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5 résultat(s) recherche sur le tag 'europe de l'est'
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Rideau de fer / Anne Applebaum (2015)
Titre : Rideau de fer : L'Europe de l'Est écrasée de 1944-1956 Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Applebaum, Auteur ; Pierre-Emmanuel Dauzat, Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2015 Collection : Folio Sous-collection : Histoire num. 250 Importance : 941 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-046489-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Guerre froide
HistoireTags : L'Europe de l'Est Allemagne Hongrie Pologne régime communisme soviétisme nazisme rideau de fer guerre froide Index. décimale : 327.54 Guerre froide Résumé : Rideau de fer raconte, comme cela n'a jamais été fait, la manière dont les «terres de sang» – essentiellement trois pays emblématiques : Allemagne, Hongrie et Pologne – ont été soviétisées (réparations économiques, nettoyages ethniques systématiques que l'on associe rarement à cette période de l'Histoire, récupération partielle de l'appareil policier hérité du nazisme, etc.).
S'interrogeant sur le «Haut Stalinisme» (1944-1956), soit les douze années de soviétisation de l'ancien «espace vital» (Lebensraum) nazi, Anne Applebaum – à qui l'on doit déjà une remarquable étude Goulag : Une histoire – renverse complètement le point de vue : l'Est vu non plus par l'Ouest mais par l'Est. Les sources écrites et orales inédites – archives, entretiens, voyages, témoignages personnels – enrichissent considérablement les réponses aux questions que l'observateur contemporain
de l'Europe de l'Est se pose face aux échecs ou aux revers de la démocratisation des nouvelles nations émancipées du joug soviétique
depuis 1989.
Il y a deux manières de renouveler l'Histoire : poser de nouvelles questions sur des sujets apparemment rebattus et trouver de nouveaux documents ou de nouveaux témoins. Dans ce livre magistral, Anne Applebaum accomplit les deux. (4e de couv.)Rideau de fer : L'Europe de l'Est écrasée de 1944-1956 [texte imprimé] / Anne Applebaum, Auteur ; Pierre-Emmanuel Dauzat, Traducteur . - Gallimard, 2015 . - 941 p. ; 18 cm. - (Folio. Histoire; 250) .
ISBN : 978-2-07-046489-0
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Guerre froide
HistoireTags : L'Europe de l'Est Allemagne Hongrie Pologne régime communisme soviétisme nazisme rideau de fer guerre froide Index. décimale : 327.54 Guerre froide Résumé : Rideau de fer raconte, comme cela n'a jamais été fait, la manière dont les «terres de sang» – essentiellement trois pays emblématiques : Allemagne, Hongrie et Pologne – ont été soviétisées (réparations économiques, nettoyages ethniques systématiques que l'on associe rarement à cette période de l'Histoire, récupération partielle de l'appareil policier hérité du nazisme, etc.).
S'interrogeant sur le «Haut Stalinisme» (1944-1956), soit les douze années de soviétisation de l'ancien «espace vital» (Lebensraum) nazi, Anne Applebaum – à qui l'on doit déjà une remarquable étude Goulag : Une histoire – renverse complètement le point de vue : l'Est vu non plus par l'Ouest mais par l'Est. Les sources écrites et orales inédites – archives, entretiens, voyages, témoignages personnels – enrichissent considérablement les réponses aux questions que l'observateur contemporain
de l'Europe de l'Est se pose face aux échecs ou aux revers de la démocratisation des nouvelles nations émancipées du joug soviétique
depuis 1989.
Il y a deux manières de renouveler l'Histoire : poser de nouvelles questions sur des sujets apparemment rebattus et trouver de nouveaux documents ou de nouveaux témoins. Dans ce livre magistral, Anne Applebaum accomplit les deux. (4e de couv.)Réservation
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Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600015117 !Livre Histoire/époque (XXe siècle - Guerre froide) Disponible N°67 - Octobre-Novembre-Décembre 2018 - Le retour de la guerre froide (Bulletin de Courrier international)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Courrier international / Arnaud Aubron (1991-....)
Titre : N°67 - Octobre-Novembre-Décembre 2018 - Le retour de la guerre froide Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Importance : 74 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Prix : 8,50 € Langues : Français (fre) Catégories : 6 Politique, droit et économie Tags : guerre froide Russie Etats-Unis Donald Trump Vladimir Poutine Union Européenne cyberattaques ingérence électorale Silicon Valley Estonie espionnage Chine Index. décimale : 050 Publications en série. Périodiques. Revues Résumé : “La Russie doit cesser son comportement irresponsable. […] Elle doit mettre fin à l’usage de la force contre ses voisins, [aux] tentatives d’immixtion dans des processus électoraux et [aux] campagnes massives de désinformation.”
