/!\ Fermeture de la bibliothèque durant les vacances de printemps (du 29 avril au 10 mai) /!\
Pour vous connecter à votre compte :
Étudiant-e-s
Identifiant : numéro de matricule (17735)
Mot de passe : le même que pour extranet
Enseignant-e-s (s'inscrire au préalable à la bibliothèque)
Identifiant : id prof (pnom)
Mot de passe : code donné à l'inscription (à changer)
Horaire de la bibliothèque :
Lundi et jeudi : ouverte de 9h à 18h
Mardi : ouverte de 8h à 17h
Mercredi : ouverte de 8h à 16h
Vendredi : ouverte de 9h à 16h
TOUS LES JOURS : fermée de 11h30 à 12h30
Règlement de la bibliothèque
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... | Votre compte | Aide |
Détail d'une collection
Collection Poésie
- Editeur : Gallimard
- ISSN : pas d'ISSN
Documents disponibles dans la collection
Affiner la rechercheAu coeur du monde / Blaise Cendrars (1968)
Titre : Au coeur du monde : Poésies complètes : 1924-1929. Précédé de Feuilles de route - Sud-Américaines - Poèmes divers Type de document : texte imprimé Auteurs : Blaise Cendrars, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1968 Collection : Poésie num. 331 Importance : 125 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Au coeur du monde : Poésies complètes : 1924-1929. Précédé de Feuilles de route - Sud-Américaines - Poèmes divers [texte imprimé] / Blaise Cendrars, Auteur . - Gallimard, 1968 . - 125 p. ; 18 cm. - (Poésie; 331) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600012989 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Quatrains et autres poèmes brefs / Emily Dickinson (2000)
Titre : Quatrains et autres poèmes brefs Type de document : texte imprimé Auteurs : Emily Dickinson (1830-1886), Auteur ; Claire Malroux (1935-....), Traducteur Mention d'édition : Edition bilingue Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie num. 348 Importance : 288 p. Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032942-7 Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Littérature nord-américaine
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : Il a fallu longtemps pour que la stature d'Emily Dickinson (1830-1886) émerge du linceul charmant où l'avait enroulée sa génération en tissant le mythe, au parfum de scandale, de l'amoureuse frustrée (d'un homme marié, pasteur de surcroît !) et de l'excentrique recluse de la petite ville d'Amherst. On n'a d'abord vu que ce que l'on était disposé à voir : un poète délicat, amoureux des oiseaux, des abeilles, des fleurs et des papillons, peut-être à la rigueur de l'amour, un poète «féminin». La violence, l'âpreté, la rébellion, les passions humaines qui soulevaient Emily au-dessus des normes de son temps et de son sexe, et que lui renvoyaient comme en éclats les drames de Shakespeare, son compagnon favori avec la Bible et le dictionnaire Webster, les autres passions plus métaphysiques - la déréliction et l'extase, l'angoisse et la joie -, le questionnement religieux, la pensée subversive, l'humour espiègle et l'ironie tranchante, les fulgurances de l'écriture, le travail constant sur les mots et le jeu avec les mots furent ignorés des premiers éditeurs.
Claire Malroux a choisi de rassembler l'ensemble des quatrains jusqu'ici publiés séparément. Ce choix ne doit rien au hasard, car cette forme brève a accompagné le poète tout au long de sa vie et permet ainsi d'appréhender tout son parcours, y compris en ce qu'il a de plus singulier : la diffusion des œuvres d'Emily Dickinson par voie épistolaire, puisqu'elle n'a pratiquement rien publié de son vivant. (Gallimard)Quatrains et autres poèmes brefs [texte imprimé] / Emily Dickinson (1830-1886), Auteur ; Claire Malroux (1935-....), Traducteur . - Edition bilingue . - Gallimard : Paris : NRF, 2000 . - 288 p. : couv. ill. ; 18 cm. - (Poésie; 348) .
ISBN : 978-2-07-032942-7
Langues : Français (fre) Anglais (eng) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Littérature nord-américaine
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : Il a fallu longtemps pour que la stature d'Emily Dickinson (1830-1886) émerge du linceul charmant où l'avait enroulée sa génération en tissant le mythe, au parfum de scandale, de l'amoureuse frustrée (d'un homme marié, pasteur de surcroît !) et de l'excentrique recluse de la petite ville d'Amherst. On n'a d'abord vu que ce que l'on était disposé à voir : un poète délicat, amoureux des oiseaux, des abeilles, des fleurs et des papillons, peut-être à la rigueur de l'amour, un poète «féminin». La violence, l'âpreté, la rébellion, les passions humaines qui soulevaient Emily au-dessus des normes de son temps et de son sexe, et que lui renvoyaient comme en éclats les drames de Shakespeare, son compagnon favori avec la Bible et le dictionnaire Webster, les autres passions plus métaphysiques - la déréliction et l'extase, l'angoisse et la joie -, le questionnement religieux, la pensée subversive, l'humour espiègle et l'ironie tranchante, les fulgurances de l'écriture, le travail constant sur les mots et le jeu avec les mots furent ignorés des premiers éditeurs.
