peebles Vlahovic
Lecture critique de l’intersectionnalité: en revendiquant des aides ciblées, cette vision se marie au modèle néolibéral mondialisé, au détriment des politiques redistributives.
Lutte et rencontre
Alexandre Ansay
En quoi l’intersectionnalité interpelle les acteurs traditionnels des luttes progressistes?
Il faut porter plainte
Nathalie Caprioli
Déposer un signalement pour discrimination à l’emploi ressemble à un parcours d’obstacles. Comment s’accrocher ?
Les mesurettes des médias
Sabri Derinöz
La diversité dans les médias: peu de progrès malgré une prise de conscience.
De colorblind à colorfriend
Henri Goldman
La société n’a rien à gagner à encourager, voire à contraindre les groupes minoritaires à renoncer à leurs ressources culturelles propres.
Portrait
Bruxelles, mon port d’attache
Elio Germani
Le plasticien Younes Baba Ali se glisse dans les interstices de la capitale européenne pour se confronter aux questions d’immigration ou aux dysfonctionnement sociopolitiques. Il a de quoi faire.
Info dessinée
Le bureau d’étude des sans-papiers
Joanna Lorho et Nathalie Caprioli
Depuis mars 2018, les personnes sans-papiers ont créé leur bureau d’étude. Leurs analyses et revendications sortent dans les médias… en attendant des retombées politiques.
(cbai.be)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°354 - Décembre 2020 - Antiracismes : comment faire front commun [texte imprimé] . - 2021 . - 42 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : antiracisme racisme sans-papiers Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Par nature, les mouvements antiracistes partagent le même objectif: mettre le racisme à genoux. Toutefois, leurs discours et arguments, leurs ressorts et pratiques, leurs représentations et perceptions ont emprunté des chemins différents. Nous avons suivi quelques désaccords pour voir où ils nous mènent.
L’antiracisme universaliste a-t-il vécu? En tant que militant antiraciste, comment reconnaître la diversité des discriminations et oppressions tout en soutenant la convergence des luttes? Certains collectifs de racisés sont-ils devenus des clubs d’autodéfense d’une minorité ? Dans ces débats à prendre au sérieux, quelle est la capacité de chacun à inclure les points de vue minoritaires ou divergents?
Pour comprendre les polarisations en cours et les mutations du logiciel antiraciste, nous nous sommes basés sur la “marque de fabrique” du CBAI : l’interculturalité, en éclairant les points communs et différences avec l’intersectionnalité. (Cbai)Note de contenu : Edito
Du phantasme à la réalité
Alexandre Ansay
Passer du phantasme de l’autre à sa réalité… par la rencontre qui nous ouvre à l’altérité de l’autre et à sa complexité.
Top & flop
Panoramique
Antiracismes. Comment faire front commun
Lecture interculturelle des polarisations et mutations en cours dans les mouvements antiracistes, en éclairant les points communs et différences avec l’intersectionnalité.
75 ans d’antiracismes
Entretiens avec Anne Morelli, Jean-Marie Faux, Christine Kulakowski, Billy Kalonji, Geneviève Kaninda, Esther Kouablan
Les grands moments phare de l’antiracisme en Belgique commentés par des militants: de la création du MRAX à la manifestation Black Lives Matter en passant par la coalition NAPAR.
Plans d’action pour la lutte contre le racisme. Forces et faiblesses
Alessandro Mazzola
Analyse de contenu de 3 plans d’action contre le racisme à l’échelle européenne et belge.
Un combat pluriversel pour la justice sociale
Ghalia Djelloul
Le Mémorandum pour un Plan interfédéral d’actions contre le racisme est porté par la coalition NAPAR – expérience de “partage” de la lutte et non de “convergence”.
Sur la racialisation des relations sociales
Eric Buyssens et Paola Peebles Vlahovic
Lecture critique de l’intersectionnalité: en revendiquant des aides ciblées, cette vision se marie au modèle néolibéral mondialisé, au détriment des politiques redistributives.
Lutte et rencontre
Alexandre Ansay
En quoi l’intersectionnalité interpelle les acteurs traditionnels des luttes progressistes?
Il faut porter plainte
Nathalie Caprioli
Déposer un signalement pour discrimination à l’emploi ressemble à un parcours d’obstacles. Comment s’accrocher ?
Les mesurettes des médias
Sabri Derinöz
La diversité dans les médias: peu de progrès malgré une prise de conscience.
De colorblind à colorfriend
Henri Goldman
La société n’a rien à gagner à encourager, voire à contraindre les groupes minoritaires à renoncer à leurs ressources culturelles propres.
Portrait
Bruxelles, mon port d’attache
Elio Germani
Le plasticien Younes Baba Ali se glisse dans les interstices de la capitale européenne pour se confronter aux questions d’immigration ou aux dysfonctionnement sociopolitiques. Il a de quoi faire.
Info dessinée
Le bureau d’étude des sans-papiers
Joanna Lorho et Nathalie Caprioli
Depuis mars 2018, les personnes sans-papiers ont créé leur bureau d’étude. Leurs analyses et revendications sortent dans les médias… en attendant des retombées politiques.
(cbai.be)
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013529 $Périodique Sociologie Disponible N°355 - Janvier-Février 2021 - Soignants, soignés. Plaidoyer pour les médiateurs (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°355 - Janvier-Février 2021 - Soignants, soignés. Plaidoyer pour les médiateurs Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 46 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : soins de santé Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Lorsqu’on consulte celles et ceux qui réparent les âmes ou les corps abîmés, on escompte une relation de respect réciproque et d’empathie. Comme l’exprime la professeure de médecine Lila Bouadma dans son émouvant portrait publié dans Le Monde, « un malade n’est pas qu’un corps, une pathologie.