Ces mots sont ceux du secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, le 4 octobre dernier, après le sommet qui réunissait les 29 membres de l’alliance transatlantique. Il accuse ainsi la Russie d’être responsable des cyberattaques menées ces dernières années contre des organisations internationales et des États occidentaux.
Les agressions à répétition et les rapports de force – ingérence russe dans l’élection américaine de 2016, empoisonnement de l’ancien agent double Sergueï Skripal et de sa fille au Royaume-Uni, annexion de la Crimée, sanctions imposées à Moscou par les pays occidentaux, course à l’armement à laquelle se livrent Donald Trump et Vladimir Poutine – font indubitablement flotter sur un monde devenu instable un parfum de guerre froide.
“Cela fait un moment déjà que Poutine répète à ses concitoyens que les vieux ennemis sont de retour”, écrit le spécialiste britannique de la stratégie Lawrence Freedman. Sommes-nous entrés pour autant dans une ère de nouvelle confrontation ?
Le parallèle avec le conflit larvé qui s’est imposé entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’effondrement de l’URSS est évident. Et, pourtant, les différences sautent elles aussi aux yeux. Il n’y a pas de guerre idéologique ; la Russie n’a plus rien de la puissance économique de l’Union soviétique ; les alliances se font et se défont, fragilisées par le chaos semé par le président américain ; enfin, les outils de déstabilisation ont changé.
Restent en ces temps de paix armée une angoisse sourde, une méfiance diffuse et un ton belliqueux. De quoi nourrir un climat glacial, que l’on se trouve à la frontière estonienne ou dans la Silicon Valley. Et la référence demeure toujours la même : la guerre froide.
(Courrier international)Note de contenu : Photo
Géopolitique. La notion d’allié n’existe plus
ROSSIA V GLOBALNOÏ POLITIKÉ 08/11/2018
Photo
Carte avant/après. Comment les grandes alliances mondiales ont changé entre 1959 et 2018
COURRIER INTERNATIONAL 07/11/2018
Photo
Pour comprendre. L'affaire Skripal en trois minutes
COURRIER INTERNATIONAL 29/10/2018
Photo
Entretien. “Une grande guerre en Europe est possible”
DIE PRESSE 29/10/2018
Nucléaire. Les États-Unis et la Russie dans la course à l'armement
COURRIER INTERNATIONAL 23/10/2018
Photo
Estonie. Climat de guerre froide à la frontière russe
COURRIER INTERNATIONAL 22/10/2018
Photo
Pour comprendre. Le Russiagate en trois minutes
COURRIER INTERNATIONAL 19/10/2018
Photo
Édito. Guerre froide, le retour ?
COURRIER INTERNATIONAL 18/10/2018
Photo
Hors série en kiosque. Bienvenue dans la guerre froide 2.0 !
NEW STATESMAN 18/10/2018
Photo
Affaire Skripal. Sur les traces des empoisonneurs au Novitchok
THE GUARDIAN 06/09/2018
Photo
Vu de Moscou. Les sanctions américaines vont-elles faire de la Russie un nouvel Iran ?
MOSKOVSKI KOMSOMOLETS 27/08/2018
Photo
États-Unis. Washington annonce une “Force de l’espace”
COURRIER INTERNATIONAL 10/08/2018
Photo
Vu d’Ukraine. Washington et Moscou, une relation asymétrique
DZERKALO TYJNIA 25/07/2018
Photo
États-Unis. Trump bichonne son arsenal nucléaire
THE NEW YORK TIMES 18/05/2018
Photo
Affaire Skripal : si une guerre éclate, ce sera la faute de l’Occident
THE GUARDIAN 16/03/2018
Photo
Enquête. Ces espions parmi nous, ou comment les services russes infiltrent l’Ukraine
OUKRAÏNSKA PRAVDA 16/03/2018
Photo
Crime. Parapluies empoisonnés et polonium : ces mystérieux morts “russes” au Royaume-Uni
THE GUARDIAN 07/03/2018
Photo
Vu de Russie . Poutine veut gagner la course à l’armement
MOSKOVSKI KOMSOMOLETS 02/03/2018
Photo
Analyse. Les Russes ne sont pas les seuls, les États-Unis aussi pratiquent l’ingérence électorale  !