Claire Malroux a choisi de rassembler l'ensemble des quatrains jusqu'ici publiés séparément. Ce choix ne doit rien au hasard, car cette forme brève a accompagné le poète tout au long de sa vie et permet ainsi d'appréhender tout son parcours, y compris en ce qu'il a de plus singulier : la diffusion des œuvres d'Emily Dickinson par voie épistolaire, puisqu'elle n'a pratiquement rien publié de son vivant. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600014140 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Le divan / Johann Wolfgang von Goethe (1984)
Titre : Le divan Type de document : texte imprimé Auteurs : Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832), Auteur ; Claude David, Préfacier, etc. ; Henri Lichtenberger, Traducteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1984 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 245 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032255-8 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Littérature allemande Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Le divan [texte imprimé] / Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832), Auteur ; Claude David, Préfacier, etc. ; Henri Lichtenberger, Traducteur . - Gallimard : Paris : NRF, 1984 . - 245 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
ISBN : 978-2-07-032255-8
Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger)
Catégories : Littérature allemande Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013881 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Emaux et Camés / Théophile Gautier (1981)
Titre : Emaux et Camés : avec, en appendice, Albertus Type de document : texte imprimé Auteurs : Théophile Gautier, Auteur ; Claudine Gothot-Mersch, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1981 Collection : Poésie Importance : 277 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032209-1 Prix : 8,90 EUR Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Pendant les guerres de l'empire, Goethe, au bruit du canon brutal, Fit le Divan occidental, Fraîche oasis où l'art respire. Pour Nisami quittant Shakspeare, Il se parfuma de çantal, Et sur un mètre oriental, Nota le chant qu'Hudhud soupire. Comme Goethe sur son divan A Weimar s'isolait des choses Et d'Hafiz effeuillait les roses, Sans prendre garde à l'ouragan Qui fouettait mes vitres fermées, Moi, j'ai fait Emaux et Camées.
Théophile Gautier (Decitre)Emaux et Camés : avec, en appendice, Albertus [texte imprimé] / Théophile Gautier, Auteur ; Claudine Gothot-Mersch, Préfacier, etc. . - Gallimard, 1981 . - 277 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
ISBN : 978-2-07-032209-1 : 8,90 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : Pendant les guerres de l'empire, Goethe, au bruit du canon brutal, Fit le Divan occidental, Fraîche oasis où l'art respire. Pour Nisami quittant Shakspeare, Il se parfuma de çantal, Et sur un mètre oriental, Nota le chant qu'Hudhud soupire. Comme Goethe sur son divan A Weimar s'isolait des choses Et d'Hafiz effeuillait les roses, Sans prendre garde à l'ouragan Qui fouettait mes vitres fermées, Moi, j'ai fait Emaux et Camées.
Théophile Gautier (Decitre)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600014393 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Les châtiments / Victor Hugo (1977)
Titre : Les châtiments Type de document : texte imprimé Auteurs : Victor Hugo (1802-1885), Auteur ; René Journet, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1977 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 413 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : « Quoi que fassent ceux qui règnent chez eux par la violence et hors de chez eux par la menace, quoi que fassent ceux qui se croient les maîtres des peuples et qui ne sont que les tyrans des consciences, l'homme qui lutte pour la justice et la vérité trouvera toujours le moyen d'accomplir son devoir tout entier. La toute-puissance du mal n'a jamais abouti qu'à des efforts inutiles. La pensée échappe toujours à qui tente de l'étouffer. Elle se fait insaisissable à la compression ; elle se réfugie d'une forme dans l'autre. Le flambeau rayonne ; si on l'éteint, si on l'engloutit dans les ténèbres, le flambeau devient une voix, et l'on ne fait pas la nuit sur la parole ; si l'on met un bâillon à la bouche qui parle, la parole se change en lumière, et l'on ne bâillonne pas la lumière. Rien ne dompte la conscience de l'homme, car la conscience de l'homme, c'est la pensée de Dieu. »
(Babelio)Les châtiments [texte imprimé] / Victor Hugo (1802-1885), Auteur ; René Journet, Préfacier, etc. . - Gallimard : Paris : NRF, 1977 . - 413 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : « Quoi que fassent ceux qui règnent chez eux par la violence et hors de chez eux par la menace, quoi que fassent ceux qui se croient les maîtres des peuples et qui ne sont que les tyrans des consciences, l'homme qui lutte pour la justice et la vérité trouvera toujours le moyen d'accomplir son devoir tout entier. La toute-puissance du mal n'a jamais abouti qu'à des efforts inutiles. La pensée échappe toujours à qui tente de l'étouffer. Elle se fait insaisissable à la compression ; elle se réfugie d'une forme dans l'autre. Le flambeau rayonne ; si on l'éteint, si on l'engloutit dans les ténèbres, le flambeau devient une voix, et l'on ne fait pas la nuit sur la parole ; si l'on met un bâillon à la bouche qui parle, la parole se change en lumière, et l'on ne bâillonne pas la lumière. Rien ne dompte la conscience de l'homme, car la conscience de l'homme, c'est la pensée de Dieu. »
