Titre : | La bibliothèque perdue : autobiographie d'une culture | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Walter Mehring, Auteur ; Gilberte Marchegay, Traducteur ; Robert Minder, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris [France] : Les Belles Lettres | Année de publication : | 2014 | Collection : | le goût des idées | Importance : | 268 p. | Format : | 19 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-251-20043-9 | Prix : | 15 € | Catégories : | Littérature allemande
| Tags : | livre bibliothèque seconde guerre mondiale (Allemagne) | Index. décimale : | 821.112.2 Littérature allemande. Littérature de langue allemande | Résumé : | Né à Berlin à la fin du XIXe siècle, Walter Mehring a hérité de son père le respect de la littérature, ainsi que son immense bibliothèque de milliers de livres. Comme son père, il veut croire que le livre et la lecture sont essentiels au progrès, à la compréhension mutuelle et au contentement de l'esprit. Après la Première Guerre mondiale, Mehring devient un acteur de premier plan de l'avant-garde européenne.
Poète et parolier de cabaret, il créé le mouvement Dada à Berlin. Avec la montée du fascisme, alors que l'Europe se transforme en une zone de danger pour les artistes et la libre-pensée, Mehring constate avec effarement que la culture des livres célébrée dans la bibliothèque de son père est rejetée par les nouveaux maîtres de l'Allemagne. Bientôt, ses propres livres sont brûlés par les chemises brunes et Mehring va devenir un "fugitif littéraire".
En exil àVienne, Mehring tente de faire sortir clandestinement la bibliothèque de son père. Son sort va s'avérer pire que le sien : il parvient à s'enfuir, mais la bibliothèque est réduite en cendres par les nazis en 1938. Dans La Bibliothèque perdue. Autobiographie d'une culture, Mehring déballe en pensées ses caisses de livres, évoque ce que chacun signifiait pour lui et son père. Ecrit avec humour et lucidité, Mehring compare l'humanisme de l'époque de son père avec le chaos de l'Europe en guerre.
La bibliothèque paternelle devient une métaphore pour enseigner comment l'optimisme et la foi dans le progrès du XIXe siècle ont cédé la place au chaos et aux autodafés du XXe siècle. Proche du Monde d'hier de Stefan Zweig, La Bibliothèque perdue est un hymne au livre et à la lecture. (Decitre) | Note de contenu : | LA BIBLIOTHEQUE DE MON PERE
Les régiments du progrès
Des sorcières et des procès de sorcellerie
Intermezzo : le concile de l'Amour
LA BIBLIOTHEQUE PERDUE
Rencontre avec l'Esprit de la bibliothèque après la grande révolution des livres
Poursuite du monologue avec l'Esprit de la bibliothèque
L'Automate du Diable (Decitre) |
La bibliothèque perdue : autobiographie d'une culture [texte imprimé] / Walter Mehring, Auteur ; Gilberte Marchegay, Traducteur ; Robert Minder, Préfacier, etc. . - Les Belles Lettres, 2014 . - 268 p. ; 19 cm. - ( le goût des idées) . ISBN : 978-2-251-20043-9 : 15 € Catégories : | Littérature allemande
| Tags : | livre bibliothèque seconde guerre mondiale (Allemagne) | Index. décimale : | 821.112.2 Littérature allemande. Littérature de langue allemande | Résumé : | Né à Berlin à la fin du XIXe siècle, Walter Mehring a hérité de son père le respect de la littérature, ainsi que son immense bibliothèque de milliers de livres. Comme son père, il veut croire que le livre et la lecture sont essentiels au progrès, à la compréhension mutuelle et au contentement de l'esprit. Après la Première Guerre mondiale, Mehring devient un acteur de premier plan de l'avant-garde européenne.
Poète et parolier de cabaret, il créé le mouvement Dada à Berlin. Avec la montée du fascisme, alors que l'Europe se transforme en une zone de danger pour les artistes et la libre-pensée, Mehring constate avec effarement que la culture des livres célébrée dans la bibliothèque de son père est rejetée par les nouveaux maîtres de l'Allemagne. Bientôt, ses propres livres sont brûlés par les chemises brunes et Mehring va devenir un "fugitif littéraire".
En exil àVienne, Mehring tente de faire sortir clandestinement la bibliothèque de son père. Son sort va s'avérer pire que le sien : il parvient à s'enfuir, mais la bibliothèque est réduite en cendres par les nazis en 1938. Dans La Bibliothèque perdue. Autobiographie d'une culture, Mehring déballe en pensées ses caisses de livres, évoque ce que chacun signifiait pour lui et son père. Ecrit avec humour et lucidité, Mehring compare l'humanisme de l'époque de son père avec le chaos de l'Europe en guerre.
La bibliothèque paternelle devient une métaphore pour enseigner comment l'optimisme et la foi dans le progrès du XIXe siècle ont cédé la place au chaos et aux autodafés du XXe siècle. Proche du Monde d'hier de Stefan Zweig, La Bibliothèque perdue est un hymne au livre et à la lecture. (Decitre) | Note de contenu : | LA BIBLIOTHEQUE DE MON PERE
Les régiments du progrès
Des sorcières et des procès de sorcellerie
Intermezzo : le concile de l'Amour
LA BIBLIOTHEQUE PERDUE
Rencontre avec l'Esprit de la bibliothèque après la grande révolution des livres
Poursuite du monologue avec l'Esprit de la bibliothèque
L'Automate du Diable (Decitre) |
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