THE NEW YORK TIMES 26/02/2018
Photo
Entretien. Confessions d’un ancien troll russe : “On se serait cru dans Orwell”
THE WASHINGTON POST 20/02/2018
Photo
États-Unis. Il ne fait pas bon être russe dans la Silicon Valley
THE NEW YORK TIMES 13/10/2017
(Courrier international)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Courrier international / Arnaud Aubron (1991-....)
N°67 - Octobre-Novembre-Décembre 2018 - Le retour de la guerre froide [texte imprimé] . - 2018 . - 74 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
8,50 €
Langues : Français (fre)
Catégories : 6 Politique, droit et économie Tags : guerre froide Russie Etats-Unis Donald Trump Vladimir Poutine Union Européenne cyberattaques ingérence électorale Silicon Valley Estonie espionnage Chine Index. décimale : 050 Publications en série. Périodiques. Revues Résumé : “La Russie doit cesser son comportement irresponsable. […] Elle doit mettre fin à l’usage de la force contre ses voisins, [aux] tentatives d’immixtion dans des processus électoraux et [aux] campagnes massives de désinformation.”
Ces mots sont ceux du secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, le 4 octobre dernier, après le sommet qui réunissait les 29 membres de l’alliance transatlantique. Il accuse ainsi la Russie d’être responsable des cyberattaques menées ces dernières années contre des organisations internationales et des États occidentaux.
Les agressions à répétition et les rapports de force – ingérence russe dans l’élection américaine de 2016, empoisonnement de l’ancien agent double Sergueï Skripal et de sa fille au Royaume-Uni, annexion de la Crimée, sanctions imposées à Moscou par les pays occidentaux, course à l’armement à laquelle se livrent Donald Trump et Vladimir Poutine – font indubitablement flotter sur un monde devenu instable un parfum de guerre froide.
“Cela fait un moment déjà que Poutine répète à ses concitoyens que les vieux ennemis sont de retour”, écrit le spécialiste britannique de la stratégie Lawrence Freedman. Sommes-nous entrés pour autant dans une ère de nouvelle confrontation ?
Le parallèle avec le conflit larvé qui s’est imposé entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’effondrement de l’URSS est évident. Et, pourtant, les différences sautent elles aussi aux yeux. Il n’y a pas de guerre idéologique ; la Russie n’a plus rien de la puissance économique de l’Union soviétique ; les alliances se font et se défont, fragilisées par le chaos semé par le président américain ; enfin, les outils de déstabilisation ont changé.
Restent en ces temps de paix armée une angoisse sourde, une méfiance diffuse et un ton belliqueux. De quoi nourrir un climat glacial, que l’on se trouve à la frontière estonienne ou dans la Silicon Valley. Et la référence demeure toujours la même : la guerre froide.
(Courrier international)Note de contenu : Photo
Géopolitique. La notion d’allié n’existe plus
ROSSIA V GLOBALNOÏ POLITIKÉ 08/11/2018
Photo
Carte avant/après. Comment les grandes alliances mondiales ont changé entre 1959 et 2018
COURRIER INTERNATIONAL 07/11/2018
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Pour comprendre. L'affaire Skripal en trois minutes
COURRIER INTERNATIONAL 29/10/2018
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Entretien. “Une grande guerre en Europe est possible”
DIE PRESSE 29/10/2018
Nucléaire. Les États-Unis et la Russie dans la course à l'armement
COURRIER INTERNATIONAL 23/10/2018
Photo
Estonie. Climat de guerre froide à la frontière russe
COURRIER INTERNATIONAL 22/10/2018
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Pour comprendre. Le Russiagate en trois minutes
COURRIER INTERNATIONAL 19/10/2018
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Édito. Guerre froide, le retour ?
COURRIER INTERNATIONAL 18/10/2018
Photo
Hors série en kiosque. Bienvenue dans la guerre froide 2.0 !
NEW STATESMAN 18/10/2018
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Affaire Skripal. Sur les traces des empoisonneurs au Novitchok
THE GUARDIAN 06/09/2018
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Vu de Moscou. Les sanctions américaines vont-elles faire de la Russie un nouvel Iran ?