C’est une relation qui va au-delà du soin. Une relation humaine, tout simplement. »[1] Une relation humaine qui se construit au cas par cas, en tenant compte du « sac à dos » que chacun transporte, rempli de ses références culturelles et linguistiques, de ses croyances, de ses souvenirs, de ses fêlures aussi.
Dans ce dossier qui associe santé et interculturalité, nous avons accordé une large place aux pratiques des intermédiaires interculturels – médiateurs et interprètes – entre le patient et le personnel médical. Ce sont toutes et tous des « agents du monde vécu » qui avancent sur un fil. Leur mission est d’expliquer la différence entre le monde tel que vu par la personne soignée et le monde tel que balisé par l’institution.
Parce que souvent méconnus ou invisibles, parce que quasi absents des débats sur les politiques de santé publique, nous avons voulu valoriser ces métiers indispensables.
(cbai.be)Note de contenu : La reconnaissance des uns, le déni des autres
Mélody NENZi
À y regarder de plus près, il existe différents niveaux d’enfer en cette période difficile où chacun y va de son « ras-le-bol». Par exemple, dans mon enfer particulier, il m’est loisible de me balader au parc avec ma grand-mère et lui faire profiter de mes filles. Je m’organise pour faire quelques courses pour ma mère. Et si mes filles sont en « teams » à la maison, je télétravaille aussi.
► lire l'article
Médiation interculturelle au CHR de Liège Un outil pour les patients et l’institution
Annie CORNET, Christine TOMAT et Aysel Uzun
Pour gérer la diversité culturelle des patients et usagers, l’hôpital public CHR de Liège a été parmi les premiers à mettre en place un service
de médiateurs interculturels : personnel de la même nationalité et culture que les patients qui sert d’interprète, mais aussi d’intermédiaire culturel, entre le patient et le personnel soignant. La plus-value de la médiation
se mesure par un gain de temps pour le personnel soignant, des séjours
plus courts pour le patient, une diminution des ré-hospitalisations,
une meilleure participation au traitement et un travail plus confortable, sécurisant et serein pour le personnel soignant. Si, initialement,
la médiation est conçue comme un service aux usagers,
elle s’avère également être un outil pour l’institution1.
► lire l'article
Réparer les liens de confiance abîmés
Entretien avec Reza Kazemzadeh
Reza Kazemzadeh dirige depuis six ans le Centre Exil, association bruxelloise de santé mentale spécialisée dans la réhabilitation de réfugiés ayant été victimes de violence et/ou de torture.
Le Centre travaille en réseau et en multidisciplinarité afin de prendre en compte les dimensions juridiques, sociales, médicales et psychologiques de ses patients. Quand il exerce comme psychothérapeute, Reza puise – au-delà de sa formation universitaire – dans ses racines iraniennes et son propre exil.
► lire l'article
« Ne suis-je pas HUMAIN ? »
Jonathan HERMAN et Rachel HUSSON
Quand nous étions encore étudiants, nous discutions souvent des enjeux de santé mentale d’une part, et migratoires d’autre part. Ainsi, fin 2020, au milieu d’une pandémie mondiale, nous avons voulu prendre contact avec des personnes en transit pour voir comment elles allaient, vraiment, et comment elles évoquaient les violences dont elles ont été – ou sont toujours – témoins. Pour ce faire, nous avons contacté des anciens collègues bénévoles présents à Lesbos. Ils nous ont mis en contact avec des migrants qui sont passés par le camp de Moria ou qui y sont toujours. Nous aspirons dans cette contribution à revenir sur certains moments forts de nos entretiens avec six des témoins que nous avons rencontrés, pour mettre en lumière à quel point la santé mentale des migrants peut être soumise à rude épreuve, sans avoir accès en général à un soutien adapté.
► lire l'article
La résilience psychosociale en 5 QUESTIONS
Danièle CRUTZEN
Le Centre MENA Les Hirondelles1 accueille 29 mineurs étrangers non accompagnés, pour la plupart affectés par des stress intenses et des insomnies chroniques ; un grand nombre d’entre eux souffre de stress post-traumatique. Ces dernières années, l’augmentation des violences aggravées sur le trajet d’exil oriente l’accueil vers des profils de moins en moins réceptifs à nos stratégies psychothérapeutiques. Guidés par l’intention d’écouter les jeunes qui secouent nos évidences, nous remettons l’ouvrage sur le métier.
► lire l'article
À leurs corps DEFENDANT
Anaïs CARTON & Pauline FONSNY
À travers nos pratiques professionnelles et nos réseaux de militances, nous sommes engagées dans la lutte contre les centres fermés.
Dans cette perspective nous souhaitions mettre en place, l’an dernier, un atelier de création radiophonique collective, avec une dizaine de personnes qui ont transité par ces centres, sur la question des impacts psychologiques de l’enfermement. De ce projet est finalement né le documentaire radiophonique, À leurs corps défendant. Arrêt sur notre méthodologie.
► lire l'article
Les sentinelles de l’ONE
Nadera CHILAH & Françoise DUBOIS
L’Office de la naissance et de l’enfance (ONE) est un service universel gratuit offert à toutes les familles de la Fédération Wallonie-Bruxelles,
laquelle a enregistré 50.258 naissances en 2019. Largement implanté dans les quartiers pour se rendre accessible, l’ONE a pour mission de favoriser le bien-être de l’enfant de 0 à 6 ans, à la maison et dans les milieux d’accueil. Sur son site, il présente ses 3 priorités en ces termes : soutien à la parentalité, inclusion et réduction des inégalités sociales. C’est dans un cadre de médecine préventive et non curative que l’ONE travaille.
Nadera Chilah et Françoise Dubois, deux collaboratrices d’une consultation pour enfants de Berchem-Sainte-Agathe, racontent leurs pratiques.