(Babelio)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013317 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Le laboratoire central / Max Jacob (1980)
Titre : Le laboratoire central Type de document : texte imprimé Auteurs : Max Jacob, Auteur ; Yvon Belaval, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1980 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 191 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Au temps du Laboratoire central, un demi-siècle après Rimbaud, la poésie conquérait encore ses droits à une forme de pensée indépendante de la prose. Ces droits ne sont plus contestés. Au lieu d'utiliser des signes qui s'effacent devant les choses dont ils sont les signes, le poète, nous le savons, réinvente le langage naturel où les mots ressemblent aux choses parce qu'ils en conservent (dit-on) l'empreinte sur notre sensibilité. Ils prennent corps. Ce sont eux maintenant qui effacent les choses. Que reste-t-il? Des expressions. Or, dans un monde où tout exprime, il faut bien que tout s'entr'exprime et que l'obscur, l'inexplicable même, soit accepté, intentionnel, irréductible au choc brut contre une matière étrangère. Rien, dans ce monde, n'arrive par pur accident, ce serait insensé puisque le propre du hasard est d'isoler, d'aliéner et d'intervenir du dehors pour rompre la libre nécessité d'une formation autonome. Ce n'est point par hasard que des mots se ressemblent. Ce n'est point par hasard que l'acrostiche de Iessous Christos Theou Yios Sôter compose le mot poisson (Ichtys) : l'eau sera donc Esprit. Mais, aussi bien, puisque pneuma signifie souffle, le Saint-Esprit sera colombe. Ainsi la parole du poète demeure-t-elle préhensive, compréhensive, toujours sentie, toujours sensible, toujours moins conçue que vécue, bref : symbolique. Son essence est la mimésis. Elle parle par ressemblance : la répétition du rythme, l'écho de la rime, les rappels de l'assonance, les doublets du calembour, les reflets du pastiche, etc. Son jeu verbal est masque, enchantement, défense, agressivité, séduction, pudeur, triomphe. On retiendra surtout l'effet de ce langage naturel. Comme il a pour principe la ressemblance et non la contiguïté, il rompt avec les habitudes de la parlerie quotidienne et il nous prend à l'imprévu de l'invention. L'invention se fait devant nous, en nous, un dieu nous gagne : enthousiasme. Le poète, qui souhaite une poésie accessible à tous, nous offre de participer à ses propres surprises.»
Yvon Belaval. (Gallimard)Le laboratoire central [texte imprimé] / Max Jacob, Auteur ; Yvon Belaval, Préfacier, etc. . - Gallimard : Paris : NRF, 1980 . - 191 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Au temps du Laboratoire central, un demi-siècle après Rimbaud, la poésie conquérait encore ses droits à une forme de pensée indépendante de la prose. Ces droits ne sont plus contestés. Au lieu d'utiliser des signes qui s'effacent devant les choses dont ils sont les signes, le poète, nous le savons, réinvente le langage naturel où les mots ressemblent aux choses parce qu'ils en conservent (dit-on) l'empreinte sur notre sensibilité. Ils prennent corps. Ce sont eux maintenant qui effacent les choses. Que reste-t-il? Des expressions. Or, dans un monde où tout exprime, il faut bien que tout s'entr'exprime et que l'obscur, l'inexplicable même, soit accepté, intentionnel, irréductible au choc brut contre une matière étrangère. Rien, dans ce monde, n'arrive par pur accident, ce serait insensé puisque le propre du hasard est d'isoler, d'aliéner et d'intervenir du dehors pour rompre la libre nécessité d'une formation autonome. Ce n'est point par hasard que des mots se ressemblent. Ce n'est point par hasard que l'acrostiche de Iessous Christos Theou Yios Sôter compose le mot poisson (Ichtys) : l'eau sera donc Esprit. Mais, aussi bien, puisque pneuma signifie souffle, le Saint-Esprit sera colombe. Ainsi la parole du poète demeure-t-elle préhensive, compréhensive, toujours sentie, toujours sensible, toujours moins conçue que vécue, bref : symbolique. Son essence est la mimésis. Elle parle par ressemblance : la répétition du rythme, l'écho de la rime, les rappels de l'assonance, les doublets du calembour, les reflets du pastiche, etc. Son jeu verbal est masque, enchantement, défense, agressivité, séduction, pudeur, triomphe. On retiendra surtout l'effet de ce langage naturel. Comme il a pour principe la ressemblance et non la contiguïté, il rompt avec les habitudes de la parlerie quotidienne et il nous prend à l'imprévu de l'invention. L'invention se fait devant nous, en nous, un dieu nous gagne : enthousiasme. Le poète, qui souhaite une poésie accessible à tous, nous offre de participer à ses propres surprises.»