MOSKOVSKI KOMSOMOLETS 27/08/2018
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États-Unis. Washington annonce une “Force de l’espace”
COURRIER INTERNATIONAL 10/08/2018
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Vu d’Ukraine. Washington et Moscou, une relation asymétrique
DZERKALO TYJNIA 25/07/2018
Photo
États-Unis. Trump bichonne son arsenal nucléaire
THE NEW YORK TIMES 18/05/2018
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Affaire Skripal : si une guerre éclate, ce sera la faute de l’Occident
THE GUARDIAN 16/03/2018
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Enquête. Ces espions parmi nous, ou comment les services russes infiltrent l’Ukraine
OUKRAÏNSKA PRAVDA 16/03/2018
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Crime. Parapluies empoisonnés et polonium : ces mystérieux morts “russes” au Royaume-Uni
THE GUARDIAN 07/03/2018
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Vu de Russie . Poutine veut gagner la course à l’armement
MOSKOVSKI KOMSOMOLETS 02/03/2018
Photo
Analyse. Les Russes ne sont pas les seuls, les États-Unis aussi pratiquent l’ingérence électorale  !
THE NEW YORK TIMES 26/02/2018
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Entretien. Confessions d’un ancien troll russe : “On se serait cru dans Orwell”
THE WASHINGTON POST 20/02/2018
Photo
États-Unis. Il ne fait pas bon être russe dans la Silicon Valley
THE NEW YORK TIMES 13/10/2017
(Courrier international)Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600010262 $Périodique Revues Exclu du prêt N°8137 - Novembre 2020 - La première guerre mondiale. 1912-1923 (Bulletin de Documentation photographique)
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Documentation photographique / Nathalie Petitjean
Titre : N°8137 - Novembre 2020 - La première guerre mondiale. 1912-1923 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 63 p. Présentation : ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Catégories : Histoire Tags : première guerre mondiale 1914-1918 Balkans Tannenberg La Marne Somme mondialisation (guerre) armes pandémie Etats-Unis Europe de l'Est Moyen-Orient Index. décimale : 93 Histoire Résumé : Le 18 août 1914, dans la Neue Freie Presse, l’écrivain autrichien Stefan Zweig qualifia le monde en guerre de “monde sans sommeil”. Il y écrivait : “Il y a moins de sommeil dans le monde aujourd’hui, plus longs les jours et plus longues les nuits. Dans chaque pays de l’immense Europe, dans chaque ville, chaque rue, chaque maison, chaque logis, le souffle calme du sommeil est plus bref et enfiévré, pareil à une unique nuit d’été, lourde et étouffante, ce temps ardent rougeoie dans les nuits et embrouille les sens.”
Quatre ans plus tard, le 26 février 1918, il appelait, dans le même journal, “déchirure du temps” l’époque qu’il était en train de vivre et qui reléguait le “monde d’avant” dans un passé à jamais révolu. Si les contemporains de la grande déflagration n’exprimèrent pas tous avec la même acuité que Zweig la rupture temporelle que représenta la Première Guerre mondiale, ils furent néanmoins des millions à en faire l’amère expérience à travers le monde.
Cent ans après, la “Grande Guerre”, pourtant étudiée par désormais plus de quatre générations d’historiennes et d’historiens, objet de renouvellement et de débats historiographiques fort nombreux, ne cesse de fasciner et de poser de nouvelles questions.
Le Centenaire a révélé le lien qui lie les sociétés d’aujourd’hui à celles du début du vingtième siècle en proie à un cataclysme dont les dimensions ne cessent d’être réévaluées par la recherche.
Le flot de publications qui a accompagné le Centenaire traduit la permanence ou le retour de centres d’intérêt anciens comme les causes de la guerre, ses conséquences géopolitiques, la vie des combattants, le vécu des familles. Mais il marque également l’émergence de problématiques nouvelles telles que les conséquences environnementales ou les effets à moyen et long terme du conflit dans des espaces pourtant loin des fronts qui révèlent des continuités plus étroites qu’il n’y paraissait avec les conflits qui la précédèrent et la suivirent, formant un continuum conflictuel à l’échelle de la planète qui s’étire au moins de 1912 à 1923.