► lire l'article
Rendre les soins plus Inclusifs
Anne-Claire ORBAN
À l’heure où la pandémie braque les projecteurs sur les institutions de soins de santé, il est intéressant de se rappeler des constats qui persistent : le secteur des soins de santé présente malaises et crises latentes, notamment liés au racisme. Ces violences racistes n’épargnent ni les patients,
ni les soignants. Quels sont les mécanismes qui reproduisent un accès différencié aux soins et un traitement inégal entre les membres du personnel ? Les institutions ont-elles tendance à faire passer le bien-être de leur personnel au second plan ?
► lire l'article
Interprètes dans les hôpitaux se faire une place
Nicolas BRUWIER
Depuis près de 30 ans, des interprètes professionnels sillonnent Bruxelles au quotidien pour intervenir dans les différents secteurs du non-marchand. Historiquement, le secteur de la santé reste très demandeur. Quelle reconnaissance et quelle place ces interprètes reçoivent-ils de la part des patients et du corps soignant ? Témoignages sur comment installer sa fonction au sein d’une équipe déjà existante.
► lire l'article
[Migration] De nouveaux immigrés espagnols en Belgique
Anne MORELLI
L’exemple espagnol nous montre qu’un pays n’est pas éternellement à classer dans les pays d’émigration ou d’immigration. Au gré de la situation sociale et économique (voire politique), il peut être alternativement l’un puis l’autre. L’ouvrage d’Ana Fernández Asperilla et de Susana Alba sur la « croissance économique et la nouvelle émigration espagnole » nous en apporte une preuve convaincante.
(cbai.be)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°355 - Janvier-Février 2021 - Soignants, soignés. Plaidoyer pour les médiateurs [texte imprimé] . - 2021 . - 46 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : soins de santé Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Lorsqu’on consulte celles et ceux qui réparent les âmes ou les corps abîmés, on escompte une relation de respect réciproque et d’empathie. Comme l’exprime la professeure de médecine Lila Bouadma dans son émouvant portrait publié dans Le Monde, « un malade n’est pas qu’un corps, une pathologie.
C’est une relation qui va au-delà du soin. Une relation humaine, tout simplement. »[1] Une relation humaine qui se construit au cas par cas, en tenant compte du « sac à dos » que chacun transporte, rempli de ses références culturelles et linguistiques, de ses croyances, de ses souvenirs, de ses fêlures aussi.
Dans ce dossier qui associe santé et interculturalité, nous avons accordé une large place aux pratiques des intermédiaires interculturels – médiateurs et interprètes – entre le patient et le personnel médical. Ce sont toutes et tous des « agents du monde vécu » qui avancent sur un fil. Leur mission est d’expliquer la différence entre le monde tel que vu par la personne soignée et le monde tel que balisé par l’institution.
Parce que souvent méconnus ou invisibles, parce que quasi absents des débats sur les politiques de santé publique, nous avons voulu valoriser ces métiers indispensables.
(cbai.be)Note de contenu : La reconnaissance des uns, le déni des autres
Mélody NENZi
À y regarder de plus près, il existe différents niveaux d’enfer en cette période difficile où chacun y va de son « ras-le-bol». Par exemple, dans mon enfer particulier, il m’est loisible de me balader au parc avec ma grand-mère et lui faire profiter de mes filles. Je m’organise pour faire quelques courses pour ma mère. Et si mes filles sont en « teams » à la maison, je télétravaille aussi.
► lire l'article
Médiation interculturelle au CHR de Liège Un outil pour les patients et l’institution
Annie CORNET, Christine TOMAT et Aysel Uzun
Pour gérer la diversité culturelle des patients et usagers, l’hôpital public CHR de Liège a été parmi les premiers à mettre en place un service
de médiateurs interculturels : personnel de la même nationalité et culture que les patients qui sert d’interprète, mais aussi d’intermédiaire culturel, entre le patient et le personnel soignant. La plus-value de la médiation
se mesure par un gain de temps pour le personnel soignant, des séjours
plus courts pour le patient, une diminution des ré-hospitalisations,
une meilleure participation au traitement et un travail plus confortable, sécurisant et serein pour le personnel soignant. Si, initialement,
la médiation est conçue comme un service aux usagers,
elle s’avère également être un outil pour l’institution1.
► lire l'article
Réparer les liens de confiance abîmés
Entretien avec Reza Kazemzadeh
Reza Kazemzadeh dirige depuis six ans le Centre Exil, association bruxelloise de santé mentale spécialisée dans la réhabilitation de réfugiés ayant été victimes de violence et/ou de torture.
Le Centre travaille en réseau et en multidisciplinarité afin de prendre en compte les dimensions juridiques, sociales, médicales et psychologiques de ses patients. Quand il exerce comme psychothérapeute, Reza puise – au-delà de sa formation universitaire – dans ses racines iraniennes et son propre exil.
► lire l'article
« Ne suis-je pas HUMAIN ? »
Jonathan HERMAN et Rachel HUSSON
Quand nous étions encore étudiants, nous discutions souvent des enjeux de santé mentale d’une part, et migratoires d’autre part. Ainsi, fin 2020, au milieu d’une pandémie mondiale, nous avons voulu prendre contact avec des personnes en transit pour voir comment elles allaient, vraiment, et comment elles évoquaient les violences dont elles ont été – ou sont toujours – témoins. Pour ce faire, nous avons contacté des anciens collègues bénévoles présents à Lesbos. Ils nous ont mis en contact avec des migrants qui sont passés par le camp de Moria ou qui y sont toujours. Nous aspirons dans cette contribution à revenir sur certains moments forts de nos entretiens avec six des témoins que nous avons rencontrés, pour mettre en lumière à quel point la santé mentale des migrants peut être soumise à rude épreuve, sans avoir accès en général à un soutien adapté.