Yvon Belaval. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013398 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Le Deuil des primevères / Francis Jammes (1967)
Titre : Le Deuil des primevères : 1898-1900 Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Jammes, Auteur ; Robert Mallet, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1967 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 159 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «L'œuvre qui représente le mieux Francis Jammes est sans doute Le Deuil des primevères, parce qu'elle se situe au point de sa vie où il a su concéder au prosaïsme et au lyrisme la juste part qui revient à chacun, sans que chacun nuise à l'autre ou l'étouffe. Le langage s'en trouve bien. Il a l'aisance au ras du sol de l'impression satisfaite avec les choses observées, et l'élan de l'image qui porte la confidence au niveau d'un appel intérieur. On y sent ce qui respire et ce qui est inspiré.
Livre d'un homme jeune capable d'exprimer tout ce qu'il éprouve depuis son enfance et tout ce qu'il éprouvera jusqu'à sa vieillesse, il contient, pourrait-on dire, l'essence même du jammisme, ce parfum à nul autre pareil dont on s'imprègne sans y prendre garde, fait de passé, de campagne, d'exostisme et de religiosité. Toutes les cloches s'y conjuguent : celles des églises habillées de feuilles, celles des moutons transhumants, celles des bateaux transocéaniens, celles des fleur stropicales. Les sonneries retentissent au cœur du poète transporté lui aussi d'un côté du monde vers l'autre. Il n'a pas cessé d'être, selon ses propres termes, un faune, mais ce faune ne tourne pas le dos à un certain chrétien qui, se souciant peu des dogmes, se réclame de François d'Assise et s'adresse sans fausse honte à un Dieu très bonhomme pour lui confier ses inquiétudes charnelles ou spirituelles.»
Robert Mallet. (Gallimard)Le Deuil des primevères : 1898-1900 [texte imprimé] / Francis Jammes, Auteur ; Robert Mallet, Préfacier, etc. . - Gallimard : Paris : NRF, 1967 . - 159 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «L'œuvre qui représente le mieux Francis Jammes est sans doute Le Deuil des primevères, parce qu'elle se situe au point de sa vie où il a su concéder au prosaïsme et au lyrisme la juste part qui revient à chacun, sans que chacun nuise à l'autre ou l'étouffe. Le langage s'en trouve bien. Il a l'aisance au ras du sol de l'impression satisfaite avec les choses observées, et l'élan de l'image qui porte la confidence au niveau d'un appel intérieur. On y sent ce qui respire et ce qui est inspiré.
Livre d'un homme jeune capable d'exprimer tout ce qu'il éprouve depuis son enfance et tout ce qu'il éprouvera jusqu'à sa vieillesse, il contient, pourrait-on dire, l'essence même du jammisme, ce parfum à nul autre pareil dont on s'imprègne sans y prendre garde, fait de passé, de campagne, d'exostisme et de religiosité. Toutes les cloches s'y conjuguent : celles des églises habillées de feuilles, celles des moutons transhumants, celles des bateaux transocéaniens, celles des fleur stropicales. Les sonneries retentissent au cœur du poète transporté lui aussi d'un côté du monde vers l'autre. Il n'a pas cessé d'être, selon ses propres termes, un faune, mais ce faune ne tourne pas le dos à un certain chrétien qui, se souciant peu des dogmes, se réclame de François d'Assise et s'adresse sans fausse honte à un Dieu très bonhomme pour lui confier ses inquiétudes charnelles ou spirituelles.»
Robert Mallet. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013403 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Méditations poériques / Alphonse de Lamartine (2000)
Titre : Méditations poériques : Nouvelles méditations poétiques suivies de poésies diverses Type de document : texte imprimé Auteurs : Alphonse de Lamartine (1790-1869), Auteur ; Marius-François Guyard (1921-2011), Editeur scientifique Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2000 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 477 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032200-8 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : «J'étais né impressionnable et sensible. Ces deux qualités sont les deux premiers éléments de toute poésie. Les choses extérieures à peine aperçues laissaient une vive et profonde empreinte en moi ; et quand elles avaient disparu de mes yeux, elles se répercutaient et se conservaient présentes dans ce qu'on nomme l'imagination, c'est-à-dire la mémoire, qui revoit et qui repeint en nous. Mais de plus, ces images ainsi revues et repeintes se transformaient promptement en sentiment. Mon âme animait ces images, mon cœur se mêlait à ces impressions. J'aimais et j'incorporais en moi ce qui m'avait frappé. J'étais une glace vivante qu'aucune poussière de ce monde n'avait encore ternie, et qui réverbérait l'œuvre de Dieu! De là à chanter ce cantique intérieur qui s'élève en nous, il n'y avait pas loin. Il ne me manquait que la voix. Cette voix que je cherchais et qui balbutiait sur mes lèvres d'enfant, c'était la poésie. Voici les plus lointaines traces que je retrouve au fond de mes souvenirs presque effacés des premières révélations du sentiment poétique qui allait me saisir à mon insu, et me faire à mon tour chanter des vers au bord de mon nid, comme l'oiseau.»
Extrait de la Préface de 1849 aux Méditations. (Gallimard)Méditations poériques : Nouvelles méditations poétiques suivies de poésies diverses [texte imprimé] / Alphonse de Lamartine (1790-1869), Auteur ; Marius-François Guyard (1921-2011), Editeur scientifique . - Gallimard : Paris : NRF, 2000 . - 477 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Poésie) .