La présente publication a pour objectif, plutôt que d’offrir un bilan du Centenaire, de permettre aux lectrices et lecteurs d’accéder de manière aisée et synthétique – et à travers l’étude de nombreux documents originaux – aux principaux enjeux des nouvelles approches de la “déchirure du temps” que représenta la Grande Guerre. Plus qu’un simple conflit, celle-ci fut en fait une époque de l’histoire de l’humanité dont les effets sont encore sensibles aujourd’hui. (documentationphotographique.fr)[n° ou bulletin]
est un bulletin de Documentation photographique / Nathalie Petitjean
N°8137 - Novembre 2020 - La première guerre mondiale. 1912-1923 [texte imprimé] . - 2020 . - 63 p. : ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire Tags : première guerre mondiale 1914-1918 Balkans Tannenberg La Marne Somme mondialisation (guerre) armes pandémie Etats-Unis Europe de l'Est Moyen-Orient Index. décimale : 93 Histoire Résumé : Le 18 août 1914, dans la Neue Freie Presse, l’écrivain autrichien Stefan Zweig qualifia le monde en guerre de “monde sans sommeil”. Il y écrivait : “Il y a moins de sommeil dans le monde aujourd’hui, plus longs les jours et plus longues les nuits. Dans chaque pays de l’immense Europe, dans chaque ville, chaque rue, chaque maison, chaque logis, le souffle calme du sommeil est plus bref et enfiévré, pareil à une unique nuit d’été, lourde et étouffante, ce temps ardent rougeoie dans les nuits et embrouille les sens.”
Quatre ans plus tard, le 26 février 1918, il appelait, dans le même journal, “déchirure du temps” l’époque qu’il était en train de vivre et qui reléguait le “monde d’avant” dans un passé à jamais révolu. Si les contemporains de la grande déflagration n’exprimèrent pas tous avec la même acuité que Zweig la rupture temporelle que représenta la Première Guerre mondiale, ils furent néanmoins des millions à en faire l’amère expérience à travers le monde.
Cent ans après, la “Grande Guerre”, pourtant étudiée par désormais plus de quatre générations d’historiennes et d’historiens, objet de renouvellement et de débats historiographiques fort nombreux, ne cesse de fasciner et de poser de nouvelles questions.
Le Centenaire a révélé le lien qui lie les sociétés d’aujourd’hui à celles du début du vingtième siècle en proie à un cataclysme dont les dimensions ne cessent d’être réévaluées par la recherche.
Le flot de publications qui a accompagné le Centenaire traduit la permanence ou le retour de centres d’intérêt anciens comme les causes de la guerre, ses conséquences géopolitiques, la vie des combattants, le vécu des familles. Mais il marque également l’émergence de problématiques nouvelles telles que les conséquences environnementales ou les effets à moyen et long terme du conflit dans des espaces pourtant loin des fronts qui révèlent des continuités plus étroites qu’il n’y paraissait avec les conflits qui la précédèrent et la suivirent, formant un continuum conflictuel à l’échelle de la planète qui s’étire au moins de 1912 à 1923.
La présente publication a pour objectif, plutôt que d’offrir un bilan du Centenaire, de permettre aux lectrices et lecteurs d’accéder de manière aisée et synthétique – et à travers l’étude de nombreux documents originaux – aux principaux enjeux des nouvelles approches de la “déchirure du temps” que représenta la Grande Guerre. Plus qu’un simple conflit, celle-ci fut en fait une époque de l’histoire de l’humanité dont les effets sont encore sensibles aujourd’hui. (documentationphotographique.fr)Réservation
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Code-barres Support Section Disponibilité 1600013920 $Périodique Revues Disponible Les mythes fondateurs de l'antisémitisme / Carole Iancu (2003)
Titre : Les mythes fondateurs de l'antisémitisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Iancu, Auteur Editeur : Toulouse [France] : Privat Année de publication : 2003 Collection : Bibliothèque Historique Privat Importance : 189 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7089-0806-2 Prix : 23 € Note générale : La couverture porte en plus "De l'antiquité à nos jours" Catégories : Antisémitisme