► lire l'article
La résilience psychosociale en 5 QUESTIONS
Danièle CRUTZEN
Le Centre MENA Les Hirondelles1 accueille 29 mineurs étrangers non accompagnés, pour la plupart affectés par des stress intenses et des insomnies chroniques ; un grand nombre d’entre eux souffre de stress post-traumatique. Ces dernières années, l’augmentation des violences aggravées sur le trajet d’exil oriente l’accueil vers des profils de moins en moins réceptifs à nos stratégies psychothérapeutiques. Guidés par l’intention d’écouter les jeunes qui secouent nos évidences, nous remettons l’ouvrage sur le métier.
► lire l'article
À leurs corps DEFENDANT
Anaïs CARTON & Pauline FONSNY
À travers nos pratiques professionnelles et nos réseaux de militances, nous sommes engagées dans la lutte contre les centres fermés.
Dans cette perspective nous souhaitions mettre en place, l’an dernier, un atelier de création radiophonique collective, avec une dizaine de personnes qui ont transité par ces centres, sur la question des impacts psychologiques de l’enfermement. De ce projet est finalement né le documentaire radiophonique, À leurs corps défendant. Arrêt sur notre méthodologie.
► lire l'article
Les sentinelles de l’ONE
Nadera CHILAH & Françoise DUBOIS
L’Office de la naissance et de l’enfance (ONE) est un service universel gratuit offert à toutes les familles de la Fédération Wallonie-Bruxelles,
laquelle a enregistré 50.258 naissances en 2019. Largement implanté dans les quartiers pour se rendre accessible, l’ONE a pour mission de favoriser le bien-être de l’enfant de 0 à 6 ans, à la maison et dans les milieux d’accueil. Sur son site, il présente ses 3 priorités en ces termes : soutien à la parentalité, inclusion et réduction des inégalités sociales. C’est dans un cadre de médecine préventive et non curative que l’ONE travaille.
Nadera Chilah et Françoise Dubois, deux collaboratrices d’une consultation pour enfants de Berchem-Sainte-Agathe, racontent leurs pratiques.
► lire l'article
Rendre les soins plus Inclusifs
Anne-Claire ORBAN
À l’heure où la pandémie braque les projecteurs sur les institutions de soins de santé, il est intéressant de se rappeler des constats qui persistent : le secteur des soins de santé présente malaises et crises latentes, notamment liés au racisme. Ces violences racistes n’épargnent ni les patients,
ni les soignants. Quels sont les mécanismes qui reproduisent un accès différencié aux soins et un traitement inégal entre les membres du personnel ? Les institutions ont-elles tendance à faire passer le bien-être de leur personnel au second plan ?
► lire l'article
Interprètes dans les hôpitaux se faire une place
Nicolas BRUWIER
Depuis près de 30 ans, des interprètes professionnels sillonnent Bruxelles au quotidien pour intervenir dans les différents secteurs du non-marchand. Historiquement, le secteur de la santé reste très demandeur. Quelle reconnaissance et quelle place ces interprètes reçoivent-ils de la part des patients et du corps soignant ? Témoignages sur comment installer sa fonction au sein d’une équipe déjà existante.
► lire l'article
[Migration] De nouveaux immigrés espagnols en Belgique
Anne MORELLI
L’exemple espagnol nous montre qu’un pays n’est pas éternellement à classer dans les pays d’émigration ou d’immigration. Au gré de la situation sociale et économique (voire politique), il peut être alternativement l’un puis l’autre. L’ouvrage d’Ana Fernández Asperilla et de Susana Alba sur la « croissance économique et la nouvelle émigration espagnole » nous en apporte une preuve convaincante.
(cbai.be)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600015244 $Périodique Sociologie Disponible N°356 - Mars-Avril 2021 - Mouvances décoloniales. Rébellion des oubliés (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°356 - Mars-Avril 2021 - Mouvances décoloniales. Rébellion des oubliés Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 42 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : décolonisation primo-arrivants (accueil) Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Un passé colonial qui ne passe pas… Un universalisme qui ne tient pas ses promesses… En réponse, des collectifs décoloniaux montent au créneau pour enrayer la roue de la domination raciale. Les enjeux : décoloniser les manuels scolaires, l’espace public, les mentalités. Pour cela, ils renversent les perspectives et prennent le racisme pour ce qu’il est – un problème structurel qui s’inscrit dans le fonctionnement de la société, et pas juste un fléau moral.
La parole des Afrodescendants décoloniaux est à l’image de cette hache de parade de la fin du XIXe siècle, amenée du Congo à Anvers par un collectionneur (1). Leurs mots jaillissent avec puissance, affilés comme une lame, déterminés à trancher les nœuds serrés du racisme et des dominations. Les personnes racisées sans voix n’existent pas ; leur problème est leur trop rare accès à la tribune parce que déconsidérées, oubliées, invisibilisées.
Certains discours et actions de décoloniaux peuvent provoquer stupeur et tremblements, mais aussi incompréhensions et désaccords quand ils remettent par exemple en question des décennies de politiques antiracistes ou génèrent une concurrence entre victimes. Ce qui nous amène à considérer que les luttes antiracistes doivent autant modifier les profondeurs de champ que rester en débat. (Cbai)Note de contenu : Edito
Qui parle au nom de qui ?
Jonathan Unger
De plus en plus souvent, le parler pour est contesté. L’exigence d’une intégration des personnes concernées dans la conception, la mise en œuvre ou l’évaluation des décisions se fait grandissante.
Top & flop
Panoramique
Mouvances décoloniales. Rébellion des oubliés
Les personnes racisées sans voix n’existent pas; le problème est leur trop rare accès à la tribune, parce que déconsidérées, oubliées, invisibilisées.