ISBN : 978-2-07-032200-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française Index. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : «J'étais né impressionnable et sensible. Ces deux qualités sont les deux premiers éléments de toute poésie. Les choses extérieures à peine aperçues laissaient une vive et profonde empreinte en moi ; et quand elles avaient disparu de mes yeux, elles se répercutaient et se conservaient présentes dans ce qu'on nomme l'imagination, c'est-à-dire la mémoire, qui revoit et qui repeint en nous. Mais de plus, ces images ainsi revues et repeintes se transformaient promptement en sentiment. Mon âme animait ces images, mon cœur se mêlait à ces impressions. J'aimais et j'incorporais en moi ce qui m'avait frappé. J'étais une glace vivante qu'aucune poussière de ce monde n'avait encore ternie, et qui réverbérait l'œuvre de Dieu! De là à chanter ce cantique intérieur qui s'élève en nous, il n'y avait pas loin. Il ne me manquait que la voix. Cette voix que je cherchais et qui balbutiait sur mes lèvres d'enfant, c'était la poésie. Voici les plus lointaines traces que je retrouve au fond de mes souvenirs presque effacés des premières révélations du sentiment poétique qui allait me saisir à mon insu, et me faire à mon tour chanter des vers au bord de mon nid, comme l'oiseau.»
Extrait de la Préface de 1849 aux Méditations. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013469 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Les poésies de A.O. Barnabooth / Valéry Larbaud (1966)
Titre : Les poésies de A.O. Barnabooth : suivi de poésies diverses et des poèmes de A.O. Barnabooth Type de document : texte imprimé Auteurs : Valéry Larbaud, Auteur ; Robert Mallet, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1966 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 123 p. Format : 17 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Lorsque Valery Larbaud, âgé de 27 ans, publie en 1908 ses Poèmes par un riche amateur, il se désolidarise de son milieu dont il exhibe le plus excessif représentant. Il n'est, sous un nom d'emprunt, qu'un exécuteur littéraire. Mais quelle exécution! C'est une vengeance contre son hérédité, un camouflet à sa mère qui lui a refusé son émancipation légale et l'a soumis à un conseil judiciaire, c'est une provocation sociale et intellectuelle, une confession, un manifeste, une apologie, un blâme. C'est une rébellion, un défi. C'est Barnabooth, le mystérieux narrateur de ses frasques, le milliardaire enfant gâté ; mais c'est aussi Valery Larbaud, l'héritier d'une famille aisée, le mystificateur passionné de vérité.
[...] Nous ne regardons pas voyager le poète, nous voyageons avec lui. Et, pour la première fois dans notre littérature (oui, l'événement est là), nous éprouvons le sentiment d'un mécanisme universel : la belle machinerie humaine – train de luxe, paquebot – conjuguée avec la respiration d'un homme qui nous confie, au rythme des trépidations, ses frémissements les plus secrets :
Ô vie réelle sans art et sans métaphores, sois à moi.»
Robert Mallet. (Gallimard)Les poésies de A.O. Barnabooth : suivi de poésies diverses et des poèmes de A.O. Barnabooth [texte imprimé] / Valéry Larbaud, Auteur ; Robert Mallet, Préfacier, etc. . - Gallimard : Paris : NRF, 1966 . - 123 p. ; 17 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Lorsque Valery Larbaud, âgé de 27 ans, publie en 1908 ses Poèmes par un riche amateur, il se désolidarise de son milieu dont il exhibe le plus excessif représentant. Il n'est, sous un nom d'emprunt, qu'un exécuteur littéraire. Mais quelle exécution! C'est une vengeance contre son hérédité, un camouflet à sa mère qui lui a refusé son émancipation légale et l'a soumis à un conseil judiciaire, c'est une provocation sociale et intellectuelle, une confession, un manifeste, une apologie, un blâme. C'est une rébellion, un défi. C'est Barnabooth, le mystérieux narrateur de ses frasques, le milliardaire enfant gâté ; mais c'est aussi Valery Larbaud, l'héritier d'une famille aisée, le mystificateur passionné de vérité.
[...] Nous ne regardons pas voyager le poète, nous voyageons avec lui. Et, pour la première fois dans notre littérature (oui, l'événement est là), nous éprouvons le sentiment d'un mécanisme universel : la belle machinerie humaine – train de luxe, paquebot – conjuguée avec la respiration d'un homme qui nous confie, au rythme des trépidations, ses frémissements les plus secrets :
Ô vie réelle sans art et sans métaphores, sois à moi.»