Racisme (doctrine)Tags : antijudaïsme(païen) antijudaïsme(chrétien) rejet d'Israël crime du déicide dispersion antijudaïsme(médiéval) meurtre(rituel) profanation antijudaïsme(moderne) Shoah nazi pogroms(Roumanie) persécutions(Russie tsariste) complot judéo-maçonnique complot judéo-bolchevique sionisme antisémitisme antisionisme Europe de l'Est Union soviétique monde arabe rapprochement judéo-chrétien Auschwitz Index. décimale : 323.12 Mouvements racistes. Antisémitisme Résumé : "«Le Juif est perfide, le Juif est démoniaque, le Juif est un usurier.» De l'Antiquité à nos jours se sont perpétués nombre de mythes, de calomnies monstrueuses qui ont donné naissance à un racisme antijuif virulent: l'antisémitisme. Déjà, dans le monde égyptien, mais aussi au Moyen Âge, des ignominies sont proférées à l'encontre du peuple juif. Bien plus tard, le régime nazi en donnera une dimension apocalyptique avec la Shoah («cataclysme» en hébreu); des millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont exterminés uniquement parce qu'ils sont d'origine juive. Cette haine, loin de s'être éteinte avec la disparition du IIIe Reich, est aujourd'hui plus que jamais d'actualité. Dans cet ouvrage, l'auteur retrace l'histoire de «la plus longue haine» de tous les temps. Il met en évidence l'évolution des mythes et calomnies, depuis les premiers chrétiens: déicide, meurtre rituel, profanation d'hosties, complot judéo-maçonnique ou, plus près de nous, les Protocoles des Sages de Sion et le «mensonge d'Auschwitz». Toute la terminologie, utilisée à travers les siècles pour exprimer la haine à l'égard des Juifs, est disséquée: antijudaïsme, antisémitisme, antisionisme, négationnisme... Cette somme de connaissances, illustrée par de nombreux exemples, nous livre un travail d'analyse riche et rigoureux dont l'objectif est aussi d'alerter et d'appeler à la prudence. Cependant, les relations entre les Juifs et les chrétiens, entre les Juifs et les musulmans n'ont pas été marquées uniquement par la haine et l'aversion. Et comme le précise Carol Iancu: «Il ne faut en aucun cas faire silence sur les temps fastes de cette histoire commune, à laquelle nous continuons d'être attachés.»" (4e de couv.) Les mythes fondateurs de l'antisémitisme [texte imprimé] / Carole Iancu, Auteur . - Privat, 2003 . - 189 p. ; 24 cm. - (Bibliothèque Historique Privat) .
ISBN : 978-2-7089-0806-2 : 23 €
La couverture porte en plus "De l'antiquité à nos jours"
Catégories : Antisémitisme
Racisme (doctrine)Tags : antijudaïsme(païen) antijudaïsme(chrétien) rejet d'Israël crime du déicide dispersion antijudaïsme(médiéval) meurtre(rituel) profanation antijudaïsme(moderne) Shoah nazi pogroms(Roumanie) persécutions(Russie tsariste) complot judéo-maçonnique complot judéo-bolchevique sionisme antisémitisme antisionisme Europe de l'Est Union soviétique monde arabe rapprochement judéo-chrétien Auschwitz Index. décimale : 323.12 Mouvements racistes. Antisémitisme Résumé : "«Le Juif est perfide, le Juif est démoniaque, le Juif est un usurier.» De l'Antiquité à nos jours se sont perpétués nombre de mythes, de calomnies monstrueuses qui ont donné naissance à un racisme antijuif virulent: l'antisémitisme. Déjà, dans le monde égyptien, mais aussi au Moyen Âge, des ignominies sont proférées à l'encontre du peuple juif. Bien plus tard, le régime nazi en donnera une dimension apocalyptique avec la Shoah («cataclysme» en hébreu); des millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont exterminés uniquement parce qu'ils sont d'origine juive. Cette haine, loin de s'être éteinte avec la disparition du IIIe Reich, est aujourd'hui plus que jamais d'actualité. Dans cet ouvrage, l'auteur retrace l'histoire de «la plus longue haine» de tous les temps. Il met en évidence l'évolution des mythes et calomnies, depuis les premiers chrétiens: déicide, meurtre rituel, profanation d'hosties, complot judéo-maçonnique ou, plus près de nous, les Protocoles des Sages de Sion et le «mensonge d'Auschwitz». Toute la terminologie, utilisée à travers les siècles pour exprimer la haine à l'égard des Juifs, est disséquée: antijudaïsme, antisémitisme, antisionisme, négationnisme... Cette somme de connaissances, illustrée par de nombreux exemples, nous livre un travail d'analyse riche et rigoureux dont l'objectif est aussi d'alerter et d'appeler à la prudence. Cependant, les relations entre les Juifs et les chrétiens, entre les Juifs et les musulmans n'ont pas été marquées uniquement par la haine et l'aversion. Et comme le précise Carol Iancu: «Il ne faut en aucun cas faire silence sur les temps fastes de cette histoire commune, à laquelle nous continuons d'être attachés.»" (4e de couv.) Réservation
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