Ceci n’est pas un duel
Entretien avec Emmanuelle Nsunda & Marco Martiniello
Echange de questionnements et de points de vue sur les mouvances décoloniales entre Emmanuelle Nsunda, jeune décoloniale féministe, et Marco Martiniello, sociologue engagé.
Le “tournant décolonial” dans la pensée latino-américaine
Luis Martinez Andrade
Un regard sur les fondements historiques de la pensée décoloniale partie d’Amérique latine, avec une liste de penseurs de référence pour creuser la question.
Génération décoloniale 2.0
Nathalie Caprioli
7 entrepreneurs de la cause décoloniale s’expriment sur leur militantisme : leurs moyens, leur représentativité, leur force et leurs faiblesses.
“La traite a engendré le racisme et non le contraire”
Entretien avec Catherine Coquery-Vidrovitch
Pour en finir avec les dissensions entre Afrodescendants d’origine marocaine et Afrodescendants noirs sur l’histoire de l’esclavage.
Une lecture de “La dignité ou la mort”
Alexandre Ansay
Une lecture interculturelle de l’essai du philosophe Norman Ajari.
Les luttes décoloniales perçues de Kinshasa
Oscar Bisimwa
“C’est un mouvement sain et louable. Mais il ne faut pas demander aux Congolais de faire du mimétisme.”
Esprit(s) du temps
Entretiens avec Rosine Mbakam & Rob Jacobs
Deux courts-métrages à découvrir : La majorité invisible de Rosine Mbakam, et Dans de nombreuses mains du collectif Faire-Part.
Parcours d’accueil
Une politique d’homogénéisation culturelle?
Noé Grenier
La tâche des formateurs du parcours d’accueil est complexe: comment se donner le temps et les moyens de décrypter des incompatibilités de valeurs avec les migrants sans essentialiser les cultures?
Info dessinée
Parents rwandais “désenchantés”
Joanna Lorho et Nathalie Caprioli
Que sont devenus les enfants disparus il y a 27 ans, lors du génocide des Tutsis? L’asbl CCMES s’en préoccupe, en Belgique et au Rwanda. (Cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°356 - Mars-Avril 2021 - Mouvances décoloniales. Rébellion des oubliés [texte imprimé] . - 2021 . - 42 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : décolonisation primo-arrivants (accueil) Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Un passé colonial qui ne passe pas… Un universalisme qui ne tient pas ses promesses… En réponse, des collectifs décoloniaux montent au créneau pour enrayer la roue de la domination raciale. Les enjeux : décoloniser les manuels scolaires, l’espace public, les mentalités. Pour cela, ils renversent les perspectives et prennent le racisme pour ce qu’il est – un problème structurel qui s’inscrit dans le fonctionnement de la société, et pas juste un fléau moral.
La parole des Afrodescendants décoloniaux est à l’image de cette hache de parade de la fin du XIXe siècle, amenée du Congo à Anvers par un collectionneur (1). Leurs mots jaillissent avec puissance, affilés comme une lame, déterminés à trancher les nœuds serrés du racisme et des dominations. Les personnes racisées sans voix n’existent pas ; leur problème est leur trop rare accès à la tribune parce que déconsidérées, oubliées, invisibilisées.
Certains discours et actions de décoloniaux peuvent provoquer stupeur et tremblements, mais aussi incompréhensions et désaccords quand ils remettent par exemple en question des décennies de politiques antiracistes ou génèrent une concurrence entre victimes. Ce qui nous amène à considérer que les luttes antiracistes doivent autant modifier les profondeurs de champ que rester en débat. (Cbai)Note de contenu : Edito
Qui parle au nom de qui ?
Jonathan Unger
De plus en plus souvent, le parler pour est contesté. L’exigence d’une intégration des personnes concernées dans la conception, la mise en œuvre ou l’évaluation des décisions se fait grandissante.
Top & flop
Panoramique
Mouvances décoloniales. Rébellion des oubliés
Les personnes racisées sans voix n’existent pas; le problème est leur trop rare accès à la tribune, parce que déconsidérées, oubliées, invisibilisées.
Ceci n’est pas un duel
Entretien avec Emmanuelle Nsunda & Marco Martiniello
Echange de questionnements et de points de vue sur les mouvances décoloniales entre Emmanuelle Nsunda, jeune décoloniale féministe, et Marco Martiniello, sociologue engagé.
Le “tournant décolonial” dans la pensée latino-américaine
Luis Martinez Andrade
Un regard sur les fondements historiques de la pensée décoloniale partie d’Amérique latine, avec une liste de penseurs de référence pour creuser la question.
Génération décoloniale 2.0
Nathalie Caprioli
7 entrepreneurs de la cause décoloniale s’expriment sur leur militantisme : leurs moyens, leur représentativité, leur force et leurs faiblesses.
“La traite a engendré le racisme et non le contraire”
Entretien avec Catherine Coquery-Vidrovitch
Pour en finir avec les dissensions entre Afrodescendants d’origine marocaine et Afrodescendants noirs sur l’histoire de l’esclavage.
Une lecture de “La dignité ou la mort”
Alexandre Ansay
Une lecture interculturelle de l’essai du philosophe Norman Ajari.
Les luttes décoloniales perçues de Kinshasa
Oscar Bisimwa
“C’est un mouvement sain et louable. Mais il ne faut pas demander aux Congolais de faire du mimétisme.”
Esprit(s) du temps
Entretiens avec Rosine Mbakam & Rob Jacobs
Deux courts-métrages à découvrir : La majorité invisible de Rosine Mbakam, et Dans de nombreuses mains du collectif Faire-Part.
Parcours d’accueil
Une politique d’homogénéisation culturelle?