Robert Mallet. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013474 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Le paradis perdu / John Milton
Titre : Le paradis perdu Type de document : texte imprimé Auteurs : John Milton (1608-1674), Auteur ; François-René de Chateaubriand, Traducteur ; Robert Ellrodt, Editeur scientifique Editeur : Paris : Gallimard Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie num. 290 Importance : 421 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032838-3 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Littérature anglaise Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Le Paradis perdu est une œuvre composée par un puritain humaniste qui, pour présenter le mythe biblique et chrétien, prodigue les allusions aux mythes païens. Ce "poème héroïque" dénonce les vertus guerrières célébrées dans les épopées classiques ou chevaleresques. Il prend modèle sur l'Odyssée et l'Énéide, suit les règles de la critique italienne de la Renaissance, mais déploie des images animées par un dynamisme baroque. Une foi austère y épouse à la lettre les affirmations de l'Écriture sainte mais fonde ses interprétations sur les exigences de la raison. Ce récit des origines traite de l'immémorial et du spirituel mais inclut dans un cadre cosmique le politique et l'actuel. Les personnages sont élevés au-dessus de l'humanité commune par leur nature, divine ou angélique, ou par leur perfection native avant la Chute, mais ils éprouvent des passions humaines et Ève est déjà soumise aux pulsions de l'inconscient. Tels sont les paradoxes miltoniens.»
Robert Ellrodt. (Gallimard)Le paradis perdu [texte imprimé] / John Milton (1608-1674), Auteur ; François-René de Chateaubriand, Traducteur ; Robert Ellrodt, Editeur scientifique . - Gallimard : Paris : NRF, [s.d.] . - 421 p. ; 18 cm. - (Poésie; 290) .
ISBN : 978-2-07-032838-3
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Littérature anglaise Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Le Paradis perdu est une œuvre composée par un puritain humaniste qui, pour présenter le mythe biblique et chrétien, prodigue les allusions aux mythes païens. Ce "poème héroïque" dénonce les vertus guerrières célébrées dans les épopées classiques ou chevaleresques. Il prend modèle sur l'Odyssée et l'Énéide, suit les règles de la critique italienne de la Renaissance, mais déploie des images animées par un dynamisme baroque. Une foi austère y épouse à la lettre les affirmations de l'Écriture sainte mais fonde ses interprétations sur les exigences de la raison. Ce récit des origines traite de l'immémorial et du spirituel mais inclut dans un cadre cosmique le politique et l'actuel. Les personnages sont élevés au-dessus de l'humanité commune par leur nature, divine ou angélique, ou par leur perfection native avant la Chute, mais ils éprouvent des passions humaines et Ève est déjà soumise aux pulsions de l'inconscient. Tels sont les paradoxes miltoniens.»
Robert Ellrodt. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013638 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Ma soeur la vie / Boris Leonidovitch Pasternak (2003)
Titre : Ma soeur la vie : et autres poèmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Boris Leonidovitch Pasternak (1890-1960), Auteur ; Hélène Henry (1944-....), Traducteur ; Michel Aucouturier (1933-2017), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2003 Collection : Poésie Importance : 377 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032440-8 Prix : 42 F Langues : Français (fre) Langues originales : Russe (rus) Catégories : Littérature russe Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : La poésie de Boris Pasternak, dont on découvrira avec bonheur la singulière puissance, est une célébration émerveillée du moment de "seconde naissance" où surgit la vie en même temps que s'imposent les mots. Cet "été 1917" que raconte le recueil Ma soeur la vie, ses étoiles brûlantes, ses révoltes, ses orages, ses espaces, ses murmures, la beauté de la volupté et celle de l'écriture, habitent à jamais la poésie de Pasternak : jusqu'à la fin, ses vers nous redisent que le poète, pour être poète, doit accepter de voir la nature et la vie prendre l'initiative.
Mais le lyrisme haletant, éclaté, intensément métaphorique des débuts s'apaise et s'épure dans les recueils de la maturité et des dernières années. Inlassablement ils posent la poésie comme fraternité des choses et des consciences, comme certitude d'unité où "les rivières elles-mêmes refusent de se penser séparées" et où le poète, parvenu au coeur des choses, n'est plus qu'un servant dans la toute simple liturgie de l'art et de la vie.
On trouvera ici l'essentiel de l'oeuvre poétique de Pasternak, dans un choix qu'il a lui-même établi à l'époque où il terminait Le docteur Jivago. (Decitre)Ma soeur la vie : et autres poèmes [texte imprimé] / Boris Leonidovitch Pasternak (1890-1960), Auteur ; Hélène Henry (1944-....), Traducteur ; Michel Aucouturier (1933-2017), Préfacier, etc. . - Gallimard, 2003 . - 377 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
ISBN : 978-2-07-032440-8 : 42 F
Langues : Français (fre) Langues originales : Russe (rus)
Catégories : Littérature russe Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : La poésie de Boris Pasternak, dont on découvrira avec bonheur la singulière puissance, est une célébration émerveillée du moment de "seconde naissance" où surgit la vie en même temps que s'imposent les mots. Cet "été 1917" que raconte le recueil Ma soeur la vie, ses étoiles brûlantes, ses révoltes, ses orages, ses espaces, ses murmures, la beauté de la volupté et celle de l'écriture, habitent à jamais la poésie de Pasternak : jusqu'à la fin, ses vers nous redisent que le poète, pour être poète, doit accepter de voir la nature et la vie prendre l'initiative.