Noé Grenier
La tâche des formateurs du parcours d’accueil est complexe: comment se donner le temps et les moyens de décrypter des incompatibilités de valeurs avec les migrants sans essentialiser les cultures?
Info dessinée
Parents rwandais “désenchantés”
Joanna Lorho et Nathalie Caprioli
Que sont devenus les enfants disparus il y a 27 ans, lors du génocide des Tutsis? L’asbl CCMES s’en préoccupe, en Belgique et au Rwanda. (Cbai)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600015653 $Périodique Sociologie Disponible N°357 - Mai-Juin 2021 - Police, politiques, jeunes. Faut qu'on cause (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°357 - Mai-Juin 2021 - Police, politiques, jeunes. Faut qu'on cause Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 42 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : culture et développement urbain police (contrôle) politiques jeunes Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Mensonges, insultes, contrôle au faciès, arrestations abusives, usage disproportionné de la force, racisme, interpellations qui conduisent à la mort. On ne parle pas de cas isolés ; ça commence même à faire beaucoup. Ces problèmes dans la police exigent des solutions structurelles. Par exemple, améliorer les mécanismes de plainte, généraliser l’usage du bodycam lors des contrôles d’identité, renforcer la loi contre les discriminations, réformer la formation des policiers, ou encore tisser des relations entre police, politiques et jeunes – en particulier ceux qui font l’expérience de violences policières.
C’est surtout cette dernière piste que nous avons explorée. A travers des arguments et expériences pour un dialogue qui associe police, politiques et jeunes, tentons de remonter aux causes des problèmes et de montrer que des solutions pour restaurer une confiance et déloger les stéréotypes ne se trouveront pas seulement au sein de la police. (cbai)Note de contenu : Edito
Recevoir et transmettre
Alexandre Ansay
Hommage à Bruno Ducoli, fondateur du CBAI et directeur 1981 à 2000.
Panoramique
Police, politiques, jeunes. Faut qu’on cause
A travers des expériences pour un dialogue qui associe police, politiques et jeunes, tentons de remonter aux causes des problèmes et de montrer que des solutions ne se trouveront pas seulement au sein de la police.
Entre jeunes et police: oser la rencontre et la confrontation
Hicham Assakali & Ayoub Maatchik, avec la contribution de Rania Boutaffala
Les jeunes parlent entre eux de la police, les policiers parlent entre eux des jeunes. Mais il n’y a pas d’entre deux. Forcément les discussions peuvent tourner en rond et déboucher sur des raccourcis.
La justice scolaire pour commencer
Entretien avec Bruno Derbaix
La force de l’école citoyenne est de profiter d’une incivilité pour rebondir éducativement. Dans les cas plus graves qui peuvent engendrer un “module police”, il y a en plus l’idée de changer la relation entre le jeune et le représentant de l’autorité.
Lutte contre les préjugés. Les limites de la formation policière
Martine Vandemeulebroucke
Les écoles de police ont une grande marge de manœuvre par rapport au programme de formation. Résultat: les policiers ne reçoivent pas une formation de base identique.
Vers un retour à la police de proximité ?
Saïd Halimaoui
L’abandon de la politique de proximité est un des facteurs d’apparition de lacunes dans le fonctionnementpolicier.
Contrôles d’identité: que dit la loi?
Christian De Valkeneer
Les travaux préparatoires de la loi sur la fonction de police ont reflété la crainte de voir les services de police user abusivement du droit de contrôle d’identité.
Une police extrêmement à droite
Manuel Aabramowicz
Sans un changement profond, des jeunes et des moins jeunes resteront les cibles, dans les rues de nos villes, de policiers contaminés par le cancer de la répression tous azimuts.
Un problème de transparence
Entretien avec Mattias De Backer
Quel lien existe-t-il entre les violences policières et les politiques sécuritaires de lutte contre le radicalisme violent et de contrôle des migrants?
Toujours pas de dialogue politique avec les jeunes des quartiers populaires
Muriel Sacco
S’il faut questionner et réformer les interventions et l’institution policières, le traitement politique et institutionnel est également en cause.
Info dessinée
Librairie politique Pépites Blues
Christophe Poot & Nathalie Caprioli
Bienvenue à Pépite Blues à Matonge, la librairie qui met les littératures africaines à l’honneur !
Exposition
Les oubliés de Lesbos
Nathalie Caprioli
Entretien avec le photographe français Mathieu Pernot qui expose jusqu’au 19 septembre 2021 son travail documentaire sur les réfugiés de Lesbos, au Musée Juif de Belgique.
Recherche
Équipements culturels et développement urbain. Derrière l’injonction à “l’ancrage local”
Simon Debersaques
Malgré les intentions et actions des institutions culturelles hybrides pour atteindre les populations les plus éloignées, leur ancrage local se heurte aux réalités des quartiers populaires et complique la mise en œuvre de la “mixité sociale”. (cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°357 - Mai-Juin 2021 - Police, politiques, jeunes. Faut qu'on cause [texte imprimé] . - 2021 . - 42 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : culture et développement urbain police (contrôle) politiques jeunes Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Mensonges, insultes, contrôle au faciès, arrestations abusives, usage disproportionné de la force, racisme, interpellations qui conduisent à la mort. On ne parle pas de cas isolés ; ça commence même à faire beaucoup. Ces problèmes dans la police exigent des solutions structurelles. Par exemple, améliorer les mécanismes de plainte, généraliser l’usage du bodycam lors des contrôles d’identité, renforcer la loi contre les discriminations, réformer la formation des policiers, ou encore tisser des relations entre police, politiques et jeunes – en particulier ceux qui font l’expérience de violences policières.
C’est surtout cette dernière piste que nous avons explorée. A travers des arguments et expériences pour un dialogue qui associe police, politiques et jeunes, tentons de remonter aux causes des problèmes et de montrer que des solutions pour restaurer une confiance et déloger les stéréotypes ne se trouveront pas seulement au sein de la police. (cbai)Note de contenu : Edito
Recevoir et transmettre
Alexandre Ansay
Hommage à Bruno Ducoli, fondateur du CBAI et directeur 1981 à 2000.
Panoramique
Police, politiques, jeunes. Faut qu’on cause
A travers des expériences pour un dialogue qui associe police, politiques et jeunes, tentons de remonter aux causes des problèmes et de montrer que des solutions ne se trouveront pas seulement au sein de la police.
Entre jeunes et police: oser la rencontre et la confrontation
Hicham Assakali & Ayoub Maatchik, avec la contribution de Rania Boutaffala
Les jeunes parlent entre eux de la police, les policiers parlent entre eux des jeunes. Mais il n’y a pas d’entre deux. Forcément les discussions peuvent tourner en rond et déboucher sur des raccourcis.
La justice scolaire pour commencer
Entretien avec Bruno Derbaix
La force de l’école citoyenne est de profiter d’une incivilité pour rebondir éducativement. Dans les cas plus graves qui peuvent engendrer un “module police”, il y a en plus l’idée de changer la relation entre le jeune et le représentant de l’autorité.
Lutte contre les préjugés. Les limites de la formation policière
Martine Vandemeulebroucke
Les écoles de police ont une grande marge de manœuvre par rapport au programme de formation. Résultat: les policiers ne reçoivent pas une formation de base identique.
Vers un retour à la police de proximité ?
Saïd Halimaoui
L’abandon de la politique de proximité est un des facteurs d’apparition de lacunes dans le fonctionnementpolicier.
Contrôles d’identité: que dit la loi?
Christian De Valkeneer
Les travaux préparatoires de la loi sur la fonction de police ont reflété la crainte de voir les services de police user abusivement du droit de contrôle d’identité.
Une police extrêmement à droite
Manuel Aabramowicz
Sans un changement profond, des jeunes et des moins jeunes resteront les cibles, dans les rues de nos villes, de policiers contaminés par le cancer de la répression tous azimuts.
Un problème de transparence
Entretien avec Mattias De Backer
Quel lien existe-t-il entre les violences policières et les politiques sécuritaires de lutte contre le radicalisme violent et de contrôle des migrants?
Toujours pas de dialogue politique avec les jeunes des quartiers populaires
Muriel Sacco
S’il faut questionner et réformer les interventions et l’institution policières, le traitement politique et institutionnel est également en cause.
Info dessinée
Librairie politique Pépites Blues
Christophe Poot & Nathalie Caprioli
Bienvenue à Pépite Blues à Matonge, la librairie qui met les littératures africaines à l’honneur !
Exposition
Les oubliés de Lesbos
Nathalie Caprioli
Entretien avec le photographe français Mathieu Pernot qui expose jusqu’au 19 septembre 2021 son travail documentaire sur les réfugiés de Lesbos, au Musée Juif de Belgique.
Recherche
Équipements culturels et développement urbain. Derrière l’injonction à “l’ancrage local”
Simon Debersaques
Malgré les intentions et actions des institutions culturelles hybrides pour atteindre les populations les plus éloignées, leur ancrage local se heurte aux réalités des quartiers populaires et complique la mise en œuvre de la “mixité sociale”. (cbai)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600016028 $Périodique Sociologie Exclu du prêt N°358 - Septembre-Octobre 2021 - Quels compromis pour quelle neutralité ? (Bulletin de Imag)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
Titre : N°358 - Septembre-Octobre 2021 - Quels compromis pour quelle neutralité ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Importance : 46 p. Présentation : ill. en coul. Format : 27 cm Langues : Français (fre) Catégories : Interaction culturelle Tags : neutralité foulard collège jésuite (Anderlecht)Trieste Balkans Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Quels compromis pour quelle neutralité ?
A quoi sert la neutralité ? Inscrite entre les lignes de la Constitution belge, la neutralité peut être considérée comme un principe, un idéal, une exigence, … ou peut-être une illusion. Elle brasse un grand nombre de définitions et d’interprétations clivantes, notamment lorsque, derrière ce mot, qui devrait s’appliquer au bénéfice de toutes et de tous, se cachent des discriminations et des postures hostiles aux religions – visant en particulier l’islam.
Des témoignages et pratiques d’une neutralité inclusive, active ou dite exclusive montrent à la fois la diversité des vécus, les enjeux de pouvoir, et même le poids de l’histoire. Ils étonnent aussi, quand on constate par exemple des approches différenciées au niveau des ressources humaines (passant d’une neutralité inclusive à une neutralité exclusive) alors même que les missions sont identiques – comme c’est le cas pour les Bureaux d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles.
Cette diversité de points de vue et de pratiques conduit à des divergences – souvent hyper médiatisées, a fortiori si les avis sont tranchés et tranchants. Elle conduit aussi à des convergences.(cbai)Note de contenu : Edito
Significations plurielles
Alexandre Ansay
Panoramique
Des foulards et des neutralités
Kaoutar Boustani Dahan
Les membres du Collectif des 100 diplômées ont expérimenté la violence des exclusions sociales et professionnelles au nom de la laïcité.
Neutralité, féminisme et foulard
Els Flour, Meryem Kanmaz, Ida Dequeecker
Le débat sur le foulard divise la Flandre aussi, spécifiquement à Anvers et à Gand.
La neutralité inclusive ne se décrète pas, elle se construit
Mélody Nenzi
L’asbl Les Amis d’Aladdin défend et pratique la neutralité inclusive au sein de son équipe et avec son public. Sa méthodologie entend construire une citoyenneté interculturelle.
Neutralité: BAPA, où tu (en) es?