Mais le lyrisme haletant, éclaté, intensément métaphorique des débuts s'apaise et s'épure dans les recueils de la maturité et des dernières années. Inlassablement ils posent la poésie comme fraternité des choses et des consciences, comme certitude d'unité où "les rivières elles-mêmes refusent de se penser séparées" et où le poète, parvenu au coeur des choses, n'est plus qu'un servant dans la toute simple liturgie de l'art et de la vie.
On trouvera ici l'essentiel de l'oeuvre poétique de Pasternak, dans un choix qu'il a lui-même établi à l'époque où il terminait Le docteur Jivago. (Decitre)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013678 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Les chants de la merci suivi de Chants des quatre-temps / Marie Noel (2003)
Titre : Les chants de la merci suivi de Chants des quatre-temps : suivi de Chants des quatre-temps Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Noel (1883-1967), Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 2003 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie num. 389 Importance : 213 p. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-042375-0 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Il n'y a pas en Poésie de réalité positive.
Il y a une vie profonde, une émotion intense transfiguratrice, qui dépendent fort peu de la circonstance extérieure qui les a provoquées.
À l'heure de grâce un rien ou presque suffit parfois à donner la secousse créatrice et à mettre en branle le génie intime qui aussitôt du rien s'empare et à l'infini l'amplifie.
Dante aperçoit Béatrice. Béatrice ? L'a-t-il longuement connue et courtisée ? Peut-être... Toute l'aventure du chant est dans l'âme du poète.
Et si, de surcroît, ce poète est un artiste, il arrive que de multiples impressions se fondent pour lui en une seule. Tel statuaire a tiré son dieu de plusieurs modèles. [...]
Apprenez à lire les poètes. Ne les lisez pas en "journalistes". Vous trouverez ailleurs qu'en eux assez de faits et de gestes plus romanesques et plus curieux que les leurs. Ils n'ont, eux, à vous offrir que leur âme.
Et la beauté sans nom ni lieu du Verbe qui chante.»
Marie Noël. (Gallimard)Les chants de la merci suivi de Chants des quatre-temps : suivi de Chants des quatre-temps [texte imprimé] / Marie Noel (1883-1967), Auteur . - Gallimard : Paris : NRF, 2003 . - 213 p. ; 18 cm. - (Poésie; 389) .
ISBN : 978-2-07-042375-0
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : «Il n'y a pas en Poésie de réalité positive.
Il y a une vie profonde, une émotion intense transfiguratrice, qui dépendent fort peu de la circonstance extérieure qui les a provoquées.
À l'heure de grâce un rien ou presque suffit parfois à donner la secousse créatrice et à mettre en branle le génie intime qui aussitôt du rien s'empare et à l'infini l'amplifie.
Dante aperçoit Béatrice. Béatrice ? L'a-t-il longuement connue et courtisée ? Peut-être... Toute l'aventure du chant est dans l'âme du poète.
Et si, de surcroît, ce poète est un artiste, il arrive que de multiples impressions se fondent pour lui en une seule. Tel statuaire a tiré son dieu de plusieurs modèles. [...]
Apprenez à lire les poètes. Ne les lisez pas en "journalistes". Vous trouverez ailleurs qu'en eux assez de faits et de gestes plus romanesques et plus curieux que les leurs. Ils n'ont, eux, à vous offrir que leur âme.
Et la beauté sans nom ni lieu du Verbe qui chante.»
Marie Noël. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013690 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Les Tapisseries / Charles Péguy (1968)
Titre : Les Tapisseries : La Tapisserie de sainte Geneviève et de Jeanne d'Arc - Les Sept contre Paris - La Tapisserie de Notre Dame Sainte Geneviève patronne de Paris précédé de Sonnets, Les Sept contre Thèbes et de Châteaux de Loire Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Péguy, Auteur ; Stanislas Fumet, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1968 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 159 p. Format : 18 cm Langues : Français (fre) Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : «[...] Ainsi Péguy n'avait pas besoin d'aller au beau bras dessus bras dessous avec les artistes ; son art lui était dicté par le souci d'être vrai, et juste, ajusté à l'objet, et pur, même lorsqu'il ne montrait aucune complaisance pour l'adversaire et le rudoyait comme il croyait que ce mauvais esprit le méritait. Quand Péguy défendait ses positions, il le faisait comme on combat, non comme on joue, en n'accordant rien à celui qui n'avait pas le même objectif que lui.
Il n'avait pas besoin d'être artiste, il était un vivant. Son art est le portrait de sa vie. – Et son œuvre alors? – Son œuvre n'est autre que le témoignage de sa vie, comme lui "d'un seul tenant". En un mot, c'est une bâtisse – oh! pas une construction! – un travail de charpentier, de tailleur de pierre, de sculpteur sur bois, son propre maître d'œuvre. Quand je le connus et que nous parlions de sa Jeanne d'Arc, il me dit qu'il lui prévoyait dans les "vingt-quatre volumes. – Vingt-quatre...? – Voyez-vous, je voudrais que ce fût comme une cathédrale." Il avait toujours à cette époque – en 1912 – Chartres devant les yeux.»