Martine Vandemeulebroucke
A Bruxelles, les trois BAPA, bureaux d’accueil pour les primo-arrivants, n’ont pas la même approche de la neutralité. Quel est impact sur leurs formations ?
Peut-on vraiment parler de neutralité exclusive?
Vincent de Coorebyter
Arrêtons-nous sur l’opposition entre neutralité inclusive et neutralité exclusive.
Pluralisme des convictions, neutralité et laïcité
François Braem
La neutralité dans la Constitution, quelle place et en quels termes? Tour d’horizon en Allemagne, en France et en Belgique.
Un collège jésuite à Anderlecht
Entretien avec Anne L’Olivier et Alain Deneef
Plus préoccupé par les signes évidents de la précarité de certains de ses élèves que par les questions de neutralité.
Zone sensible
Judith Hassoun
Des intervenants sociaux perdent parfois leurs repères pour répondre aux questions en lien avec la neutralité, en particulier dans un contexte de montée des pratiques rigoristes.
Engagement et décentration, une éthique des formateurs
Marc André
Les formatrices et formateurs qui s’engagent avec un groupe dans l’exploration des cultures et des identités ne sont pas neutres.
Reportage photo
Trieste. Où termine la route des Balkans
Elio Germani
Trieste, mai 2021. Elio Germani, reporter photographe, a rencontré des migrants arrivés par la frontière avec la Slovénie. Certains demandent l’asile, d’autres cherchent à avancer plus au nord.
Info dessinée
L’interculturel est dans les prés
Dessin: Manu Scordia. Texte: Nathalie Caprioli
Texte sur photo
L’îlot
Texte: Kenan Görgün. Photo: Massimo Bortolini
La rue nous parle. Un écrivain l’a écoutée.(cbai)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Imag / Nathalie Caprioli
N°358 - Septembre-Octobre 2021 - Quels compromis pour quelle neutralité ? [texte imprimé] . - 2021 . - 46 p. : ill. en coul. ; 27 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Interaction culturelle Tags : neutralité foulard collège jésuite (Anderlecht)Trieste Balkans Index. décimale : 316 Sociologie Résumé : Quels compromis pour quelle neutralité ?
A quoi sert la neutralité ? Inscrite entre les lignes de la Constitution belge, la neutralité peut être considérée comme un principe, un idéal, une exigence, … ou peut-être une illusion. Elle brasse un grand nombre de définitions et d’interprétations clivantes, notamment lorsque, derrière ce mot, qui devrait s’appliquer au bénéfice de toutes et de tous, se cachent des discriminations et des postures hostiles aux religions – visant en particulier l’islam.
Des témoignages et pratiques d’une neutralité inclusive, active ou dite exclusive montrent à la fois la diversité des vécus, les enjeux de pouvoir, et même le poids de l’histoire. Ils étonnent aussi, quand on constate par exemple des approches différenciées au niveau des ressources humaines (passant d’une neutralité inclusive à une neutralité exclusive) alors même que les missions sont identiques – comme c’est le cas pour les Bureaux d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles.
Cette diversité de points de vue et de pratiques conduit à des divergences – souvent hyper médiatisées, a fortiori si les avis sont tranchés et tranchants. Elle conduit aussi à des convergences.(cbai)Note de contenu : Edito
Significations plurielles
Alexandre Ansay
Panoramique
Des foulards et des neutralités
Kaoutar Boustani Dahan
Les membres du Collectif des 100 diplômées ont expérimenté la violence des exclusions sociales et professionnelles au nom de la laïcité.
Neutralité, féminisme et foulard
Els Flour, Meryem Kanmaz, Ida Dequeecker
Le débat sur le foulard divise la Flandre aussi, spécifiquement à Anvers et à Gand.
La neutralité inclusive ne se décrète pas, elle se construit
Mélody Nenzi
L’asbl Les Amis d’Aladdin défend et pratique la neutralité inclusive au sein de son équipe et avec son public. Sa méthodologie entend construire une citoyenneté interculturelle.
Neutralité: BAPA, où tu (en) es?
Martine Vandemeulebroucke
A Bruxelles, les trois BAPA, bureaux d’accueil pour les primo-arrivants, n’ont pas la même approche de la neutralité. Quel est impact sur leurs formations ?
Peut-on vraiment parler de neutralité exclusive?
Vincent de Coorebyter
Arrêtons-nous sur l’opposition entre neutralité inclusive et neutralité exclusive.
Pluralisme des convictions, neutralité et laïcité
François Braem
La neutralité dans la Constitution, quelle place et en quels termes? Tour d’horizon en Allemagne, en France et en Belgique.
Un collège jésuite à Anderlecht
Entretien avec Anne L’Olivier et Alain Deneef
Plus préoccupé par les signes évidents de la précarité de certains de ses élèves que par les questions de neutralité.
Zone sensible
Judith Hassoun
Des intervenants sociaux perdent parfois leurs repères pour répondre aux questions en lien avec la neutralité, en particulier dans un contexte de montée des pratiques rigoristes.
Engagement et décentration, une éthique des formateurs
Marc André
Les formatrices et formateurs qui s’engagent avec un groupe dans l’exploration des cultures et des identités ne sont pas neutres.
Reportage photo
Trieste. Où termine la route des Balkans
Elio Germani
Trieste, mai 2021. Elio Germani, reporter photographe, a rencontré des migrants arrivés par la frontière avec la Slovénie. Certains demandent l’asile, d’autres cherchent à avancer plus au nord.
Info dessinée
L’interculturel est dans les prés
Dessin: Manu Scordia. Texte: Nathalie Caprioli
Texte sur photo
L’îlot
Texte: Kenan Görgün. Photo: Massimo Bortolini
La rue nous parle. Un écrivain l’a écoutée.(cbai)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600016214 $Périodique Sociologie Exclu du prêt