Stanislas Fumet. (Gallimard)Les Tapisseries : La Tapisserie de sainte Geneviève et de Jeanne d'Arc - Les Sept contre Paris - La Tapisserie de Notre Dame Sainte Geneviève patronne de Paris précédé de Sonnets, Les Sept contre Thèbes et de Châteaux de Loire [texte imprimé] / Charles Péguy, Auteur ; Stanislas Fumet, Préfacier, etc. . - Gallimard : Paris : NRF, 1968 . - 159 p. ; 18 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature française
PoésieIndex. décimale : 821.133.1 Littérature française. Littérature de langue française Résumé : «[...] Ainsi Péguy n'avait pas besoin d'aller au beau bras dessus bras dessous avec les artistes ; son art lui était dicté par le souci d'être vrai, et juste, ajusté à l'objet, et pur, même lorsqu'il ne montrait aucune complaisance pour l'adversaire et le rudoyait comme il croyait que ce mauvais esprit le méritait. Quand Péguy défendait ses positions, il le faisait comme on combat, non comme on joue, en n'accordant rien à celui qui n'avait pas le même objectif que lui.
Il n'avait pas besoin d'être artiste, il était un vivant. Son art est le portrait de sa vie. – Et son œuvre alors? – Son œuvre n'est autre que le témoignage de sa vie, comme lui "d'un seul tenant". En un mot, c'est une bâtisse – oh! pas une construction! – un travail de charpentier, de tailleur de pierre, de sculpteur sur bois, son propre maître d'œuvre. Quand je le connus et que nous parlions de sa Jeanne d'Arc, il me dit qu'il lui prévoyait dans les "vingt-quatre volumes. – Vingt-quatre...? – Voyez-vous, je voudrais que ce fût comme une cathédrale." Il avait toujours à cette époque – en 1912 – Chartres devant les yeux.»
Stanislas Fumet. (Gallimard)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013723 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible La rage de l'expression / Francis Ponge (1976)
Titre : La rage de l'expression Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Ponge, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1976 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 214 p. Format : 16 cm Langues : Français (fre) Catégories : Poésie Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : Il s'agit de savoir si l'on veut faire un poème ou rendre compte d'une chose (dans l'espoir que l'esprit y gagne, fasse à son propos quelque pas nouveau). C'est le second terme de l'alternative que mon goût (un goût violent des choses, et des progrès de l'esprit) sans hésitation me fait choisir. Ma détermination est donc prise... Peu m'importe après cela que l'on veuille nommer poème ce qui va en résulter. Quant à moi, le moindre soupçon de ronron poétique m'avertit seulement que je rentre dans le manège, et provoque mon coup de reins pour en sortir. » Francis Ponge.
(Babelio)La rage de l'expression [texte imprimé] / Francis Ponge, Auteur . - Gallimard : Paris : NRF, 1976 . - 214 p. ; 16 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Poésie Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : Il s'agit de savoir si l'on veut faire un poème ou rendre compte d'une chose (dans l'espoir que l'esprit y gagne, fasse à son propos quelque pas nouveau). C'est le second terme de l'alternative que mon goût (un goût violent des choses, et des progrès de l'esprit) sans hésitation me fait choisir. Ma détermination est donc prise... Peu m'importe après cela que l'on veuille nommer poème ce qui va en résulter. Quant à moi, le moindre soupçon de ronron poétique m'avertit seulement que je rentre dans le manège, et provoque mon coup de reins pour en sortir. » Francis Ponge.
(Babelio)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013762 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible Le parti pris des choses / Francis Ponge (1972)
Titre : Le parti pris des choses : précédé de Douze petits récits et suivi de Proêmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Francis Ponge, Auteur Editeur : Paris : Gallimard Année de publication : 1972 Autre Editeur : Paris : NRF Collection : Poésie Importance : 221 p. Format : 16 cm Langues : Français (fre) Catégories : Poésie Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie,
brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir : il faut alors la tenir au creux d'un torchon, se servir d'un couteau ébréché et peu franc, s'y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles : c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de halos. À l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger : sous un firmament (à proprement parler) de nacre, les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner.
(Babelio)Le parti pris des choses : précédé de Douze petits récits et suivi de Proêmes [texte imprimé] / Francis Ponge, Auteur . - Gallimard : Paris : NRF, 1972 . - 221 p. ; 16 cm. - (Poésie) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Poésie Index. décimale : 82-1 Littérature. Genres littéraires
(Poésie. Poèmes. Vers...)
Résumé : L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie,
brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir : il faut alors la tenir au creux d'un torchon, se servir d'un couteau ébréché et peu franc, s'y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles : c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de halos. À l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger : sous un firmament (à proprement parler) de nacre, les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les bords. Parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s'orner.
(Babelio)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Support Section Disponibilité 1600013763 Récit (roman, théâtre, biographie...) Littérature (romans, pièces de théâtre, récits de vie...) Disponible